Re: Que pensez-vous des NDE ou EMI ???
Posté : 07 oct.13, 21:10
Ce dont il faut toujours se préserver.
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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Quid de la perte du vécu associée à la perte de matière cérébrale ?J'm'interroge a écrit :Et l'absence de vécu dans certains comas, en phase de sommeil profond, sous anesthésie etc. n'est pas un argument prouvant la réductibilité de la conscience à un phénomène cérébral. (Contrairement à ce que supposait dan 26).
Le cas de Pamela Reynolds...J'm'interroge a écrit :A né de nouveau,
C'est difficile de tirer des conclusions scientifiques de ce que tu mentionnes. Il faudrait déjà faire un recoupement avec de nombreux autres cas.
- Il semble qu'un cerveau sans aucune activité mesurable, en hypothermie et vidé de son sang n'empêche pas de faire une NDE.
Développe stp.né de nouveau a écrit :Pam Reynolds n'a donc pas vécu une EMI complète selon la définition de certains.....
Je n'ai pas compris ta question.Noonalepsyne a écrit : Quid de la perte du vécu associée à la perte de matière cérébrale ?
Comment interprètes-tu la modification de la conscience (perte de mémoire, modifications des perceptions, troubles de la personnalité ou de l'humeur) lorsqu'elle est associée à une perte cérébrale (dégénérescence ou tumorisation d'une zone, visible en IRM ou au scanner éventuellement) ?J'm'interroge a écrit :Je n'ai pas compris ta question.
Celle résumée ici ? http://www.larecherche.fr/actualite/aus ... 1998-83705J'm'interroge a écrit :As-tu entendu parler de l'expérience avec les rats inexpérimentés dans le parcours d'un labyrinthe à qui l'on a injecté un broyat de cerveau d'un rat expérimenté cette fois, et qui se mettent d'emblée à manifester par rapport aux rats témoins de meilleures performances pour trouver la sortie?
Amicalement.
Et comment donc pourrait-on savoir que c'est à cet instant ?ronronladouceur a écrit : Le cas de Pamela Reynolds... [...] Le chirurgien prend ses outils et commence à découper la calotte crânienne. C'est à cet instant que Pam se sent s'élever au-dessus de son enveloppe charnelle.
C'est à ce moment-là qu'elle aperçoit l'outil du chirurgien et qu'elle en retient même le nom du fabricant.Noonalepsyne a écrit : Et comment donc pourrait-on savoir que c'est à cet instant ?
Une procédure est toujours expliquée au préalable en détail par le chirurgien la supervisant. Mais ce n'était pas ma remarque.ronronladouceur a écrit : C'est à ce moment-là qu'elle aperçoit l'outil du chirurgien et qu'elle en retient même le nom du fabricant.
Ce serait pourtant le cas de Pamela Reynolds puisqu'on possède des données médicales minute par minute...Noonalepsyne a écrit :Puisque le sujet expérimentant une EMI est inconscient, il n'y a aucun moyen d'établir un étalonnement temporel de l'EMI dont on puisse être certain.
Au mêmes raisons que toi sans doutes!Noonalepsyne a écrit : Comment interprètes-tu la modification de la conscience (perte de mémoire, modifications des perceptions, troubles de la personnalité ou de l'humeur) lorsqu'elle est associée à une perte cérébrale (dégénérescence ou tumorisation d'une zone, visible en IRM ou au scanner éventuellement) ?
Non il s'agissait d'une autre expérience... Je ne retrouve plus le lien. Dommage.Noonalepsyne a écrit : Celle résumée ici ? http://www.larecherche.fr/actualite/aus ... 1998-83705
Et comment vois-tu sur des données médicales ce que Pamela voit ?ronronladouceur a écrit :Ce serait pourtant le cas de Pamela Reynolds puisqu'on possède des données médicales minute par minute...
http://www.dailymotion.com/video/x40jo9 ... s-emi_tech
La différence étant que je ne recherche pas le support de la conscience ailleurs que dans le cerveau.J'm'interroge a écrit : Au mêmes raisons que toi sans doutes!
Se peut-il qu'elle ait abouti à la même conclusion, à savoir un effet stimulant de la S-pregnenolone ? (comme la mémoire des rats qui ont été entraînés à retrouver leur chemin dans le labyrinthe est stimulée, le cerveau de ces rats synthétise davantage de sulfate de pregnenolone, lequel se retrouve dans le broyat de cerveau injecté aux nouveaux rats, stimulant leur hippocampe et augmentant le taux d'acétylcholine produite)J'm'interroge a écrit :Non il s'agissait d'une autre expérience... Je ne retrouve plus le lien. Dommage.
Noonalepsyne a écrit :Comment interprètes-tu la modification de la conscience (perte de mémoire, modifications des perceptions, troubles de la personnalité ou de l'humeur) lorsqu'elle est associée à une perte cérébrale (dégénérescence ou tumorisation d'une zone, visible en IRM ou au scanner éventuellement) ?
Je ne recherche pas, je suppose à bon droit semble-t'il, que la conscience n'est pas réductible au seul fonctionnement de cet organe - et qu'en effet, elle a peut-être un autre support. En tout cas, tant que l'on ne m'aura pas présenté une explication satisfaisante à la dimension subjective (ce qui ressort du domaine de l'aperception) dont je parle plus haut, je continuerai de le supposer.Noonalepsyne a écrit : La différence étant que je ne recherche pas le support de la conscience ailleurs que dans le cerveau.
Oui c'est possible, il faudrait faire des expériences complémentaires. Mais dans mon souvenir, les rats semblaient même se diriger dans les bons couloirs, sans avoir besoin de les "explorer", comme ils le feraient dans un parcours vraiment inconnu. Si mon souvenir est exact, ce phénomène serait quelque peu troublant...Noonalepsyne a écrit : Se peut-il qu'elle ait abouti à la même conclusion, à savoir un effet stimulant de la S-pregnenolone ? (comme la mémoire des rats qui ont été entraînés à retrouver leur chemin dans le labyrinthe est stimulée, le cerveau de ces rats synthétise davantage de sulfate de pregnenolone, lequel se retrouve dans le broyat de cerveau injecté aux nouveaux rats, stimulant leur hippocampe et augmentant le taux d'acétylcholine produite)