Re: L'avenir céleste de la grande foule
Posté : 11 oct.20, 00:53
MLP je t'ai dit que j'estimais avoir atteint mon but. Tes réponses sont, pour moi, inutiles maintenant, je suis passé à autre chose. Parles en à avatar ..
Je reviens sur mon message précédent.
Dieu a un projet pour l'homme, projet qui passe par la promesse qu'il va faire à Abraham.
Et par le moyen de ta descendance se béniront à coup sûr toutes les nations de la terre, parce que tu as écouté ma voix
Cette descendance allait passer par les 12 tribus d'Israël.
Les premiers chrétiens ont bien compris cette idée quand ils ont expliqué que la nation Israelite était par nature bénéficiaire prioritaire de la possibilité de devenir frères du Christ.
Paul expliquera avec la parabole de l'olivier que la présence de chrétiens non juifs était la conséquence de la défection des juifs qui vont donc perdre leur place naturelle dans cette postérité ou descendance.
Dans le meilleur des mondes, tous les chrétiens auraient pu être très majoritairement juifs.
Ce qui nous intéresse, c'est le vocabulaire qu'utilise Paul qui est celui qui a le mieux expliqué toute cette problématique.
En effet, la promesse nous présente 3 entités différentes : Abraham, la postérité et les nations.
Y a t'il une porosité entre ces 3 entités, c'est à dire un individu pourrait il être à la fois dans la postérité et dans les nations.
On pourrait être tenté pour répondre oui, mais en fait la réponse est négative.
Pour quelle raison ? Parce qu'un chrétien, dès lors où il était choisi par Dieu et même s'il était grec ou romain de naissance, changeait de nationalité spirituelle et ne pouvait plus être autre chose qu'un Israelite.
La nation d'Israël étant devenue spirituelle, le lien avec Abraham passant par la foi, tous ceux que Dieu choisit comme fils dans ce cadre ne sont plus identifiables à leurs pays ou nations de naissance.
C'est un nouveau peuple. Une nouvelle nationalité.
Ainsi, la postérité composée de Jésus et de ceux qu'il achète comme esclave, n'a plus de nationalité au sens humain du terme, ils sont citoyens du royaume de Dieu. C'est le nouvel Israel.
Ce qui amène à la conclusion suivante : les chrétiens appelés vont bien participer à l'action menée par Jésus dont le but est de bénir toutes les nations. Et ces chrétiens appelés ne peuvent plus être comptés parmi les gens des nations, ce qu'ils ne sont plus dès l'instant où Dieu les adopte comme fils et donc cohéritiers de Jésus.
Je reviens sur mon message précédent.
Dieu a un projet pour l'homme, projet qui passe par la promesse qu'il va faire à Abraham.
Et par le moyen de ta descendance se béniront à coup sûr toutes les nations de la terre, parce que tu as écouté ma voix
Cette descendance allait passer par les 12 tribus d'Israël.
Les premiers chrétiens ont bien compris cette idée quand ils ont expliqué que la nation Israelite était par nature bénéficiaire prioritaire de la possibilité de devenir frères du Christ.
Paul expliquera avec la parabole de l'olivier que la présence de chrétiens non juifs était la conséquence de la défection des juifs qui vont donc perdre leur place naturelle dans cette postérité ou descendance.
Dans le meilleur des mondes, tous les chrétiens auraient pu être très majoritairement juifs.
Ce qui nous intéresse, c'est le vocabulaire qu'utilise Paul qui est celui qui a le mieux expliqué toute cette problématique.
En effet, la promesse nous présente 3 entités différentes : Abraham, la postérité et les nations.
Y a t'il une porosité entre ces 3 entités, c'est à dire un individu pourrait il être à la fois dans la postérité et dans les nations.
On pourrait être tenté pour répondre oui, mais en fait la réponse est négative.
Pour quelle raison ? Parce qu'un chrétien, dès lors où il était choisi par Dieu et même s'il était grec ou romain de naissance, changeait de nationalité spirituelle et ne pouvait plus être autre chose qu'un Israelite.
La nation d'Israël étant devenue spirituelle, le lien avec Abraham passant par la foi, tous ceux que Dieu choisit comme fils dans ce cadre ne sont plus identifiables à leurs pays ou nations de naissance.
C'est un nouveau peuple. Une nouvelle nationalité.
Ainsi, la postérité composée de Jésus et de ceux qu'il achète comme esclave, n'a plus de nationalité au sens humain du terme, ils sont citoyens du royaume de Dieu. C'est le nouvel Israel.
Ce qui amène à la conclusion suivante : les chrétiens appelés vont bien participer à l'action menée par Jésus dont le but est de bénir toutes les nations. Et ces chrétiens appelés ne peuvent plus être comptés parmi les gens des nations, ce qu'ils ne sont plus dès l'instant où Dieu les adopte comme fils et donc cohéritiers de Jésus.