QUESTION AUX CHRETIENS, QU'ON M'EXPLIQUE

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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regnatvivus

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Re: QUESTION AUX CHRETIENS, QU'ON M'EXPLIQUE

Ecrit le 21 oct.04, 12:29

Message par regnatvivus »

abou rachid a écrit : La Bible :
" L'Eternel a fait en six jours le ciel et la terre, mais le septieme jour, Il s'est reposé et Il a respiré "

(Exode , Chap31,ver17)

insistance sur : " septieme jour, Il s'est reposé et Il a respiré "

question simple réponse simple ?
donnez moi une explication de votre Seigneur qui est fatigué ?
« Peut-on sans impiété se figurer et dire que la création a coûté quelque travail à Dieu, quand nous voyons les choses sortir du néant à sa parole ? Que l'exécution suive le commandement, ce n'est plus une fatigue, même pour l'homme. Sans doute, la parole exigeant qu'on frappe l'air, finit par devenir une fatigue : mais, quand il s'agit de prononcer quelques mots, comme ceux que Dieu fait entendre dans l'Écriture : fiat lux, fiat firmamentum, et ainsi de suite, jusqu'à l'achèvement de la création au septième jour, il y aurait une extravagance par trop ridicule a soutenir qu'elles lassent, je ne dis pas Dieu, mais un homme. Dirait-on que la fatigue consistât pour Dieu, non à donner des ordres immédiatement exécutés, mais à méditer profondément les moyens de réaliser ses plans; que délivré de cette préoccupation à la vue de 1a perfection de ses oeuvres, il se reposa et voulut avec raison bénir, sanctifier le jour où, pour la première fois, il n'eut plus à déployer une si grande attention? Un pareil raisonnement serait le comble de la déraison. L'intelligence est en Dieu infinie, illimitée, comme la puissance elle-même. » (Saint Augustin, la Genèse au sens littéral, Livre IV, chapitre VIII)

Le repos dont il est question ici ne suppose aucune fatigue en Dieu. Quand on dit qu’après que le vent est tombé, les eaux du lac sont au repos, on ne sous entend pas qu’elles sont fatiguées mais simplement qu’elles ont cessé d’être agitées. Le verbe schabath, s'emploie dans le sens de « cesser de parler » (Job 32:1), de même que noua'h qui signifie non seulement « être tranquille, se reposer », mais aussi « cesser de parler », comme en 1 Sam 25:9 où, selon Maïmonide dans le Guide des Egarés, le sens est « ils cessèrent de parler pour entendre la réponse ». Le Talmud prend également ce verbe en un sens transitif « Il fit reposer son univers au septième jour » (Bereshit Raba 10)

Ainsi le septième jour, selon les docteurs tant Juifs que Chrétiens, Dieu cessa d’agir en un sens, quoique non dans tous les sens. Il cessa d’agir en un sens particulier car après avoir créé le règne angélique, le règne minéral, le règne végétal, le règne animal et l’homme, il ne créa plus une nouvelle classe d’êtres. Mais en un sens plus géneral, Dieu ne cessa pas toute activité pour autant, car il maintient continuellement la création dans l’être, elle qui sans son gouvernement ne saurait subsister un seul instant. C’est pourquoi Notre Seigneur enseigna « Mon Père ne cesse pas d’agir » Jean (5,17) et Saint Paul apprit de même aux Athéniens que « c'est en Lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être ».

« En effet, nous ne faisons pas partie de la substance divine, et nous ne sommes pas en lui au même titre qu'il à la vie en lui-même : or, du moment que nous sommes distincts de Dieu, nous ne pouvons avoir l'être en lui qu'autant qu'il agit en nous. Cette activité consiste à tout gouverner, à étendre sa puissance d'un bout à l'autre du monde, à tout disposer avec harmonie, et c'est grâce à cet ordre sans cesse maintenu que nous avons en lui l'être, le mouvement et la vie. Par conséquent, si Dieu cessait d'animer la créature, nous n'aurions plus l'être, le mouvement et la vie. Il est donc évident que Dieu n'a jamais cessé, même un jour, de gouverner les êtres créés, pour les empêcher de perdre ces mouvements qui les animent et les conservent avec les propriétés et selon les lois de leurs espèces; et qu'ils seraient immédiatement anéantis -sans cette activité de la Sagesse divine qui répand partout l'ordre et l'harmonie. Convenons donc bien que Dieu s'est reposé de ses oeuvres, en tant qu'il n'a créé aucun être d'une espèce nouvelle et non en vue d'abandonner le gouvernement et le maintien de la création. Ainsi se concilie cette double vérité, que Dieu s'est reposé le septième jour et qu'il ne cesse pas d'agir. » (Saint Augustin, la Genèse au sens littéral, Livre IV, chapitre VIII)

Comme digestif, vous prendrez bien un peu de Saint Thomas :

« Le mot "repos" peut prendre deux acceptions : 1. celle de cessation de toute oeuvre ; 2. celle de la satisfaction du désir. Et ce repos du septième jour s'applique à Dieu de ces deux manières. Au premier sens, parce que, au septième jour, il a cessé de constituer de nouvelles créatures ; ultérieurement en effet il n'a rien fait qui n'ait d'une manière quelconque préexisté dans ses premières oeuvres, ainsi que nous l'avons dit. - Au second sens, en ce qu'il n'avait pas besoin lui-même de ce qu'il avait créé : il est bienheureux en jouissant de lui-même. Aussi, après la création de toutes ses oeuvres on ne dit pas "qu'il a trouvé son repos dans ses oeuvres", comme s'il en avait besoin pour sa béatitude, mais "qu'il se reposa d'elles", en lui-même, car par lui-même il se suffit et satisfait son propre désir. En conséquence, bien qu'il se soit reposé en lui-même de toute éternité, après la création de ses oeuvres, il goûta en lui-même un repos qui appartient au septième jour. Et c'est en cela, dit S. Augustin, que consiste "se reposer de ses oeuvres". » (Somme Théologique, Ia, Q73, a2)

regnatvivus

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Ecrit le 21 oct.04, 12:40

Message par regnatvivus »

El Mahjouba-Marie a écrit :La meilleur mon frère c'est que dieu se repent :shock: et oui n'étant pas Omniscient, il ne savait pas que les hommes allaient devenir méchant, il s'attriste et fut affligé dans son coeur :roll: On ne trouve pas sa dans le Coran...évidement! 8-)
Didyme l'Aveugle, dans son commentaire de la Genèse, explique le sens du « repentir » divin de Gn 6:6. « Il faut dire que c'est appliquer à Dieu des passions humaines, et que le sens n'est pas celui que supposent les mots. Lorsque l'écriture parle métaphoriquement de mains, de pieds, d'yeux ou d'oreilles, il ne faut pas penser que Dieu a forme humaine. Mais nous interpréterons évidemment ses mains comme ses puissances agissantes, ses yeux comme le fait que rien ne lui échappe. (…) Il en va de même pour les expressions: il a réfléchi, il s'est repenti : nous les interprétons comme il convient à un être immuable (…) il n'y a pas de passion [=changement] en Dieu lui-même, mais en ceux qui changent de sentiment à son égard. Supposons un sage, s'il arrive que certains de ses enfants pratiquent l'iniquité et qu'à cause de cela, ils soient déshérités, ce n'est pas lui qui a changé d'avis à l'égard de ceux d'entre eux dont les sentiments ont changé: si son héritage va seulement aux justes, c'est que telle était son intention dès le début »

desertdweller

desertdweller

Ecrit le 21 oct.04, 20:02

Message par desertdweller »

James et Regnatvivus,
Je me rends compte que vous faite un effort honnete pour expliquer des points un peu "bizare" de la Bible.
Au regret de vous decevoir, vous avez affaire a un public qui est tout sauf honnete. Souvent ce public a une education "occidentale" tres limitee et est tout simplement incapable de suivre votre type de raisonement.
Attendez vous a l'application du principe "Je ne comprends pas, donc c'est suspect".

regnatvivus

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Ecrit le 22 oct.04, 12:45

Message par regnatvivus »

abou rachid a écrit :ENCORE UNE FOIS : MEME CE VERSET NE TEINT PAS DEBOUT !

1 31 Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour.
Quelques extraits des livres I et IV de La Genèse au sens littéral de Saint Augustin.

Discutant de la lumière créée par Dieu avant la formation des astres, saint Augustin reconnaît un sens spirituel, la création de la lumière intellectuelle, qui ne peut être contredit par la science, car il ressortit à la métaphysique et non à la physique. Quant à la lecture « concordiste » à-la-Bucaille, qui voit la révélation de la création d’une lumière matérielle, saint Augustin n’empêche personne d’y souscrire, car ce n’est pas contraire à la foi ; mais ce n’est qu’une lecture secondaire non dogmatique et falsifiable, pour utiliser ce terme moderne dont on a fait le critère des théories scientifiques (« aussi longtemps qu'elle n'est pas renversée par une vérité incontestable »). Même dans le cas où cette lecture « physique » de la Genèse serait abondamment démontrée par la science, saint Augustin, à la différence des pitoyables missionnaires de l’islam, semble peu enclin à publier l’équivalent chrétien d’un « ceci est la vérité » ou d’un « la Bible, le coran et la Science », car rien, en effet, ne prouve que l’écrivain sacré ait réellement voulu révéler une vérité matérielle, puisqu’une autre interprétation, qui plus est spirituellement profitable, reste possible.


« A propos de ce passage : «Dieu dit: que la lumière soit, » les uns voient dans la lumière une clarté intellectuelle, les autres, un phénomène physique. Qu'il y ait une lumière intellectuelle qui illumine les esprits, c'est un point admis dans notre foi; quant à l'hypothèse d'une lumière matérielle créée dans le ciel, ou au-dessus du ciel, ou même avant le ciel, et susceptible de faire place à la nuit, elle n'est point contraire à la foi, aussi longtemps qu'elle n'est pas renversée par une vérité incontestable. Est-elle reconnue fausse ? L'Écriture ne la contenait pas; ce n'était que le fruit de l'ignorance humaine. Est-elle au contraire démontrée par une preuve infaillible ? Même dans ce cas, on pourra se demander si l'Écrivain sacré a voulu dans ce passage révéler cette vérité ou exprimer une autre idée non moins certaine. »

Saint Augustin définit clairement le caractère licite et l’indépendance de la recherche scientifique dont les moyens d’investigation sont « le raisonnement et l’expérience » et dont le champ embrasse le monde physique.

« Le ciel, la terre et les autres éléments, les révolutions, la grandeur et les distances des astres, les éclipses du soleil et de la lune, le mouvement périodique de l'année et des saisons; les propriétés des animaux, des plantes et des minéraux, sont l'objet de connaissances précises, qu'on peut acquérir, sans être chrétien, par le raisonnement ou l'expérience. Or, rien ne serait plus honteux, plus déplorable et plus dangereux que la situation d'un chrétien, qui traitant de ces matières, devant les infidèles, comme s'il leur exposait les vérités chrétiennes, débiterait tant d'absurdités, qu'en le voyant avancer des erreurs grosses comme des montagnes, ils pourraient à peine s'empêcher de rire. (…) On ne saurait dire l'embarras et le chagrin où ces téméraires ergoteurs jettent les chrétiens éclairés. Sont-ils accusés et presque convaincus de soutenir une opinion fausse, absurde, par des adversaires qui ne reconnaissent pas l'autorité de l'Écriture? on les voit chercher à s'appuyer sur l’ Écriture même, pour défendre leur assertion aussi présomptueuse que fausse, citer les passages les plus propres, selon eux, à prouver en leur faveur, et se perdre en de vains discours, sans savoir ni ce qu'ils avancent ni les arguments dont ils se servent pour l'établir »

Comme exemple parfait de ces religieux obtus et incultes qui ne provoquent que l’amusement des scientifiques, on prendra ces missionnaires musulmans qui croient lire dans le livre de Mahomet la théorie du Big Crunch (théorie malheureusement mise à mal par les dernières mesures scientifiques), et la brandissent comme un miracle prouvant l’inspiration divine de leur livre « sacré ». Mais nul doute qu’ils exhiberont bientôt le verset annonçant le Big Freeze !

Pour revenir aux termes employés dans la Genèse, aux mots de jour, soir et matin, de ténèbres et de lumière, saint Augustin, s’appuyant sur le seul texte biblique juge peu probable qu’ils recouvrent le sens physique commun. Il est donc parfaitement infondé de soutenir que nous soyons contraints par le texte biblique de croire en des jours terrestres de vingt-quatre heures, puisque avant même les découvertes contemporaines de la géologie et de la cosmologie, n’étant donc nullement obligé de composer avec des théories déplaisantes mais fermement établies, un docteur de l’Eglise n’a pas cru bon de s’arrêter à la lecture simpliste qui voit dans la seamine de la création une semaine ordinaire.


« Veut-on que dans les six jours primitifs le matin et le soir représentent la même succession dans le temps qu'aujourd'hui? Je ne vois plus pourquoi le septième jour n'a pas de soir et la nuit suivante, de matin; ni pourquoi l'Écriture ne dit pas selon son usage: Et le soir survint, et au matin s'accomplit le septième jour. Car ce jour fait partie de cette période des sept jours, qui, en se renouvelant sans cesse, forment la durée des mois, des années, des siècles, et le matin succédant au soir du septième jour, aurait été le commencement du huitième, limite à laquelle on devait s'arrêter, puisque la série recommence pour former une nouvelle semaine. Il est donc plus probable que les sept jours primitifs, malgré l'analogie du nom et du nombre, représentent une révolution dans le temps, toute différente de la révolution actuelle; ils s'expliquent par une révolution intérieure des êtres dont nous ne voyons plus d'exemple, et dans laquelle les mots soir et matin, ténèbres et lumière, nuit et jour marquent une succession tout autre que celle qui se mesure par le cours du soleil c'est un point qu'il faut reconnaître, au moins pour les trois jours qui sont comptés avant la création des astres. »

« Comment la lumière a pu décrire un tour qui fit naître alternativement le jour et la nuit, avant la formation des astres, du firmament même, que dis-je? avant l'époque où le globe put offrir des régions assez distinctes pour que la lumière les éclairât successivement et laissât régner la nuit à mesure qu'elle se retirait? Frappés de cette difficulté, nous n'avons pas craint de conclure, après avoir pesé le pour et le contre, que la lumière primitive était le perfectionnement des esprits; et la nuit, la matière destinée à former les autres ouvrages de Dieu »

« Le jour, ouvrage du Seigneur, se reproduit à chaque création nouvelle, et se mesure, non au tour que décrit un astre, mais au mouvement qui s'opère dans la pensée des anges, quand ce chœur bienheureux contemple dans le Verbe, au commandement de la puissance créatrice: « fiat, » le type de la créature qui va se former ; ce type se réfléchit dans leur intelligence, selon les formules de l'Ecriture : « cela se fit; » puis la créature elle-même se découvre à leurs regards, et cette clarté plus obscure forme le soir; enfin, cette connaissance qu'ils ont prise de l'être réalisé, ils la rapportent à la gloire de la vérité, où ils en ont contemplé le type ; c'est le matin. Les trois premiers jours de la création désignent donc un jour qui ne doit pas se mesurer comme le nôtre, sur le cours du soleil : il est d'une nature bien différente, et ces trois jours dont il est parlé avant la création des astres dans le ciel peuvent nous en donner quelque idée. Loin d'expirer au quatrième jour, ce jour spécial se continue jusqu'au sixième et au septième, comme pour nous empêcher de calculer des jours ordinaires avec la naissance des astres : le jour et la nuit représentent donc des idées fort différentes, selon que Dieu les forma lorsqu'il « sépara la lumière d'avec les ténèbres, » ou qu'il les établit, lorsqu'il assigna aux luminaires du ciel le rôle de séparer le jour d'avec la nuit. » Il créa le jour ordinaire, au moment qu'il créa le soleil dont la présence à l'horizon fait le jour actuel ; mais cet autre jour créé d'abord était déjà reproduit pour la troisième fois, lorsqu'à la quatrième aurore les luminaires furent crées.

Dans la condition où nous sommes placés ici-bas, il nous est impossible de vérifier par l'expérience, la durée du jour primitif ou des jours qui en furent la reproduction: nous ne pouvons que faire des hypothèses. On ne doit donc pas précipiter son jugement ni se figurer que son hypothèse est le dernier degré de la vraisemblance et de la probabilité. Toutefois, les sept jours de la semaine, de cette période qui laisse le temps s'enfuir et tour à tour le ramène, et dans laquelle chaque jour s'étend du lever au coucher du soleil, ne sauraient représenter les sept jours primitifs : il est hors de doute qu'entre ces deux révolutions il y a peu de rapports et des différences profondes.

Luc Le petit

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Le Repos de DIEU

Ecrit le 25 oct.04, 18:09

Message par Luc Le petit »

Bonjour à tous!

Mais pourquoi faites-vous parler les morts? Saint Augustin a dit...,écrit...Saint consors a... Intérrogez Le Vivant. Il se laisse toucher!

Le repos de DIEU
Mais quelle ignorance à ceux qui parlent de la fatigue de DIEU? Il se reposa! Et eux en déduisent qu'il se fatigua. Le diable est l'ami de la déduction.

DIEU après avoir tout accompli en six jours, il se reposa le 7ème jour.
Ecoutez mes amis. Ceci veut dire que toutes les oeuvres crées par DIEU en six jours étaient parfaites et il n'y avait rien à y ajouter. N'Y AVAIT PLUS RIEN A FAIRE LE SEPTIEME JOUR.
Contrairement à la création (le travail) humaine qui se fait sans fin, l'oeuvre de DIEU est finie.

Prenons l'exemple de l'homme. Pouvez-vous reprocher à DIEU d'avoir placé la bouche là où elle se trouve? Et les pieds peut être que vous les aurez mis à la place de la tête ou les yeux entre les jambes? Non la structure de l'homme est parfaite. Telle qu'elle a été le premier jour, telle qu'elle l'est aujourd'hui. L'oeuvre de DIEU est achevée. DIEU NE CREE PLUS POUR LA CREATION DEPUIS LE SIXIEME JOUR. C'est là le repos de DIEU.

Que Dieu vous et nous garde!

desertdweller

desertdweller

Ecrit le 25 oct.04, 18:22

Message par desertdweller »

Rien que pour relancer le debat.
la recherche dans l'infiniment petit semble demontrer que tout au bout de la chaine, l'element constitutif de la matiere serait de l'energie a l'etat pur.
Autrement dit il n'y aurait a la base aucune differences entre le mineral, le vegetal et l'animal. Juste un paquet de particules d'energies.
Alors d'Energie a lumiere, il n'y a qu'un pas.
Maintenant pour calmer les ardeurs des litteralistes et autre Bucaille, les vedas ont decrit ce fait, 7,000 ans avant JC sous le nom de "La danse de Shiva".

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