a écrit :=MonstreLePuissant
Voilà ! Tu admets enfin que ce que tu dis n'as aucune base scientifique, et que tu l'as sorti de ton chapeau. Ca n'a donc aucune valeur. C'est juste ton fantasme personnel.
mais ce n'est pas possible tu as un sérieux problème !!! Il te faut une base scientifique pour tout, c'est de la folie !!!La logique suffit face à ce type d'angoisse , il y a trois façon de les gommer , si tu en connais d'autres tu n'as qu'à le dire .
a écrit :Tu devrais apprendre à lire l'article que tu fournis.
et toi eviter de ne retenir que ce qui te convient sans tenir compte de la partie principale!!!
Un placebo (du latin placebō : « je plairai », de placeō : « je plais »N 1) est un procédé thérapeutique n'ayant pas d'efficacité propre ou spécifique
mais agissant sur le patient par des mécanismes psychologique et physiologiques. Il existe diverses formes de placebo (médicamenteuses, physiques, chirurgicales, etc.). Dans le domaine du médicament,
un « placebo pur » est un traitement sans aucune substance active ; un « placebo impur » est un produit actif sur le plan pharmacologique mais dépourvu d’effet sur la pathologie traitée, ou bien dont l’efficacité a été insuffisamment démontrée.
Les placebos sont utilisés en recherche médicale dans les groupes contrôles pour l'évaluation de traitements médicaux. Un médicament efficace est défini par son efficacité supérieure à celle d'un placebo ou par son efficacité supérieure au médicament de référence. Tout traitement peut cependant à la fois avoir un effet spécifique et un effet placebo (voire nocebo)1.
L’effet placebo correspond au résultat psycho-physiologique positif (bénéfique) constaté après l'administration d'une substance ou la réalisation d'un acte thérapeutique, indépendamment de l'efficacité intrinsèque attendue du traitement. Il a été observé chez des patients ou sujets d'expérience pour un groupe varié de symptômes et maladies2.
Cet effet serait de l’ordre de 30 % et pourrait atteindre 60-70 % dans les migraines ou
les dépressions. Néanmoins, globalement, l'effet placebo comparé à une absence de traitement ne se traduit par aucun effet clinique important. Dans les cas où les patients rapportent une diminution de douleur, il est difficile de distinguer les effets rapportés d'un possible biais de notification3. Une diminution de symptômes après traitement par placebo pourrait aussi s'expliquer par une guérison spontanée ou une régression naturelle de la maladie4.
La réponse placebo varie en fonction de plusieurs facteurs : contexte thérapeutique, personnalité du médecin,
attentes du patient, nature de la relation médecin-patient, forme, coût et complexité du traitement, etc. Cette réponse n'est
pas uniquement psychologique mais a des réalités biochimiques5.
L'effet psychologique ou physiologique lié à la prise d'une substance inerte n'est pas toujours bénéfique, il peut être dommageable pour l'individu : c'est l'effet nocebo (du latin : « je nuirai »), terme introduit en 1961 par Walter Kennedy.
sans compter ton lien où le début est assez clair
:Des produits n’ayant aucun effet thérapeutique intrinsèque peuvent améliorer l’état de santé d’un malade. Un phénomène très difficile à expliquer, mais pourtant bien réel. Explications sur cet apparent paradoxe.
a écrit :Il faut donc comparer à une autre groupe qui ne recevrait rien, donc qui ne serait pas croyant.
on s'en fout de cela ce qui compte c'est que chez certains cela est efficace !!!C'est tout !!!
Donc chez le croyant etant donné que dieu est un mythe , dieu est une sorte de placebo !!!
a écrit :Or, tu viens d'admettre qu'aucune étude scientifique ne valide cet effet placebo.
relis le lien avec attention et les parties en gras !!!
a écrit :
Donc, ce que tu racontes ce sont des bobards, tes fantaisies délirantes sans le moindre fondement autre que tes propres croyances.
je te le prouve par des liens, par des expériences que j'ai faites moi même , et cela marche .
a écrit :Alors le pire, c'est que l'article que tu fournis remet en cause l'effet placebo de l'homéopathie.
donc tu ne sais pas lire en plus, ou ne fait qu'une lecture très sélective avec des mitages volontaires