Ok Vic sur la qualité littéraire en effetvic a écrit : ↑25 avr.22, 06:13 Là tu nous parles d'un roman qu'il a écrit , pas de sa pensée à lui . A chaque fois qu'il écrit un roman tu as des journalistes qui pensent qu'il dépeint sa propre pensée dans ses romans . En plus tu nous cites le site la croix deux fois , comme si ce site pouvait être objectif puisque Catho sur l'analyse de son roman pour en faire un transfuge sur Houellebecq lui même et sa propre pensée .Ce sont probablement ses personnages de roman qui pensent comme ça , pourquoi prétendre que c'est lui qui pense ?
UN exemple sur quoi la théorie du journal la croix sur un Houellebecq devenu religieux : Je cite ;
L’efficacité est l’un des credo de Paul ; la maladie, « obscène », est inenvisageable ; et lui est devenue insupportable « l’impermanence en elle-même ; l’idée qu’une chose, quelle qu’elle soit, se termine » – c’est-à-dire « rien d’autre qu’une des conditions essentielles de la vie », remarque le narrateur.
Ben c'est dans son roman , ça n'est pas Houellebecq qui pense .Chez Houellebecq , le narrateur ça peut être un personnage fictif .
Dans l'entretien accordé à Lire, Michel Houellebecq avait notamment affirmé que «la religion la plus con, c'est quand même l'islam», se disant «effondré» à la lecture du Coran. «La bible au moins c'est très beau parce que les juifs ont un sacré talent littéraire», a insisté l'écrivain, vantant au passage l'art religieux chrétien.
Preuve sur ce lien pour ces citations du nouvel obs : https://www.nouvelobs.com/culture/20021 ... elaxe.html
Donc d'un point de vue littéraire , Il n'a pas aimé le Coran , mais a aimé la bible .C'est suffisamment clair non ?
Mais c’était par rapport à la religion que la pensée de Houellebecq est bien plus nostalgique que tu ne le penses d’une société ayant un sens par la croyance en Dieu
Mais on s’est éloigné du sujet
Alors je reste sur ma citation de Goethe qui n’est pas le plus petit des écrivains tu en conviendras
Ajouté 5 minutes 25 secondes après :
"En réalité, la question religieuse est présente depuis le début chez Houellebecq", explique Bruno Viard, universitaire spécialiste de Houellebecq
"Il est hanté par le spectre de la disparition de la religion. Houellebecq ne croit pas en Dieu. Mais il affirme qu’aucune société ne peut survivre sans religion sous peine de suicide car, avec la famille, la religion répond à une nécessité sociologique essentielle qui est de relier les hommes et de donner un sens à leur existence. »