Oui, mais faut préalablement définir ce qu'est le péché. Est-ce ce que vous et Gaëlle essayez de nous faire croire en vain ?
Ou alors, il s'agit des transgressions des commandements et préceptes divins ?
Croire non, certainement pas, mais ammener une reflexion dessus certainement. Qu'est ce que le péché justement. Le tout premier commandement de jésus c'est "aimer l'autre comme soi même", car pour lui dieu c'est Le Bien, c'est la base de chez base. Donc tout ce qui est contre ce commandement, est un péché. Si on regarde les commandements de dieu, c'est toujours d'une forme de respect qu'il est question, donc éviter de faire du Mal. C'est un principe que l'on retrouve dans bien d'autres cultures. C'est un principe qui permet à la société de ne pas se détruire, car l'homme est incapable de survivre seul.
Voici encore un raisonnement de diablotin pour insinuer quelque chose que ne dit ni la Parole de Dieu, ni la parole du Christ.
On va voir!!!
Si on veux raisonner comme cela, on dira que la luxure n'est pas un péché puisqu'on ne fait de mal à personne. La polyandrie, pareil. La prostitution, pareil. La nécrophilie, pareil.
La polyandrie, ou même la polygamie, fait en partie du mal, car il y en a toujours un qui est le préféré ou un autre qui est le moins aimé, donc ce manque d'égalité entre les gens, provoque un mal pour certains. Si au delà de cela, on parle de famille, globalement c'est assez perturbant dans la construction d'un enfant, il y a aura de la jalousie enfantine.
La prostitution, on met beaucoup de chose là dessus, mais basiquement par manque de moyen financier, on vend son corps très rarement par choix ou plaisir, c'est souvent impossé par un mac ou une macrelle, c'est une forme d'esclavage. car dès que l'on peut on veut s'en sortir, sans compter les risques de maladies vénériens, même si actuellement on peut réduire les risques, d'autant plus que la drogue et alcool regne dans ce millieu.
La nécrophilie, c'est plutôt la conséquence d'un esprit malade, d'un esprit qui a souffert, et donc il faut le soigner. De plus en temps que vivant, on n'aimerait pas qu'après notre mort on nous touche sexuellement, c'est une transposition. Et puis on pourrait parler aussi des maladies que genere un cadavre.
Par exemple la pederastie romaine c'était une contrainte d'un vieux sur un jeune, l'inceste parent- enfant est très perturbant psychologiquement pour le gamin. Tout cela fait du mal.
Par contre deux homos qui s'aiment, se respectent n'engendre aucun mal, bien au contraire ils forcent les hétéros à plus de tolérance, comme jésus le disait, ne juge point les autres.
Pour les enfants de couples homos, pendant longtemps je me suis posé la question, ces enfants sont t'ils heureux? ce qui les rend en général malheureux, c'est justement le manque de tolérance des hétéros, ou un manque d'affection des parents.
Par exemple un enfant qui perd son père dans une catastrophe naturelle, il est malheureux, celui qui lui provoque son malheur c'est dieu et malgré sa toute puissance, il a rendu malheureux. On dit si bien qu'il faut faire ce que l'on demande pour être respecté. Donc puisque dieu ne fait pas ce qu'il demande, il ne peut être respecté par l'homme. Comme déjà dans un autre post, dieu a été personnifié, avant c'était Dieu=nature, on a dénaturé le sens de dieu, au fils du temps, c'est ainsi que naissent mythes et legendes pour conjurer notre peur de la souffrance, de la mort et de l'inconnu.
Donc si on redonne à dieu son sens originel, que la nature en fin de compte est bien plus forte que nous. La parole de jésus prend un autre sens. Le Bien devient être capable de vivre ensemble pour pourvoir survivre, et pour vivre ensemble, il faut éviter de se faire du mal à soi et aux autres. ce n'est qu'au final de la logique, de la réflexion sur le vivre ensemble. Après peut être qu'il existe quelque chose au delà de la mort, personne ne le sait en fin de compte, faut faire avec. Mais je pense que déjà faire le bien autour de soi et pour soi, c'est déjà le travail de toute une vie. Donc on a bien le temps de penser à l'après vie, cela devient bien secondaire.