prisca a écrit : ↑10 juil.20, 07:38
Encore des idées saugrenues inventées.
Omar13 dis toi une chose.
Dieu a tout organisé depuis Moise pour que sa Parole nous parvienne grâce à Jésus, afin que nous sachions ce que DIEU veut nous dire afin d'aller au Paradis, donc la BIBLE est intègre, juste, véritable, sainte car DIEU a veillé à ce qu'elle le soit.
Il faut qu'un jour tu puisses entendre raison.
prisca, je crois en Allah et a ce qu'Il a fait descendre sur ses prophètes.
dans son livre, le noble Coran, Allah, qui sait tout et qui voit tout, a bien parlé du complot que les Israélites et surtout les Romains, avaient préparé a son messager jesus christ.
la preuve divine se trouve dans la sourate 3:
sourate 3:
52. Puis, quand Jésus ressentit de l’incrédulité, de leur part, il dit: «Qui sont mes alliés dans la voie d’Allah?»
Les apôtres dirent: «Nous sommes les alliés d’Allah. Nous croyons en Allah. Et sois témoin que nous lui sommes soumis.
53. Seigneur! Nous avons cru à ce que Tu as fait descendre et suivi le messager. Inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent».
54.
Et ils [les autres] se mirent à stratégier. Allah aussi stratégie. Et Allah est le meilleur de stratèges!
Les autres, se sont les israélites et les romains qui avaient complotés contre jesus christ:
Le complots dont parle la sourate 3:52,53 et 54, est expliqué clairement dans la bible:
Matthieu 26/3 à 67
« Alors les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple se réunirent dans la cour du souverain
sacrificateur, appelé Caïphe ; et ils délibérèrent sur les moyens d'arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir …
( 26/57 ) Ceux qui avaient saisi Jésus l'emmenèrent chez le souverain sacrificateur Caïphe, où les scribes et les
anciens étaient assemblés … ( 26/59 ) Les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient quelque
faux témoignage contre Jésus, suffisant pour le faire mourir ... ( 26/63 ) Jésus garda le silence. Et le souverain
sacrificateur, prenant la parole, lui dit : Je t'adjure, par le Dieu vivant, de nous dire si tu es le Christ, le Fils de
Dieu. Jésus lui répondit : Tu l'as dit. De plus, je vous le déclare, vous verrez désormais le Fils de l'homme assis
à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel. Alors le souverain sacrificateur déchira ses
vêtements, disant : Il a blasphémé ! Qu'avons-nous encore besoin de témoins ? Voici, vous venez d'entendre son
blasphème. Que vous en semble ? Ils répondirent : Il mérite la mort. Là-dessus, ils lui crachèrent au visage, et
lui donnèrent des coups de poing et des soufflets »
Cet adversaire déclaré de Jésus est le premier à avoir annoncer que Jésus devait mourir pour la sauvegarde du
peuple et pour l'unification des enfants de Dieu en un seul corps , comme en témoigne l'évangéliste Jean :
Jean 11/45 à 53
« Plusieurs des Juifs qui étaient venus vers Marie, et qui virent ce que fit Jésus, crurent en lui. Mais
quelques-uns d'entre eux allèrent trouver les pharisiens, et leur dirent ce que Jésus avait fait. Alors les
principaux sacrificateurs et les pharisiens assemblèrent le sanhédrin, et dirent : Que ferons-nous ? Car
cet homme fait beaucoup de miracles. Si nous le laissons faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront
détruire et notre ville et notre nation. L'un d'eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là,
leur dit : Vous n'y entendez rien; vous ne réfléchissez pas qu'il est dans votre intérêt qu'un seul homme meure
pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas. Or, il ne dit pas cela de lui-même; mais étant souverain
sacrificateur cette année-là, il prophétisa que Jésus devait mourir pour la nation. Et ce n'était pas pour
la nation seulement; c'était aussi afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés.
Dès ce jour, ils résolurent de le faire mourir »
il faut bien lire les deux versets bibliques pour comprendre le complot préparé a jesus christ.
Ces ayates, parlent du moment ou les israélites et les romains, allaient faire irruption pour faire arreter jesus christ , alors qu'il était réuni avec ses apôtres (lors de la grande Cène).