Pollux a écrit : ↑18 mars21, 14:55
C'est pourtant ce qui est écrit.
Jean 17:5
Et maintenant toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit.
Si Jésus souhaite retrouver la gloire qu'il avait avant la création du monde c'est qu'il l'avait perdue depuis ce temps.
Tout à fait, il a perdu cette gloire en s'abaissant à venir sur terre en tant qu'humain, c'est ce qu'explique Paul le plus clairement du monde
Philippiens 2 :
5Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, 6lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, 7mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; 8et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. 9C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, 10afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, 11et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.
Selon RT2 et vous, Jésus n'aurait plus eu cette position avant de venir sur terre et donc, Paul mentirait dans ce passage.
RT2 a écrit : ↑18 mars21, 13:16
Vous faites une erreur d'appréciation, Jésus énonce d'abord un fait en Jean 17:5, quel besoin aurait-il de le mentionner et de demander que lui soit redonner à juste droit cette position devenue contestée ?
Encore une fois, il ne s'agit pas de MON appréciation mais de ce qu'explique Paul tout simplement !
Votre version revient, non à me contredire mais à contredire Paul et la Bible !
De plus elle revient, ce qui est beaucoup plus grave, à limiter l'amour de Jésus, car, à vous lire, Jésus serait venu sur terre, non par simple amour pour Dieu et pour les humains mais pour récupérer sa place donc par simple intérêt ! Voila à quels blasphèmes on arrive lorsqu'on interprète un texte sans tenir compte de ce qui est dit par ailleurs.