Vic a écrit :L'inconscient a bien été démontré scientifiquement , c'est comme de miroir inversé du conscient .
Est ce que vous pouvez imaginer des montagnes sans les vallées ?
Sans la souffrance , vous ne pourriez pas savoir ce qu'est la félicité si vous ne pouviez pas la comparer à son opposé , la félicité n'aurait aucune signification pour vous, aucun sens .
Réfléchissez bien à cela .
L'image globale ne comprend-elle pas la vallée et la montagne et tout ce qu'il plaît d'ajouter et/ou de retirer au gré des événements façonnés par l'histoire? Le portrait (l'absolu), bien qu'évolutif, est-il limité ou intrinsèquement lié à l'un ou des éléments (composantes) du paysage? Dans mon champ de vision et d'entendement, je ne crois pas qu'il le soit.
Même chose pour la souffrance et la félicité et tout ce qu'il plaît d'ajouter et/ou de retirer au gré de l'évolution de l'espèce humaine. Ces attributs font partie du plan matériel d'existence dont les composantes sont appelées à se décomposer et reconstruire. Il n'en demeure pas moins cependant que la félicité, à titre d'exemple, n'a pas besoin de la souffrance pour être consciente d'elle même, puisque son schème de comparaison peut tout aussi bien être la splendeur, la magnificence, etc.
Quant à l'attribution du mot Absolu en référence au mot Dieu, je ne peux que présumer qu'à ce stade, il n'y a pas de schème de comparaison, car tout est y est englobé y compris l'ex-nihilo, terme que j'associe à l'inconscience, l'inconsistance, le vide, le néant, ou kekchose du genre.
Et bien sûr, j'ai tenté de définir Dieu en tant qu'humaine dotée d'un brin de conscience et d'intelligibilité au niveau de notre ADN qui nous distingue du règne animal. Quant à l'ultime Absolu de dieu, il est de toute évidence indépendant de tout attribut, même de l'essence qui me semble parfois le composer.
Je continue de vous lire et je reviens si l'élan m'y incite. Que ce fil remporte un franc succès !