bsr,bahhous" a écrit :
c'est cette façon de debattre qu'il faut eviter ; en effet aprés avoir tout expliqué au sujet de l'abrogation ( voir le lien ) tu me reposes la question comme si rien n'a été dit !! j’aurais préféré que tu refutes mes arguments ou bien demander des precisions sur ce qui a été dit !!
j'ai bien donner l'interpretations des 106 et 101 et j'ai expliqué que le terme NASAKHA dans le coran veut dire inscrire et non pas annuler ou abroger !! voici le lien :
http://www.forum-religion.org/islam/pas ... 28428.html
On pourrait croire a la lecture des premières contradiction dans le coran a une certaine liberté laissée à l’interprétation, Mais moi je le vois pas ainsi.
Je m'explique:
Des versets spécifiques on contribuer a la mise en place de cette religion, moment particulièrement difficile (sic)
Une fois l’islam établi, peu avant la mort du prophete-tyran, et la fin des e-mails de Jibril (l'ange Gabriel)
le prophete-tyran en a pondu d'autres qui serviront aux futures converti(e)s (de force).
Dans cette optique, est dans quelque domaine que se soit, lorsqu’il existe deux versets contradictoires dans le Coran, le verset le plus ancien celui éditè au commencement de cette religion sera abrogé .
C’est-à-dire nul et non avenu, remplacé par le verset plus récent qui lui s’adresse aux futures converti(e)s (de force).
C’est bien le Dieu de la mecque lui-même qui a éditè le principe de cette exégèse dans le Coran.
exemple le verset dit (de l’épée) :
Voici le commentaire de ce verset que fait Viviane Liati, agrégée d’arabe, docteur en histoire des religions, maître de conférences à l’Université Paris VIII :
« Ce verset fait partie d’une sourate, la neuvième, (…) la dernière “ descendue ” et, de ce fait, (…) les prescriptions qu’elle contient ont une valeur définitive car elles ne peuvent plus être abrogées. Le Coran étant la parole éternelle de Dieu, son champ d’application ou son efficace performative ne sauraient être limités, en principe, ni dans l’espace ni dans le temps. »11
Hamadi Redissi, redit ici l’importance de ce verset :
« Une lecture canonique de ce verset abroge de fait les cent quatorze à cent vingt-quatre versets qui appellent les musulmans à la patience, la tolérance… »
Viviane Liati poursuit son propos en montrant comment, au XXe siècle, l’exégèse moderne du Coran a tenté de dépasser la théorie de l’abrogation. Elle commence par cette constatation :
« La théorie de l’abrogation est trop bien établie pour être contestée, mais ce qui peut être discuté, ce sont les modalités de son application. »
Elle prend l’exemple du Manâr , qui propose de passer du principe de l’abrogation à celui de « l’oubli ». Allah n’aurait pas abrogé, supprimé, les anciens versets par la descente de nouveaux, mais appellerait les musulmans à les oublier. Cette nuance autoriserait les musulmans à observer un temps, si le contexte les y incite, les anciennes prescriptions.
Viviane Liati reprend maintenant le Coran en utilisant les principes de cette exégèse moderne :
« Lorsque les musulmans sont en position de faiblesse et qu’ils sont minoritaires, ils doivent “ oublier ” l’injonction de combattre et au contraire prendre patience devant les préjudices qu’ils subissent, jusqu’à ce qu’ils soient en position de force. À ce moment-là, ils pourront alors “ oublier ” l’appel à la résignation et assumer le devoir de combattre. On ne doit donc pas parler dans ce cas d’abrogation car cela signifierait qu’une prescription est abolie définitivement et qu’il n’est plus permis de l’observer. »
Ainsi même si temporairement la guerre sainte ne s’exprime pas, elle peut ressurgir à tout moment, mettant ainsi en pratique la parole divine.
Conclusion, tu donne ta version, je donne la mienne, mais il y a bien annulation, abrogation, oublie, nul et non avenu, de toute façon m'en fous appelle ça comme tu veux.