Re: Fractions sanguines
Posté : 04 nov.14, 06:24
Quel autre usage du sang pouvaient-il en faire à par le consommer ?
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Bonsoir Luxus,Luxus a écrit : Donc une fraction de plasma/de globule blanc ou rouge, nest plus du sang ? ..
Je n'ai pas trouvé de réponse à ta remarque, tout ce que je peux dire, c'est que le don de sang est condamné selon le principe que tu viens d'énoncer.Luxus a écrit : Mais une autre question se pose. Nous rejetons le mauvais usage du sang. Mais prendre le sang pour le fractionner, n'est-ce pas en faire un mauvais usage ? Puisque soit dit en passant, le seul usage correcte du sang dans la Bible était pour la propitation. Et quand un animal était tué on devait faire couler son sang par terre. Aucun autre usage du sang n'était fait.
Bonjour Ikarus,Ikarus a écrit : Alors d’où viens cette idée de refusé de mangé ou de s'injecter du sang?
Tout comme une fraction de sang, reste du sang.medico a écrit :le vin qui représente son sang n'est pas du sang mais reste du vin jusqu'a preuve du contraire.
C'est ce que j'essaie de comprendre justement. Surtout qu'en y réfléchissant, on peut considérer que prendre le sang pour le fractionner c'est en faire un mauvais usage, non ?Arlitto 1 a écrit :Accepter une fraction de sang ou une transfusion de sang, je ne vois pas la différence.
Et pourtant aucune publication ne semble le dire clairement.Estrabolio a écrit : Bonsoir Luxus,
Une fraction sanguine est du sang forcément !
Donc si le don du sang est condamné, logiquement on aurait pas dû accepter les fractions sanguines qui sont faites à partir de ces dons.Estrabolio a écrit :Je n'ai pas trouvé de réponse à ta remarque, tout ce que je peux dire, c'est que le don de sang est condamné selon le principe que tu viens d'énoncer.
w77 1/10 p. 602
Il peut sembler généreux de donner son sang pour des transfusions, et certains y voient un mérite religieux et attribuent une valeur spirituelle à cet acte. Mais examiné sous l’angle de la Bible, ce genre de “sacrifice” n’est d’aucune utilité pour le donneur et constitue même une violation de la loi de Dieu.
Dans l’ancien Israël, le sage roi Salomon reconnut dans une prière qu’“il n’y a pas d’homme qui ne pèche”. (I Rois 8:46.) Aucun humain imparfait et pécheur ne peut présenter un “sacrifice” qui efface ses péchés ou ceux des autres. Seule la rançon sacrificielle offerte par Jésus Christ possède un tel pouvoir, comme l’apôtre Jean l’a établi clairement dans une lettre adressée aux chrétiens en ces termes : “Le sang de Jésus (...) nous purifie de tout péché.” — I Jean 1:7 ; Ps. 49:6-8.
En outre, la loi que Dieu donna à son peuple dans l’Antiquité prescrivait de ne pas utiliser le sang, mais de le verser sur le sol (Deut. 12:16). Plus tard, les chrétiens reçurent l’injonction formelle de ‘s’abstenir du sang’. (Actes 15:28, 29.) Ainsi, “offrir son sang en sacrifice” est une initiative sans valeur que Dieu n’approuve pas.
Bonne soirée,
Pierre
Arlitto 1 a écrit :Accepter une fraction de sang ou une transfusion de sang, je ne vois pas la différence.
Luxus a écrit : C'est ce que j'essaie de comprendre justement. Surtout qu'en y réfléchissant, on peut considérer que prendre le sang pour le fractionner c'est en faire un mauvais usage, non ?
C'est bien pour ça que le CC a décidé de laisser à la conscience la question des fractions mineures.Arlitto 1 a écrit :J'avoue que j'ai dû mal à comprendre cette "nouvelle" conception sur l'interdiction de prendre du sang.