L’islam ne condamne pas le terrorisme il le sanctifie
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
C’est un pléonasme que d’affirmer que le Coran encourage le terrorisme, puisqu’il lui est consubstantiel, tellement imbriqués l’un dans l’autre qu’ils n’en font qu’un comme si on disait que Mein Kamp appelait à la haine du juif alors qu’elle est sa sève et son liquide rachidien. Ils sont les deux faces de la médaille islamique. Sans le terrorisme l’islam n’aurait pas perduré. Il n’y a pas de lecture contextuelle à faire, il y a la vérité des mots et des commandements coraniques. De la même façon que les musulmans ne sont pas en droit d’interpréter la parole prétendument sacrée d’Allah, (S.3, V.7) qui est censée être une vérité implacable et sans équivoque, il convient de la prendre au pied de la lettre et de la retourner comme contre-argument aux promoteurs de l’innocence du Coran.
Les versets sont ce qu’ils sont mais ils se suffisent d’eux-mêmes pour prendre de contre-pieds le déni des musulmans quand à l’interconnexion entre le Coran et le terrorisme, du latin terreur qui consiste mettre les populations civiles sous pressions psychologiques intenables en l’installant dans un climat de peur et de frayeur au moyen du recours à la violence illégitime et aveugle à des fins religieuses, politiques et idéologiques qui visent en premier lieu les populations civiles, qui est « crime la vie humaine » selon l’expression de Jacques Derrida.
L’effroi qu’Allah veut jeter dans le coeur des mécréants est-ce une manifestation de son amour pour le genre humain non-musulman ? A moins que ce soit Mahomet qui l’ait décrété dans la sourate du butin, verset 12 : » Je vais jeter l’effroi dans le coeur des mécréants » et qu’il appelle à les frapper gentiment au-dessus des cous et surtout sur les bouts des doigts, toujours dans le même verset.
Comment traduire autrement ce sentiment de haine viscérale d’Allah pour ceux qui ne lui pas signé un chèque en blanc pour lui et son prophète si ce n’est par les verbes terrifier, terroriser, épouvanter, faire régner un vent de panique, figer dans la peur celui qui ne croit pas ce en quoi je crois, un ennemi dangereux pour ma religion.
Comment un être impur et mangeur de cochon ose-t-il mettre en doute la vérité après qu’elle fut clairement apparue et qu’il ne veut pas voir, aveugle, inconscient et insouciant qu’il est, il ne rend pas compte qu’il signe son propre arrêt de mort. (S.8.V.6).
Le Coran n’a pas un dépliant publicitaire qui vante les mérites du terrorisme, c’est un code de règles fondamentales qui conditionnent et façonnent le comportement des musulmans, structurent leurs pensées et influent et motivent leurs actes.
Plutôt que de chercher à savoir si le Coran est un catalyseur du terrorisme, on devrait se demander si le Coran avait édicté des lois qui exhortent les musulmans au respect absolu de la vie humaine et de leur tendre la main, de les accepter tels qu’ils sont, de ne pas les diaboliser et les abhorrer, en toute évidence, le terrorisme ne serait pas accolé à l’image de l’islam.
Le Coran n’enseigne pas aux musulmans l’amour de son prochain différent de soi, il comprend tous les ferments de la question de la solution finale pour l’humanité qui n’a pas emprunté sa voie, « Allah voulait par ses paroles faire triompher la vérité et anéantir les mécréants jusqu’au dernier » (S.8.V.7)
Ses laudateurs-complices de crimes contre la vie humaine devraient avoir la décence morale et intellectuelle d’expliquer à leurs contradicteurs pourquoi autant d’acharnement haineux dans le Coran à l’égard des non-musulmans ?
Pourquoi ceux qui désobéissent à Allah, en quoi de surcroît lui ont-ils désobéi, sont-ils jugés comme des vulgaires criminels alors qu’ils n’ont pas le sang humain ? Le terrorisme est l’intimidation et la menace brandie à leur adresse pour « désobéi à Allah et à son messager, et quiconque leur désobéit, ne peut échapper à la dureté de sa punition (S.8.V.13) et au châtiment du feu qui leur est réservé (S.8V.13).
« O vous qui croyez quand vous rencontrez l’armée des mécréants en marche, ne leur tournez point le dos » (S.8.V.15). En d’autres termes, Il est permis de les combattre, de frapper les et de les plonger dans l’horreur partout où vous les rencontrez, dans leurs stades, salles de concerts, terrasses de cafés, gares, stations de métros, aéroports. Ils ne doivent pas avoir la vie sauve tant qu’ils n’ont pas adopté le Coran comme leur loi fondamentale et s’ils meurent, « Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. » (S.8.V.17)
Tuer le mécréant en toute impunité coranique, ce n’est plus qu’une incitation à la violence c’est un permis de tuer sans crainte et avec la bénédiction d’Allah.
Avec un prophète du carnage et un Allah de la terreur érigée en loi sacrée, les musulmans ont l’embarras du choix. Et leurs sentiments pour les non-musulmans sont immanquablement la résultante de leur enseignement coranique.
En réalité ces vies que les terroristes ont fauchées sont après tout celles des infidèles les « pires bêtes auprès d’Allah »(S.8.V.55)
Les connexions entre le grand banditisme, la délinquance et le terrorisme ne font mystère pourtant pour personne, c’est pourquoi il est irresponsable qu’ils puissent être maîtres de leurs mouvements et qu’ils peuvent frapper là où ils veulent et quand ils veulent.
Le constat est clair sauf pour ceux qui refusent de renoncer à leur liberté pour leur sécurité et qui préfèrent laisser ainsi proliférer l’ogre terroriste en toute impunité parmi eux afin qu’ils servent un jour de festin en toute liberté, puisque c’est leur choix, tous les auteurs des attentats de Charlie, le 13 novembre et Bruxelles étaient quasiment des gibiers de potence. Ceux qui viennent d’être arrêtés ces derniers jours ne sont pas des yogis hindous et des enfants de choeur.
Tous ces individus ont trouvé leur nouvelle voie dans le terrorisme après avoir avoir goûté aux joies de la criminalité ordinaire, qui leur permet d’exister enfin comme musulman qui brave mène un combat frontal aux infidèles qui sont sur leurs chemins. Armés de sa forte conviction en sa foi islamique, transcendés et dopés aux préceptes coraniques ils ne reculent devant rien pour affirmer leur islamité en endossant des nouveaux habits de soldats d’Allah. De l’ombre de leurs prisons ils sont passés à l’ombre de l’épée de Mahomet. Ils sont sous les feux des projecteurs des médias et jouissent d’une aura toute nouvelle éclairée par la lumière qui illumine leur communauté. Ils changent de statut et pour tout. Ils sont dans le sentier d’Allah et bravent la mort pour lui, châtiant les infidèles selon les injonctions coraniques. Qui pourrait désapprouver et condamner leurs actes alors qu’ils ne font que mettre en oeuvre de route mahométane ?
Personne n’oserait le faire dans leur communauté puisqu’ils sont dans la logique des textes coraniques qui ne leur servent aucunement d’habillage idéologique contrairement à ce que les laudateurs abjects de l’islam prétendent. Ils sont nourris de ces textes coraniques et de la sunna mahométane qui leur insufflent un nouveau souffle de vie qui décuplent leurs énergies dévastatrices et ultra-agressives. Avec l’islam, c’est pour eux une nouvelle renaissance, ils ne sont plus des hors-la-loi, ils sont dans la loi de l’islam.
Avec l’islam ils franchissent une nouvelle étape où tous les frontières psychologiques, les interdits légaux, la morale, l’ordre, s’effacent et n’ont plus de raison d’autres, la peur de mourir devient une joie d’en finir. Des guerriers qui n’ont pas à s’embarrasser du respect des codes, des règles et de conventions qui ne sont pas musulmans et qui disparaîtront un jour au profit de la loi de l’islam.
Ils sont métamorphosés totalement, l’islam fait l’effet sur eux d’un propulseur qui leur donne des nouvelles ailes celles des anges de la mort. Le seul système de croyance qui donne une vertu théologique à l’ultra-violence, une aubaine pour tous ceux en manque de reconnaissance et en état d’échecs chroniques, ils vont pouvoir devenir des winners en optant pour la voie tracée par l’islam. L’islam ne progresse pas, c’est un attrape-mouches tsé-tsé, qui se laissent prendre dans ses files.
Comme toute drogue dure, il procure à un âne les illusions qu’il est un cheval de course. Il perturbe leur processus mental et intellectuel et le non-sens prend tout son sens. Il est un puissant désinhibant qui fait évaporer tous les complexes,c’est la victoire assurée pour tous ceux qui troquent leur vie pour lui. Des Mérah, des Nemmouche et des Salah Abdeslam il continuera à en produire à la chaîne, et faire ses emplettes sur le terreau des voyous, des nihilistes et des sociopathes. Ils n’ont pas tort de dire qu’ils ont trouvé leur voie, celle de la négation de soi et de l’autre.
Une religion pour Terminators convaincus qu’ils possèdent grâce à lui un pouvoir de dominateurs, de droit de vie et de morts, il est aussi leur un catalyseur de haine de la société, ils ont le droit de violer et de piétiner des lois qui ne sont pas les leurs, jugées impures et inapplicables aux musulmans. Des héros et des guides pour des jeunes de la deuxième génération en manque de repères identitaires et élevés dans la haine de la France coloniale. Leurs actes terroristes sont de plus en plus salués comme s’ils étaient des nouvelles victoires sur l’ennemi.
La liberté n’a plus aucun sens face au péril qui la menace, elle ne peut être pérennisée et garantie sans une politique sécuritaire préventive qui n’attend pas que l’ogre se fonde dans la foule pour la dépecer. Elle doit le débusquer avant qu’il ne passe à l’action.
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Menacé de mort pour mes écrits par les vengeurs de l’islam et alors ?
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
« Ceux qui combattent l’islam par leur plume périront par la lame du couteau ». Une phrase que nos amis algériens connaissent par coeur et dont Djaout, Maktoub et tant d’autres combattants irréductibles de l’obscurantisme colonial arabo-musulman en ont font les frais au prix de leur vie. Des milliers de vies humaines ont été fauchées partout dans le monde mortifère musulman à cause de leur défiance intellectuelle à l’égard de cette religion qui n’en est pas une pire que le nazisme. D’autres ont trouvé leur salut en Occident. Ne dites jamais qu’ils sont lâches, ils joignent toujours l’acte à la parole. Notre naïveté est leur meilleure alliée. Ils ne reculent devant rien pour mettre à exécution la sentence. Les justiciers de l’islam sont une véritable 5 e colonne composée de dizaines de millions d’hommes tapis dans l’ombre prêts à tout pour venger l’honneur de l’islam dès que l’ordre leur est donné. Il suffit que des cheikhs illuminés ou des prétendus gardiens des dogmes de l’islam et des ulemas, comme si l’islam était une science fondamentale, décrètent tel individu comme ennemi de l’islam et son sort est scellé et sa mort rendue licite et irréversible.
Depuis l’avènement de cette doctrine totalitaire et néfaste pour l’humanité tous ceux qui osent s’attaquer à l’islam que le Coran qualifie d’insolents doivent payer de leur vie l’affront qu’ils lui font. L’honneur de l’islam ne peut être lavé que dans le sang de ses outrecuidants.
Ce n’est certainement pas Mahomet, pionnier en matière d’assassinat des intellectuels qui dirait le contraire avec les meurtres ordonnés de la grande poétesse arabe Asma Bint Marwan dont le seul crime , à supposer qu’il en soit un, est d’avoir condamné le meurtre du vieux poète Afak à Yéthrib ( l’actuel Médine)
Censés appliquer à la lettre les recommandations de Mahomet et s’inscrire dans la continuité idéologique de son action, ils ne peuvent en aucun cas commettre la moindre entorse à leur feuille de route s’ils ne veulent pas finir eux-mêmes dans les feux ardents de l’enfer. Nourris de sa Sira, ils doivent veiller à préserver leur religion contre toute attaque que ses imams et cheikhs jugent comme hostile et inamicale contre leur foi. Leurs seuls mots d’ordre, venger, punir, châtier, décapiter, crucifier et broyer les os de tous ceux qui sèment la discorde et jettent le discrédit sur leur religion. Et comme le leur ordonne Mahomet : » Tuez mes ennemis, mes ennemis sont aussi les vôtres? tuez-les »
Les assassins de Farag Foda en 1992, totalement analphabètes qui n’ont jamais lu un traître mot de son oeuvre n’avaient pas eu besoin de faire preuve de discernement et d’évaluer la conséquence de leurs actes. Les gardiens du Temple musulman, ordonnateurs des crimes contre l’intelligence et le savoir lumineux, leur avaient offert une opportunité inespérée en les désignant comme étant les exécutants privilégiés de l’oukase (fatwa) émis à l’encontre de Farag Foda qui leur vaudrait la reconnaissance éternelle d’Allah et le bénéfice de sa villégiature paradisiaque.
Des illustres intellectuels comme le libanais Mustapha Jéha tombé sous leurs balles et le grand Naguib Mahfoudh,qui avait échappé à une tentative d’assassinat l’avaient appris aussi à leurs dépens.
Les vrais musulmans n’ont peur de rien sauf de rater le rendez-vous du Jugement dernier. Il serait illusoire de croire qu’ils vont faire preuve de compassion et se montrer magnanimes en sursoyant à l’exécution d’un fatwa décrété contre les pourfendeurs de leur religion.
Ce que Mahomet avait fait, ils doivent le faire eux aussi. Aucune loi ne peut leur être opposée car il n’y a qu’une seule loi à laquelle ils sont tenus celle qui exprime la volonté d’Allah.
Il est absurde et irresponsable de croire que la voix de la raison finira par guider leur action et que la menace de mort dont je fais l’objet personnellement serait une vue de l’esprit et l’oeuvre d’un esprit enfiévré.
C’est justement parce que l’islam lui-même est la cause de cette fièvre délirante que le danger ne doit pas être sous-estimé.
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Marine Le Pen : l’islam est un prédateur féroce que la République doit se prémunir contre lui
12/12/2016 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Je veux bien voter pour Marine Le Pen mais qu’elle me donne juste une seule raison pour voter pour elle plutôt que pour les autres. Même si pour moi il est insupportable de voter pour quelqu’un qui prône le pas d’amalgame et qui n’a toujours pas compris ou feint de ne pas me croire que l’islam n’est pas que religion et qu’il est culte, État et monde. Et comme cela n’est pas assez pour elle elle vante la compatibilité de l’islam avec la République et à mon plus grand dam elle avait commis un acte plein de sens politique en s’affichant à côté d’un musulman revendiqué et ancien zélateur du tyran sanguinaire Ben Ali auquel elle a confié la rédaction du rapport sur la conquête des banlieues. Je ne puis me compromettre avec quelqu’un qui est à l’antipode de mes idées et mon combat contre la métastase islamique.
De toutes les façons elle-même elle est dans le mépris des islamo- réfractaires trop encombrants pour une candidate gauchisante d’opérette sous la houlette de son mentor Philippot, cheveneméntiste-souverainiste au temps où il était élève à H.E.C. et pro-palestinien patenté.
Son programme politique n’a aucun sens à mes yeux car il y a trop de fossé entre elle et moi.
J’ai du respect pour ses idées qui ne seront jamais les miennes. Comme il m’est difficile de m’imaginer faire confiance en une candidate qui fait des calembours à caractère raciste sur l’équipe de France de football. Les mêmes qu’avaient tenus naguère son père en 1978 sur l’équipe de France à la veille de son match éliminatoire pour la Coupe du monde 1978 contre la Bulgarie.
Il n’y a pas de propos innocents. Ils sont la parfaite traduction de son mode de pensée politique
La France a besoin d’unir tout le monde autour de ses couleurs nationales et non pas de la diviser en fonction de la couleur de l’eau de ses citoyens.
Ceux qui la menacent ne cherchent pas à savoir qui est blanc ou noir pour eux il y a les musulmans et les non- musulmans
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Lettre ouverte à Kamel Jendoubi
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Lettre ouverte à Kamel Jendoubi : en courtisant Kamel Ltaïef, tu fais du fayotage ton gilet de sauvetage. .
Kamel Jendoubi, tu es un français né en Tunisie, de quel exil parles-tu ? Le vrai exil est ce qu’on appelle l’exil intérieur c’est-à-dire chez toi en France et non pas en Tunisie. Utiliser cela comme argument pour faire apitoyer les tunisiens sur ton sort des plus enviables est tout simplement honteux et indécent. Eux qui manquent de tout, toi tu n’as jamais manqué de rien en France. Tu n’as pas vécu la vraie vie de l’exilé pour te faire passer pour ce que tu ne l’es pas. Moi qui te connais depuis toujours mais tu m’as amèrement déçu le jour où j’ai appris ton adoubement et non pas ton élection burlesque par une autre Instance fantôche autoproclamée présidée par Yiaddh Ben Achour, une self recruitiong-body, à la tête de cette Instance électrale de mise à mort de la démocratie tunisienne. Tu dois être fier de toi de servir de faire-valoir, de marionnette, de godillot et de potiche à un projet scélérat qui s’inscrit dans le droit fil de la wahhabisation progressive et inéluctable de la Tunisie sous la houlette des Yankees, maîtres d’oeuvre et concepteurs de cette architecture transitionnelle de l’indépendance de la Tunisie vers la perte de sa souveraineté. Tu viens encore de prouver sur un plateau de TV tunisienne le 14 novembre 2012 que tu t’es pris le pied dans le tapis portant les tâches de sang indélébiles des braves tombés sous les balles du cousin de ton bienfaiteur. Est-ce que tu sais au moins que ton seul mérite est d’avoir profité opportunèment toi et tous tes semblables de leur sang et que sans eux tu continuerais à t’enivrer de ton néant parisien ? Tu es devenu l’homme par qui sont arrivés tous les malheurs de la Tunisie. Tu es tombé de Charbyde en Scylla. Tu penses éviter le danger de l’échec désastreux de ta mission, mais tu t’exposes à un autre autrement plus redoutable et qui te fera tomber de la Roche Tarpéienne. Aucun audit de tes activités, ni de rapport financier marquer , infatué de ta personne, tu joues au petit soldat de plomb satisfait de son travail bien fait. Tu n’as ni le savoir, ni le savoir-faire, ni les compétences pour te projeter dans un nouveau mandat. Tu n’es plus anonyme et les tunisiens sont déterminés à ne pas mettre une nouvelle fois entre tes mains le sort de leur démocratie. Ton bilan est digne de figurer dans les annales des plus grandes supercheries électorales de tous les temps. Tu dois te retirer sur la pointe des pieds au lieu de t’agiter et de délirer comme un malade. Tu perds la raison en prenant fait et cause pour un individu aussi douteux que les informations sur tes sésames ubiversitaires. Tu penses pouvoir exister en choisissant publiquement ton camp : celui d’un des anciens rouages de l’ancien régime Kamel Ltaief cousin de Ben Ali et son conseiller de l’ombre et artisan de sa prise de pouvoir en 1987. Kamel Ltaief n’est pas tombé en disgrâce contrairement à ce que tu penses. Il n’a jamis été un opposant à Ben Ali, il était un courtisan assidu de sa cour. Faire de sa rivalité avec le clan mafieux des Trabelsi un acte hautement politique, c’est de la pure spéculation fantasmagorique, une fumisterie. Le draper des vertus politiques est un pur mensonge. Comment oses-tu travestir, mythifier à ce point une guerre des clans entre deux camps mafieux spoliateurs de la richesse nationale qui se disputaient les faveurs du roi en une guerre du bien, incarné par Ltaief contre le mal incarné par les Trabelsi ? Sais-tu qu’il fait partie de ce qu’on appelle les 7 familles et que tu as pernicieusement occulté ? Connais-tu le nombre de ses victimes, les pauvres salariés exlpoités par lui ? Le montant de ses culbutes financières. ? Les conditions d’obtention des marchés publics truqués dont il a bénéficiés ? Le montant des prêts bancaires non remboursés ? Les fournisseurs laissés sur le carreau qu’il a spoliés ? etc.. Le CV de ses exploits délictueux ne mérite pas autant d’égards et de compassion. Serais-tu devenu, faute dêtre le défenseur de la veuve et de l’orphelin le défenseur de la cause perdue des charognards qui ont plongé la Tunisie dans un gouffre abyssal ? Une main tendue innocente de ta part certainement ! Comme celle que tu as tendue à ton propre frère lors de l’attribution du marché de gré à gré de l’impression des bulletins de vote, celle que tu as tendue aussi à tes proches pour les marchés de publicité et de location des voitures. Tu disais que la démocratie n’a pas de coût, mais je te réponds qu’il n’y a plus sacré que le bon usage de l’argent du contribuable tunisien.
Tu me fais penser à cet ami qui te veux du bien et qui ne lésine pas sur les moyens pour venir en aide à ses amis surtout quand ils sont riches et puissants. L’ivresse du pouvoir est une pathologie mentale sache-le. Incurable et dont tu semblesen être atteint. Tu t’es déconnecté de la réalité pour te transformer en chevaler blanc qui vole au secours d’une entrprise opéable, en proie à une attaque hostile de la part d’un prédateur boursier. Tu dois savoir que le milieu des finaces est infesté de requins où l’on fait rien sans contrepartie, c’est pourquoi permets_moi de douter de la sincérité de ta défense. La meilleure défense c’est le neutralité dont tu dois faire preuve. Là tu as franchi la ligne jaune et tu as fini par révéler ton vrai visage, celui d’un oportuniste velléitaire pour reprendre ton propre adjectif. Tu ne ménages pas tes efforts pour sauver ta peau et préserver tes privilèges princiers en ta qualité de président de l’I.S.I.E. Prêt à t’allier avec le diable au besoin qui dans le cas d’espèce porte le nom de Kamel Ltaief. Quand on veut être un Mr Propre, un homme d’honneur et se proclamer indépendant vis-à-vis de qui d’ailleurs ? on affiche pas ouvertement et sans vergogne son soutien indéfectible à un homme des plus controversés et sulfureux comme Kamel Ltaief. A moins que ce ne soit la reconnaissance du ventre et lui rembourser ainsi la dette morale et plus dont tu lui serais redevable. Il se peut aussi qu’inconsciemment ou délibérèment tu t’identifies à cette victime expiatoire de l’organisation terroriste et mafieuse d’Ennahdha. Une alliance entre victimes. Je crois que tu as plutôt saisi l’occasion rêvée de faire un acte d’allégeance à ton mentor qui selon la rumeur qui circule tu lui est redevable de ton parachutage miraculeux et inattendu à la tête de l’I.S.I.E. Tu as vraiment une conception particulière de l’indépendance. Quand on se veut indépendant, on reste au-dessus de la mêlée, et on ne prend pas parti pour l’un ou l’autre. Ton engagement en sa faveur est symptomatique de sa dépendance à son égard. Alors que non seulement cet homme à la réputation douteuse et à l’intégrité morale défaillante est loin d’etre exemplaire, au lieu de t’en démarquer tu as préféré sauter à pieds joints dans sa fosse septique. Te voilà éclaboussé par sa boue nauséabonde dont tu ne pourras plus t’en débarrasser. Tu dois aussi savoir que lee guignol Dilou a passé 50 coups de fil. Comment tu peux expliquer cela. Semble-t-il que ton indépendance partiale t’a amené à refuser à répondre aux leaders d’opinion en Tunisie mais que tu as toujours fait preuve en revanche d’un zêle remarquable pour répondre aux multiples et incessants appels de cet homme de l’ombre. Une indépendance kafkaïenne surtout puisque tu avais le projet de création d’un mouvement politique avec un personnage non moins trouble un certain Omar Shabou. Ton indépendance celle de tes liens personnels et associatifs avec le psychopathe Marzouki. Celle du pacte de 1995 avec le diable Ghannouchi. Personne ne doit douter de ton indépendance, celle que j’appelle l’indépendance de collusion et de petits arrangements entre amis. Tuas reconnu toi-même qu’Ennhadha t’a proposé un poste d’ambassadeur et de ministre que tu as royalement refusé. Tu dois savoir mon cher ami que l’indépendance est illimitée dans le temps et qu’elle ne se limite pas à la seule durée de ta mission funeste. Comment appelle-t-on les avantages postérieurs à ta mission ? C’est de la corruption. C’est à ton honneur d’avoir décliné l’offre-récompense d’Ennhdha, mais sans pour autant dissiper les doutes sur ton laxisme et ta mansuétude à son égard. Tu as manqué cruellement de prudence politique. La vraie indépendance consiste à rester à l’écart des tumultes tunisiennes et à ne pas alimenter et conforter toi-même les rumeurs qui circulent sur ta prétendue indépendance et ta réputation de Mr qui lave plus blanc que blanc au point que cela vire au gris. Je te fais grâce de cette citation d’Albert Capus : « Personne n’est absolument libre, car il y a aussi les esclaves et leur indépendance. »