Posté : 25 mars06, 23:50
Oui un lien que tu utilises seulement lorsque ça t'arrangeSimplement moi a écrit : "Ma bible" Azuphel... car je ne connais pas TOUT par coeur bien entendu je t'en ai donné le lien... des douzaines de fois.
http://epelorient.free.fr/ba/ba.html
J'y trouve des explications, une navigation aisée... et matière a réflexion.
ET ensuite j'essaye... de le dire aussi avec mes mots.
Sur la question de Jonas, tu disais:
je me répète: que dit textuellement le texte ????
Moi tu sais bien que je lis le texte... et les interprétations sont nombreuses et variées.
Et que dit ton lien que tu m'as donné des douzaines de fois
Jonas sentit alors que ce poisson était pour lui un instrument, non de mort, mais de salut.
Le miracle, dans le cas particulier ne consiste donc pas dans la conservation du corps de Jonas, mais d'abord dans la présence du poisson au moment où il fut jeté à la mer, puis dans la conservation de l'étincelle de vie.
Je vais te répété exactement ce que tu m'as dis: Je me répète: que dit textuellement le texte ????
Tes efforts sont vaines Monsieur.....Genèse 18
18 et 19
Les anges chez Abraham et à Sodome.
Destruction des villes de la Plaine
Ce récit d'une fraîcheur et d'une beauté littéraire remarquables appartient au document jéhoviste. Nous y admirons l'intimité dans laquelle Abraham vit avec l'Eternel. Il intercède hardiment auprès de lui en faveur des villes du pays menacées de ruine ; et l'Eternel le renseigne sur le jugement qu'il va accomplir. Ce sont ces rapports familiers avec l'Eternel qui ont valu à Abraham le titre d'ami de Dieu (Esaïe 46.8 ; Jacques 2.23).
1 1-8. Trois êtres célestes acceptent l'hospitalité d'Abraham. Cette visite de l'Eternel a eu lieu dans le même temps que la révélation du chapitre 17, c'est-à-dire un an avant la naissance d'Isaac. Comparez 17.21 et 17.10. Après treize ans de silence (entre les chapitres 16 et 17), les communications divines se multiplient, car l'accomplissement est proche.
La première partie du verset 1 est le sommaire de tout le récit. De là vient que l'auteur nomme déjà l'Eternel, tandis que dans le récit même il ne le désigne comme tel que dès le moment où Abraham le reconnaît.
Dans la chênaie de Mamré : près d'Hébron ; c'était son domicile habituel depuis son retour d'Egypte (13.18 ; 14.13).
2 Se tenant devant lui. S'arrêter à quelque distance de l'entrée de la tente est encore aujourd'hui chez les Arabes une manière de demander l'hospitalité.
Se prosterna en terre. Forme ordinaire de la salutation orientale.
3 Abraham reconnaît immédiatement la prééminence de l'un des trois hommes sur ses deux compagnons, et c'est à lui qu'il s'adresse.
Seigneur. Les copistes du texte hébreu, estimant qu'Abraham a dès l'abord reconnu l'Eternel, ont écrit ce mot avec l'orthographe spéciale qui convient au nom d'Adonaï, le Seigneur. Mais Abraham n'a point encore reconnu son hôte ; car il continue à le traiter comme un simple homme.
1- Pas une seule fois le mot "Ange" n'est cité dans ce chapitre.
2- Il ne dit pas les deux hommes partirent mais Les hommes
Comme ici: 16- S'étant levés,les hommes partirent de là et arrivèrent en vue de Sodome. Abraham marchait avec eux pour les reconduire.
Donc les trois cher Monsieur Et t'as beau tourné les versets dans tous les sens, l'auteur a commit une très grave erreur........D'abord il ne dit pas que deux des hommes sont des Anges, ensuite au lieu de dire "Deux hommes partirent" il dit "Les hommes partirent"
Yahvé ferait des erreurs pareilles ?