Inti a écrit : ↑13 oct.22, 02:23
Tu ne sais rien concernant la dynamique des conflits ethniques dans ces régions, (Balkans, Europe orientale...) depuis l'effondrement de l'URSS.
Ne sois pas naïf. L'occident s'est immiscée et impliqué massivement dans cette guerre régionale pour miner le pouvoir russe. Les USA veulent la peau de Poutine et passe par l'Ukraine pour l'avoir. Y a pas vraiment de main sur le cœur pour la souveraineté Ukrainienne, ni pour la sécurité nationale des Ukrainiens.
Les USA font ça partout. Alimenter en armes une faction belligérante ( sunnites, chiites...) Même chose en Afghanistan en soutenant les , moudjahidines contre l'union soviétique. Après ce fut la guerre de l'occident aux talibans.
Zéro héros.
Les USA ont l’idée de couper tout lien entre la Russie et l’Europe
L’idéologie de Zbigniew Brzeziński
Affaiblir l’Europe pour que nous soyons entièrement dépendants des USA
Et c’est ce qu’il se passe
Le Plan américain marche comme sur des roulettes
Ajouté 2 minutes 9 secondes après :
En 1997, il écrit Le Grand Échiquier (traduit la même année chez Hachette). Ce livre n'est plus vraiment d'actualité à la suite des attentats du 11 septembre 2001, qui lui valent des critiques pour son rôle dans le soutien aux moudjahidines. Il en édite une version actualisée sous le titre Le Vrai Choix en 2004 (The Choice: Global Domination or Global Leadership, paru chez Basic Books).
Sa théorie exposée dans cet ouvrage se base sur l'idée que l'amélioration du monde et sa stabilité dépendent du maintien de l'hégémonie des États-Unis. Toute puissance concurrente est dès lors considérée comme une menace pour la stabilité mondiale. Son discours est franc et direct, ce qui n'exclut pas un certain cynisme.
Contrairement à l'unilatéralisme du président George W. Bush, il est plutôt pro-européen dans la mesure où selon lui la suprématie des États-Unis, le seul pays qui peut sauver le monde du chaos, ne peut être pleinement réalisé et atteindre ses objectifs qu'en travaillant avec l'Europe.
Selon ses propres mots : « Sans l'Europe, l'Amérique est encore prépondérante mais pas omnipotente, alors que sans l'Amérique, l'Europe est riche mais impuissante. »[réf. nécessaire] Il voit dans l'alliance américaine-européenne un axe qui permettrait à chacune des parties de devenir plus puissante tout en ayant une influence plus forte sur la paix et le développement dans le monde.
Les politologues Stéphane François et Olivier Schmitt minimisent la signification du Grand Échiquier : ils y voient une « référence classique, qui permet de mélanger anti-américanisme et “géopolitique”. [...] Ayant les mêmes défauts que tous les géopoliticiens, Brzezinski a une approche déconnectée de toute considération pour les souhaits des populations locales, et s’exprime en termes généralistes sur une situation stratégique qui serait idéale pour les États-Unis. Prenant les écrits d’un retraité de l’administration américaine pour l’exposition de la grande stratégie de Washington, et évacuant de fait toutes les études sur la complexité du processus de prise de décision en politique étrangère aux États-Unis (et leur démonstration de l’absence de plan unifié et cohérent), les auteurs d’extrême droite pensent ainsi avoir trouvé la preuve de la rapacité américaine et l’explication unique de tous les événements survenus depuis la chute du mur de Berlin en Europe de l’Est et aux marges de la Russie, et forcément lié au plan de Washington de déstabiliser Moscou[15]. »
Inversement,
l'universitaire Gilbert Achcar voit dans Brzeziński le « gourou de l'administration Clinton », celui qui avec son successeur Anthony Lake, a convaincu le président Clinton d'étendre l'OTAN vers l'Est pour refouler et encercler la Russie[16]. S'inspirant des théories de Halford Mackinder et de Karl Haushofer, Brzeziński résume ainsi les objectifs stratégiques qu'il assigne aux États-Unis : « prévenir la collusion et maintenir la dépendance sécuritaire parmi les vassaux, garder les tributaires dociles et protégés, et empêcher les barbares de se regrouper »[17]. Selon Achcar, Brzeziński, motivé par une hostilité à la Russie « quasiment obsessionnelle »[18], serait l'un des grands responsables de la « nouvelle guerre froide » qui caractérise le XXIe siècle.
Ajouté 1 minute 14 secondes après :
On sait que Biden est un pantin et que toute l’administration d’Etat autour de lui c’est l’administration Obama.
C’est Obama le président actuel aux USA en réalité