La date de la fin du monde est contenu de manière cachée dans la bible.
Elle se trouve dans le chapitre 12 de Daniel.
Jésus à son époque n'avait pas pu la voir parce que personne ne pouvait la voir avant qu'on arrive à la période de la fin des temps.
Je peux la voir parce que je suis un prophète envoyé par Dieu pour vous la donner.(Samedi 17 mars 2029 vers midi heure de Jérusalem)
"Bientôt la fin, c'est irrémédiable"
- San Sanchez
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Re: "Bientôt la fin, c'est irrémédiable"
Ecrit le 13 févr.20, 14:01- Patrice1633
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Re: "Bientôt la fin, c'est irrémédiable"
Ecrit le 14 févr.20, 16:26Matthieu 24 :14
La bonne nouvelle vous sera precher meme dans les forums d'instabilite intelligente
ET ENSUITE VIENDRA LA FIN ..
On ne peut pas passer au côté car tout prophetie de la bible se realise ....
La bonne nouvelle vous sera precher meme dans les forums d'instabilite intelligente
ET ENSUITE VIENDRA LA FIN ..
On ne peut pas passer au côté car tout prophetie de la bible se realise ....
Re: "Bientôt la fin, c'est irrémédiable"
Ecrit le 15 févr.20, 08:08.
C'est la première fois dans l'histoire du monde profane que des scientifiques, et des non-croyants, annoncent une fin prochaine de ce monde, cela n'était jamais arrivé, pas une seule fois annoncé depuis que le monde est monde.
_____________________________________________________________________
Complément d'enquête. Fin du monde : et si c'était sérieux ? - 20 juin 2019 (France 2)
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, des scientifiques sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître.
La "star" de ces "collapsologues" (du latin collapsus, effondrement), c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences et les ouvrages. Dans son sillage, de plus en plus de citoyens se mobilisent et tentent d'imaginer d'autres modèles. Comment se préparer à la fin du monde ? Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ?
La fin du monde n’a jamais été aussi proche… Date annoncée de "l’apocalypse" : 2030. Et cette fois-ci, ce n’est pas une prophétie qui le dit, mais des scientifiques très sérieux. On les appelle les "collapsologues", du latin collapsus, qui signifie effondrement.
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, ils sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. Leur "star", c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences. Dans ses livres vendus à plus de 100 000 exemplaires, il démontre "scientifiquement" qu’il est déjà trop tard pour lancer la transition écologique et qu’il faut réfléchir à l’"après". Certains disciples y croient dur comme fer et sombrent dans de profondes angoisses existentielles.
Catastrophes naturelles et réfugiés climatiques
Selon les collapsologues, les catastrophes naturelles vont se multiplier et les réfugiés climatiques déferler dans nos villes et campagnes. "Complément d’enquête" s'est plongé au cœur de ce mouvement catastrophiste qui mobilise de plus en plus de citoyens, de tous horizons. En France, le magazine a rencontré des cadres supérieurs ou des fonctionnaires qui migrent dans le Cantal. Ils s’initient très sérieusement à la permaculture pour assurer leur autonomie alimentaire.
Comment se préparer à la fin du monde ? Aux Etats-Unis, des activistes sont prêts à saboter des routes et des usines pour accélérer l’effondrement de la civilisation. Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? Le gouvernement a-t-il un plan de secours ? Pour évaluer la crédibilité de cette menace, "Complément d'enquête" a interrogé des experts, des climatologues, des ingénieurs, des démographes, et même le Premier ministre.
Un documentaire réalisé par Sylvain Pak
C'est la première fois dans l'histoire du monde profane que des scientifiques, et des non-croyants, annoncent une fin prochaine de ce monde, cela n'était jamais arrivé, pas une seule fois annoncé depuis que le monde est monde.
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Complément d'enquête. Fin du monde : et si c'était sérieux ? - 20 juin 2019 (France 2)
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, des scientifiques sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître.
La "star" de ces "collapsologues" (du latin collapsus, effondrement), c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences et les ouvrages. Dans son sillage, de plus en plus de citoyens se mobilisent et tentent d'imaginer d'autres modèles. Comment se préparer à la fin du monde ? Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ?
La fin du monde n’a jamais été aussi proche… Date annoncée de "l’apocalypse" : 2030. Et cette fois-ci, ce n’est pas une prophétie qui le dit, mais des scientifiques très sérieux. On les appelle les "collapsologues", du latin collapsus, qui signifie effondrement.
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, ils sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. Leur "star", c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences. Dans ses livres vendus à plus de 100 000 exemplaires, il démontre "scientifiquement" qu’il est déjà trop tard pour lancer la transition écologique et qu’il faut réfléchir à l’"après". Certains disciples y croient dur comme fer et sombrent dans de profondes angoisses existentielles.
Catastrophes naturelles et réfugiés climatiques
Selon les collapsologues, les catastrophes naturelles vont se multiplier et les réfugiés climatiques déferler dans nos villes et campagnes. "Complément d’enquête" s'est plongé au cœur de ce mouvement catastrophiste qui mobilise de plus en plus de citoyens, de tous horizons. En France, le magazine a rencontré des cadres supérieurs ou des fonctionnaires qui migrent dans le Cantal. Ils s’initient très sérieusement à la permaculture pour assurer leur autonomie alimentaire.
Comment se préparer à la fin du monde ? Aux Etats-Unis, des activistes sont prêts à saboter des routes et des usines pour accélérer l’effondrement de la civilisation. Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? Le gouvernement a-t-il un plan de secours ? Pour évaluer la crédibilité de cette menace, "Complément d'enquête" a interrogé des experts, des climatologues, des ingénieurs, des démographes, et même le Premier ministre.
Un documentaire réalisé par Sylvain Pak
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1) http://arlitto.forumprod.com/
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Re: "Bientôt la fin, c'est irrémédiable"
Ecrit le 27 févr.20, 23:28Jusqu'à 1 million d'espèces pourraient être menacées d'extinction
Par Sciences et Avenir avec AFP le 23.04.2019
Un projet de rapport de l'ONU met en lumière des "preuves indépendantes signalant une accélération rapide imminente du taux d'extinction des espèces".
Un employé d'une ONG dans une plantation de durian à Raub, dans la banlieue de Kuala Lumpur, en Malaisie, le 19 décembre 2018
AFP/Archives - Mohd RASFAN
L'Homme dépend de la nature mais la détruit méthodiquement : jusqu'à un million d'espèces animales et végétales pourraient être menacées d'extinction, dont beaucoup "dans les prochaines décennies", selon un projet de rapport de l'ONU sur la biodiversité, obtenu par l'AFP.
Des "preuves indépendantes signalent une accélération rapide imminente du taux d'extinction"
Eau potable, forêts qui absorbent le CO2, insectes pollinisateurs nécessaires aux cultures, poissons... La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) va se réunir du 29 avril au 4 mai 2019 à Paris pour adopter la première évaluation mondiale des écosystèmes depuis près de 15 ans. L'état des lieux de la biodiversité devrait être aussi inquiétant que les prévisions sur le changement climatique. Le rapport de 1.800 pages sur lequel travaillent 150 experts de 50 pays depuis 3 ans sera accompagné d'un "résumé pour les décideurs" qui doit être discuté ligne à ligne et adopté par les 130 pays membres de l'IPBES, sur le modèle des rapports du Giec sur le climat.
Selon le projet de résumé obtenu par l'AFP - dernier en date, daté de janvier -, diverses "preuves indépendantes signalent une accélération rapide imminente du taux d'extinction des espèces (...) même si les facteurs (de cette extinction) ne s'intensifient pas". Sur les 8 millions d'espèces estimées (dont 5,5 millions d'espèces d'insectes) sur la planète, "un demi-million à un million d'espèces devraient être menacées d'extinction, dont beaucoup dans les prochaines décennies", poursuit le texte. La formulation peut changer selon ce que les gouvernements décideront de mettre en avant, mais pas les conclusions scientifiques. Ces projections correspondent aux mises en garde de nombreux scientifiques qui estiment que la Terre est au début de la 6e "extinction de masse", la première attribuée à l'Homme qui a déjà fait disparaître au moins 680 espèces de vertébrés depuis 500 ans.
Premières responsables : l'utilisation des terres et l'exploitation des ressources
Le rapport est en partie basé sur l'analyse d'espèces bien étudiées, notamment les vertébrés, mais met en avant les "incertitudes" concernant nombre d'autres moins connues, en particulier les insectes. La disparition de cette biodiversité a un impact direct sur l'Homme. Nourriture, énergie, médicaments : "les apports que les gens tirent de la nature sont fondamentaux pour l'existence et la richesse de la vie humaine sur Terre, et la plupart d'entre eux ne sont pas totalement remplaçables", met en garde le texte. Par exemple, plus de 2 milliards de personnes dépendent du bois pour l'énergie, quatre milliards utilisent une médecine naturelle et 75% des cultures ont besoin d'être pollinisées par des insectes.
Premiers responsables de cette sombre situation : l'utilisation des terres (agriculture, exploitation forestière, mines) et l'exploitation directe des ressources (pêche, chasse). Viennent ensuite le changement climatique, les pollutions et les espèces invasives, dont l'impact est "à ce jour relativement moins important", mais "s'accélère". Mais le texte met aussi en avant les liens entre cette perte de biodiversité et le changement climatique, parfois encouragés par les mêmes facteurs, en particulier le modèle agricole dans un monde de plus en plus peuplé.
Perte de biodiversité dans le monde Crédit : AFP - Simon MALFATTO
Nous devons reconnaître que le changement climatique et la perte de la nature sont tout aussi importants, pas seulement pour l'environnement, mais pour des questions économiques et de développement", avait indiqué récemment à l'AFP le patron de l'IPBES Robert Watson, appelant à une "transformation" de la production alimentaire et énergétique. "Si nous voulons une planète durable qui fournit des services aux communautés autour du monde, nous devons changer de trajectoire dans les 10 prochaines années, comme nous devons le faire pour le climat", a souligné de son côté Rebecca Shaw, scientifique en chef de WWF.
Le rapport estime d'autre part que trois-quarts des surfaces terrestres, 40% de l'environnement marin et la moitié des cours d'eau ont été "gravement altérés". Et les régions les plus touchées sont celles où vivent des peuples autochtones particulièrement dépendants de la nature ou des populations pauvres déjà plus vulnérables aux impacts du changement climatique.
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux ... ion_133143
Par Sciences et Avenir avec AFP le 23.04.2019
Un projet de rapport de l'ONU met en lumière des "preuves indépendantes signalant une accélération rapide imminente du taux d'extinction des espèces".
Un employé d'une ONG dans une plantation de durian à Raub, dans la banlieue de Kuala Lumpur, en Malaisie, le 19 décembre 2018
AFP/Archives - Mohd RASFAN
L'Homme dépend de la nature mais la détruit méthodiquement : jusqu'à un million d'espèces animales et végétales pourraient être menacées d'extinction, dont beaucoup "dans les prochaines décennies", selon un projet de rapport de l'ONU sur la biodiversité, obtenu par l'AFP.
Des "preuves indépendantes signalent une accélération rapide imminente du taux d'extinction"
Eau potable, forêts qui absorbent le CO2, insectes pollinisateurs nécessaires aux cultures, poissons... La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) va se réunir du 29 avril au 4 mai 2019 à Paris pour adopter la première évaluation mondiale des écosystèmes depuis près de 15 ans. L'état des lieux de la biodiversité devrait être aussi inquiétant que les prévisions sur le changement climatique. Le rapport de 1.800 pages sur lequel travaillent 150 experts de 50 pays depuis 3 ans sera accompagné d'un "résumé pour les décideurs" qui doit être discuté ligne à ligne et adopté par les 130 pays membres de l'IPBES, sur le modèle des rapports du Giec sur le climat.
Selon le projet de résumé obtenu par l'AFP - dernier en date, daté de janvier -, diverses "preuves indépendantes signalent une accélération rapide imminente du taux d'extinction des espèces (...) même si les facteurs (de cette extinction) ne s'intensifient pas". Sur les 8 millions d'espèces estimées (dont 5,5 millions d'espèces d'insectes) sur la planète, "un demi-million à un million d'espèces devraient être menacées d'extinction, dont beaucoup dans les prochaines décennies", poursuit le texte. La formulation peut changer selon ce que les gouvernements décideront de mettre en avant, mais pas les conclusions scientifiques. Ces projections correspondent aux mises en garde de nombreux scientifiques qui estiment que la Terre est au début de la 6e "extinction de masse", la première attribuée à l'Homme qui a déjà fait disparaître au moins 680 espèces de vertébrés depuis 500 ans.
Premières responsables : l'utilisation des terres et l'exploitation des ressources
Le rapport est en partie basé sur l'analyse d'espèces bien étudiées, notamment les vertébrés, mais met en avant les "incertitudes" concernant nombre d'autres moins connues, en particulier les insectes. La disparition de cette biodiversité a un impact direct sur l'Homme. Nourriture, énergie, médicaments : "les apports que les gens tirent de la nature sont fondamentaux pour l'existence et la richesse de la vie humaine sur Terre, et la plupart d'entre eux ne sont pas totalement remplaçables", met en garde le texte. Par exemple, plus de 2 milliards de personnes dépendent du bois pour l'énergie, quatre milliards utilisent une médecine naturelle et 75% des cultures ont besoin d'être pollinisées par des insectes.
Premiers responsables de cette sombre situation : l'utilisation des terres (agriculture, exploitation forestière, mines) et l'exploitation directe des ressources (pêche, chasse). Viennent ensuite le changement climatique, les pollutions et les espèces invasives, dont l'impact est "à ce jour relativement moins important", mais "s'accélère". Mais le texte met aussi en avant les liens entre cette perte de biodiversité et le changement climatique, parfois encouragés par les mêmes facteurs, en particulier le modèle agricole dans un monde de plus en plus peuplé.
Perte de biodiversité dans le monde Crédit : AFP - Simon MALFATTO
Nous devons reconnaître que le changement climatique et la perte de la nature sont tout aussi importants, pas seulement pour l'environnement, mais pour des questions économiques et de développement", avait indiqué récemment à l'AFP le patron de l'IPBES Robert Watson, appelant à une "transformation" de la production alimentaire et énergétique. "Si nous voulons une planète durable qui fournit des services aux communautés autour du monde, nous devons changer de trajectoire dans les 10 prochaines années, comme nous devons le faire pour le climat", a souligné de son côté Rebecca Shaw, scientifique en chef de WWF.
Le rapport estime d'autre part que trois-quarts des surfaces terrestres, 40% de l'environnement marin et la moitié des cours d'eau ont été "gravement altérés". Et les régions les plus touchées sont celles où vivent des peuples autochtones particulièrement dépendants de la nature ou des populations pauvres déjà plus vulnérables aux impacts du changement climatique.
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux ... ion_133143
Mes forums :
1) http://arlitto.forumprod.com/
2) http://arlad.forumactif.org/
3) http://arlitto.forumactif.com
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