Roque a écrit :
dorcas, je dirais que les musulmans ont bien le droit d'appeler Dieu Allah, s'ils le veulent et croire qu'il y a là une "révélation". On a les "signes" qu'on mérite. C'est vrai, à mon sens, le meilleur Nom de Dieu dans L'Ancien Testament est : YHWH. Ce qui n'est d'ailleurs pas un nom, mais un verbe. C'est un Nom merveilleux, mais qu'importe. Finalement, on ne tient jamais Dieu ni dans nos mains, ni dans une formule.
Le problème est que les musulmans à partir de deux malheureux versets pas du tout explicites, je le souligne (7.157 et 61.6 : cités ci-dessus) se croient obligés de retourner la Bible, depuis des siècles, comme un "friche", sans se rendre compte des plants, des alignements, des essences et des fruits qu'ils piétinent, comme des aveugles et des sourds à la longue méditation sur des dizaines de siècles avant eux de spirituels, d'inspirés et de saints : Juifs et Chrétiens. Pour eux, c'est comme si ces textes avaient été collectés, récités et conservés avec le plus grand soin par des hommes sans cervelle, ni coeur, ni recherche de perfection. Des zombis quoi, ils ne remarquent pas que les fils d'Ismaël ne leur ont rien transmis ... Pourquoi cette cécité sélective ?
Il n’ya rien de plus facile pour un musulman que de refuter
Des mensonges provenant d’un non musulman
Tout simple parce que nous sommes les seuls à détenir ; avec l’aide d’ALLAH ; la parole d’Allah VERIDIQUE
L e démenti qu’oppose le Coran à vos croyances soulève des questions fondamentales.
Premièrement :
si la doctrine islamique avait été empruntée au judaïsme et au christianisme, pourquoi aurait-elle nié la crucifixion?
Après tout, ces deux religions croient fermement qu’elle a eu lieu. Pour les juifs, c’est Jésus l’imposteur qui a été crucifié, tandis que pour les chrétiens, c’est le fils de Dieu qui s’est retrouvé sur la croix.
Le prophète Mohammed (psl) aurait pu reconnaître la crucifixion de Jésus, apportant ainsi plus de poids à son message.
Si l’islam avait été une fausse religion, une imitation du judaïsme ou du christianisme, ou si Mohammed avait été un menteur, l’islam n’aurait pas adopté une position aussi ferme à ce sujet et affirmé que les deux autres religions se trompaient complètement, car vraiment, il n’avait rien à gagner en affirmant une telle chose.
Deuxièmement :
si l’islam avait emprunté le mythe de la crucifixion aux deux autres religions, il aurait certes éliminé un sujet de discorde; mais l’islam a apporté la vérité d’abord et avant tout et ne pouvait approuver un mythe dans le simple but de les apaiser.
Il est fort possible que les juifs aient été responsables de la crucifixion de Jésus, car historiquement, leurs transgressions contre les prophètes de Dieu sont bien documentées et sont citées à la fois dans la Bible et dans le Coran. Mais en ce qui concerne Jésus, le Coran affirme avec force :
« Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié. »
Comment peut-on dire, alors, que Mohammed a produit le Coran à partir d’informations apprises chez les juifs et les chrétiens alors qu’il a apporté des idées qui sont venues contredire leurs doctrines ?
Troisièmement :
le déni de la crucifixion réduit à néant d’autres croyances chrétiennes comme :
1) Le rachat des péchés des hommes par Jésus;
2) Le fardeau du péché originel porté par tous les hommes;
3) Le mythe de la croix et sa vénération;
4) La cène et l’eucharistie.
Nous pouvons donc constater que les récits rapportés par le Prophète (psl) sur les nations du passé ne sont pas du simple folklore et ne proviennent pas des juifs ni des chrétiens. Ils proviennent d’au-delà des sept cieux, révélés par Dieu, le Créateur des cieux et de la terre