...ne supplie pas, ne quémande pas...ouvre ton coeur, parle lui comme à un ami...cela commencera par une tiède chaleur qui t'envahi...et là, peut être entendra tu...et ne sois pas septique dès le départ...laisse tes doutes de côté... offre lui ton amour et écoute...
Merci florence et nuage pour l'expérience que vous m'apportez.
J'ai déjà parfois cette tiède chaleur qui me fait pleurer de joie et/ou compassion (je n'oserai pas parler d'amour, je n'en suis pas encore capable)... Mais je sais quelle disparaît quand je me concentre trop sur cette joie, quand je cherche trop cette joie comme une fin en soi,quand je désire cette joie comme un plaisir lambda... Je m'enorgueillis d'une certaine façon d'avoir cette joie et mon orgueil fait disparaître cette joie... Mon égo fait fuir cette joie je pense.
C'est une chaude vague qui te fait trésaillir, qui te pousse vers le prochain, c'est une sorte de communion. Mais c'est une vague fragile qui disparaît quand le coeur est préoccupé de lui-même et sale de ses péchés...
Osmosis, n'y voit pas des pratiques ésotériques. C'est quelque chose de très simple qui ne se contrôle pas. Ce n'est d'ailleurs pas "hérétique" pour un Chrétien de vivre cela puisqu'il est écrit que Dieu est en chacun de nous. Dieu peut tout à fait s'exprimer ainsi et c'est aux fruits de la personne qui le vit que le spectateur (et que celui qui le vit) sait si ces "voix" sont mauvaises ou bonnes.
Peut-être est-ce de l'auto persuasion inconsciente... Mais c'est dans ce cas là une auto-persuasion qui te pousse vers quelque chose de bon.
Je n'ai jamais ressenti cette joie lorsque j'avais ce qu'on appelle communément les bas instincts de haine, de désir, de plaisir de voir l'autre souffrir... Je ressens plutôt alors une grimace désagréable qui me déforme la bouche. C'est ce que je déteste le plus ressentir.
Cela peut paraître obscur, mais ce serait impossible pour moi de vouloir l'ignorer. Je tâche de l'analyser en gardant tant que possible un esprit pragmatique.
Je vais davantage prier florence et nuage... depuis le temps que je désire davantage prier mais que je ne me lance pas... il serait peut-être temps!