Re: Métaphysique et matérialisme intégral et universel
Posté : 27 févr.20, 08:44
Précisons que dans le dualisme physique ( positivisme) et métaphysique ( subjectivité-observateur) le positivisme est plus un spiritualisme sous jacent de la métaphysique qu'un physicalisme. Pas étonnant que le positivisme ait évolué vers " l'anti réalisme" pour les plus idéalistes de la physique quantique.
Pour le positivisme le monde sensible et naturel est incertain et une incogniscible chose en soi ( métaphysique, négativisme) alors devant cette incertitude et doute métaphysique c'est le constat scientifique qui " positivise," " objectivise" le réel fondamental. De là la confusion sur une objectivité du monde qui passe par l'observateur ( idéalisation de la science). Un constat scientifique ne rend pas un fait physiquement objectif il le rend scientifiquement fondé comme connaissance humaine.
En métaphysique et positivisme c'est le facteur subjectif ( supérieur) qui devient le fondement déterminant du réel. Vu que la matière est sans propriétés physiques propres c'est le constat scientifique ( facteur subjectif, classe d'observateurs) qui fait foi du sens et cohérence de la matière. Un préjugé spiritualiste défavorable à la matière sur son caractère incomplet partagé tant par le positivisme que la métaphysique. Science et métaphysique demeure un paradigme privilégié malgré quelques dissensions internes entre homo mysticus et homo scepticus.
Même que l'idéalisme scientifique du positivisme avec son absolu du constat pour la détermination et attribution des propriétés physiques de la matière se concilie assez mal avec le principe de réfutabilité qui doit accompagner toute démarche scientifique et théorisation. Évolutive, perfectible, incomplète.
Si on avait appliqué le positivisme avec son absolu du constat scientifique comme facteur déterminant du réel fondamental à la question d'un univers statique versus un univers en expansion il aurait fallu renoncé au nouveau constat pour préserver l'idée que l'univers sans propriétés physiques objectives est ce que nous en pensions sans possibilité d'en revoir le mouvement intrinsèque. Un univers dépendant de l'observateur n'a pas d'autonomie et existence propre. L'existence du fait passe par la connaissance du fait. Un idéalisme scientifique qui tranche avec tout réalisme scientifique et philosophique.
Idéalisation de la science ( positivisme) ou idéalisation de la conscience ( métaphysique) on est toujours dans un rapport au réel fondamental qui passe par la connaissance humaine.
Heureusement que le formalisme quantique est une bulle de réflexion en circuit fermé et que cet idéalisme scientifique ne domine pas en physique dite classique. Mais la propension à vouloir faire de l'idéalisme quantique et positivisme un étalon mesure d'une nouvelle physique où la matière deviendrait plus un fait de nature subjectif que objectif, une physique sans substance, parce que la physique quantique révèle le caractère floue de la matière consolidée, doit être tenue en laisse.
Au sein du dualisme physique ( monde objectif) et métaphysique ( monde subjectif) y aura toujours un dimorphisme idéologique entre nature et monde des idées.
Pour le positivisme le monde sensible et naturel est incertain et une incogniscible chose en soi ( métaphysique, négativisme) alors devant cette incertitude et doute métaphysique c'est le constat scientifique qui " positivise," " objectivise" le réel fondamental. De là la confusion sur une objectivité du monde qui passe par l'observateur ( idéalisation de la science). Un constat scientifique ne rend pas un fait physiquement objectif il le rend scientifiquement fondé comme connaissance humaine.
En métaphysique et positivisme c'est le facteur subjectif ( supérieur) qui devient le fondement déterminant du réel. Vu que la matière est sans propriétés physiques propres c'est le constat scientifique ( facteur subjectif, classe d'observateurs) qui fait foi du sens et cohérence de la matière. Un préjugé spiritualiste défavorable à la matière sur son caractère incomplet partagé tant par le positivisme que la métaphysique. Science et métaphysique demeure un paradigme privilégié malgré quelques dissensions internes entre homo mysticus et homo scepticus.
Même que l'idéalisme scientifique du positivisme avec son absolu du constat pour la détermination et attribution des propriétés physiques de la matière se concilie assez mal avec le principe de réfutabilité qui doit accompagner toute démarche scientifique et théorisation. Évolutive, perfectible, incomplète.
Si on avait appliqué le positivisme avec son absolu du constat scientifique comme facteur déterminant du réel fondamental à la question d'un univers statique versus un univers en expansion il aurait fallu renoncé au nouveau constat pour préserver l'idée que l'univers sans propriétés physiques objectives est ce que nous en pensions sans possibilité d'en revoir le mouvement intrinsèque. Un univers dépendant de l'observateur n'a pas d'autonomie et existence propre. L'existence du fait passe par la connaissance du fait. Un idéalisme scientifique qui tranche avec tout réalisme scientifique et philosophique.
Idéalisation de la science ( positivisme) ou idéalisation de la conscience ( métaphysique) on est toujours dans un rapport au réel fondamental qui passe par la connaissance humaine.
Heureusement que le formalisme quantique est une bulle de réflexion en circuit fermé et que cet idéalisme scientifique ne domine pas en physique dite classique. Mais la propension à vouloir faire de l'idéalisme quantique et positivisme un étalon mesure d'une nouvelle physique où la matière deviendrait plus un fait de nature subjectif que objectif, une physique sans substance, parce que la physique quantique révèle le caractère floue de la matière consolidée, doit être tenue en laisse.
Au sein du dualisme physique ( monde objectif) et métaphysique ( monde subjectif) y aura toujours un dimorphisme idéologique entre nature et monde des idées.