Posté : 02 déc.05, 16:26
gerard écrit
que le monde se justifie par rapport à leur choix de vie. Au nom de quoi devons-nous nous justifier sur les pratiques, besoins et autres plaisirs sexuels de certains ? Il y a là selon moi, un gros problème de perception de ce qu'est la religion. La religion tente de définir les relations humaines et non de définir, de jusitfier, de moraliser des pratiques qui ne concernent que leurs auteurs. Quelle conséquence exite-t-il dans un rapport homosexuel excepté pour ceux qui le vivent ?
Qu'y a-t-il de comparable ? On parle de la couleur de la peau comme d'autres ont parlé du nez des juifs. Or, ta sexualité si tu n'en parles pas, personne n'est censé la connaitre. Les homos se définissent comme tel et souhaitent que le monde s'exprime à leur sujet. Pourquoi ?
Des étrangers à eux-mêmes, pourquoi persister à se définir ainsi ?
Suis-je hétéro en dehors de mes rapports sexuels ?
Pour moi, les homos savent que ce qu'ils vivent les isole, est le seul moyen d'exister est de revendiquer. Mais on se définit bien plus en tant qu'être humain avec tout ce que ça implique qu'en tant qu'organe sexuel.
Etant le seul à prendre plaisir de mes relations sexuelles ais-je le droit
de demander à ceux qui n'y participent pas de se justifier ? Maintenant, penses-tu que l'église puisse se porter en faveur de pratiques sexuelles qui n'ont de conséquence que le plaisir et ne concernent que ceux qui les ont ?
Mon sexe n'est le siège de mes émotions, ni celui de ma morale.
Ne penses-tu pas que le véritable péché est bien une vision égocentrique du monde plus que la sexualité ?
Tu t'enfonces de plus en plus. Depuis quand les homosexuels sont une race. Tes parents sont des homosexuels nés eux-mêmes de parents homosexuels. Relis, mes premiers posts et comprends que pour moi certains cachent leur égocentrisme derrière l'homosexualité. Ils souhaitentC'est bien navrant. Cela veut dire que la réponse se trouve dans la question. C'est un préjugement, c'est du racisme. Comme si on demandait au Klu Klux Klan si "être noir" c'est moral. C'est vrai, c'est sans issue.
que le monde se justifie par rapport à leur choix de vie. Au nom de quoi devons-nous nous justifier sur les pratiques, besoins et autres plaisirs sexuels de certains ? Il y a là selon moi, un gros problème de perception de ce qu'est la religion. La religion tente de définir les relations humaines et non de définir, de jusitfier, de moraliser des pratiques qui ne concernent que leurs auteurs. Quelle conséquence exite-t-il dans un rapport homosexuel excepté pour ceux qui le vivent ?
La vraie question desavoir pourquoi. Tu compares les homos ou noirs.Tu avoueras qu'on n'a pas attendu l'avis des homosexuels sur eux-mêmes pour les rejetter. Donc le problème ne vient pas d'eux, mais de ceux qui les rejettent.
Qu'y a-t-il de comparable ? On parle de la couleur de la peau comme d'autres ont parlé du nez des juifs. Or, ta sexualité si tu n'en parles pas, personne n'est censé la connaitre. Les homos se définissent comme tel et souhaitent que le monde s'exprime à leur sujet. Pourquoi ?
Oui, sauf qu'on lui interdit en même de fournir une autre réponse que celles qui arragent les personnes concernées.Parce que ce n'est pas aussi simple. Les scatos-nécros (ou les pédophiles) savent bien où ils en sont. Ils n'ont pas de doutes sur leur état. Mais les homosexuels peuvent légitimement s'interroger sur la valeur morale de leurs actes (en matière sexuelle). D'autant plus que les avis sont trés partagés : perversion ? malformation innée ? Conduite dangereuse ? Et pour qui ? Il y a DOUTE. Et quand il y a doute, c'est là que l'Eglise pourrait jouer pleinement son rôle de conseil.
Tu veux te définir par rapport à ta sexualité sans en assumer pleinement les conséquences. Il y a là quelque chose qui m'échappe. La croyance en Dieu implique que l'on soit libre et responsable de ses actes et de ses relations avec autrui, les homos affirment au contraire en être victime.Mais l'Eglise n'a pas l'air d'en savoir plus que les homos. Si Jesus était là, je suis sûr qu'il pourrait répondre de façon claire à la question. C'est la preuve que l'Eglise a perdu son inspiration et qu'elle ne peut pas faire face à des questions qui étaient tabous jusqu'à aujourd'hui.
Des étrangers à eux-mêmes, pourquoi persister à se définir ainsi ?
Suis-je hétéro en dehors de mes rapports sexuels ?
Pour moi, les homos savent que ce qu'ils vivent les isole, est le seul moyen d'exister est de revendiquer. Mais on se définit bien plus en tant qu'être humain avec tout ce que ça implique qu'en tant qu'organe sexuel.
Etant le seul à prendre plaisir de mes relations sexuelles ais-je le droit
de demander à ceux qui n'y participent pas de se justifier ? Maintenant, penses-tu que l'église puisse se porter en faveur de pratiques sexuelles qui n'ont de conséquence que le plaisir et ne concernent que ceux qui les ont ?
Mon sexe n'est le siège de mes émotions, ni celui de ma morale.
Ne penses-tu pas que le véritable péché est bien une vision égocentrique du monde plus que la sexualité ?