Pollux a écrit : ↑01 oct.23, 02:17
Et le pape François comme animal des champs qui marche sur son ventre et mange de la poussière c'est très drôle aussi.
Mais tu n'as toujours pas compris que le serpent est l'homme sinueux qui vous achète avec un sourire tout ceci parce qu'il est "le pape" mieux que feue la reine d'Angleterre car être reçu par le pape c'est mieux encore aux yeux des gens parce qu'aux yeux des gens le pape tient une place hautement spirituelle à leurs yeux ?
Ajouté 9 minutes 6 secondes après :
Estrabosor a écrit : ↑30 sept.23, 23:37
Bonjour à tous,
Encore une fois, et Pollux l'a souligné, ce n'est pas un homme, encore moins un ange qui est visé par le Dieu de la Genèse mais un animal des champs
de tous les animaux des champs, que l'Eternel Dieu avait faits....
14L'Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.
Déjà, un ange ou un humain ne serait pas classé dans le bétail et les animaux des champs mais, en plus, le fait de "marcher sur son ventre" caractérise bien l'animal, le serpent
L'ETERNEL parle au serpent pour lui dire qu'il est entre tous les animaux, maudit, car il rampe le serpent, il est sinueux, il siffle, il essaie d'hypnotiser le cobra, sa proie, il vient sans que personne ne l'entende, fourbe, et c'est pour faire mourir que le serpent se glisse.... c'est pour cela que l'ETERNEL a personnalisé le serpent mais en fait c'est à l'homme avec des faux fuyants que l'ETERNEL parle, qui est sinueux comme le serpent, qui vient doucement derrière nous comme un traitre qui veut notre mort...
Tout comme La Fontaine a mis en scène les animaux pour que son auditoire voient des gens qui ont les caractéristiques des animaux qui sont personnifiés.
L'Aigle la laie et la chattre
L'Aigle avait ses petits au haut d'un arbre creux.
La Laie au pied, la Chatte entre les deux ;
Et sans s'incommoder, moyennant ce partage,
Mères et nourrissons faisaient leur tripotage.
La Chatte détruisit par sa fourbe l'accord.
Elle grimpa chez l'Aigle, et lui dit : Notre mort
(Au moins de nos enfants, car c'est tout un aux mères)
Ne tardera possible guères.
Voyez-vous à nos pieds fouir incessamment
Cette maudite Laie, et creuser une mine ?
C'est pour déraciner le chêne assurément,
Et de nos nourrissons attirer la ruine.
L'arbre tombant, ils seront dévorés :
Qu'ils s'en tiennent pour assurés.
S'il m'en restait un seul, j'adoucirais ma plainte.
Au partir de ce lieu, qu'elle remplit de crainte,
La perfide descend tout droit
A l'endroit
Où la Laie était en gésine.
Ma bonne amie et ma voisine,
Lui dit-elle tout bas, je vous donne un avis.
L'aigle, si vous sortez, fondra sur vos petits :
Obligez-moi de n'en rien dire :
Son courroux tomberait sur moi.
Dans cette autre famille ayant semé l'effroi,
La Chatte en son trou se retire.
L'Aigle n'ose sortir, ni pourvoir aux besoins
De ses petits ; la Laie encore moins :
Sottes de ne pas voir que le plus grand des soins,
Ce doit être celui d'éviter la famine.
A demeurer chez soi l'une et l'autre s'obstine
Pour secourir les siens dedans l'occasion :
L'Oiseau Royal, en cas de mine,
La Laie, en cas d'irruption.
La faim détruisit tout : il ne resta personne
De la gent Marcassine et de la gent Aiglonne,
Qui n'allât de vie à trépas :
Grand renfort pour Messieurs les Chats.
Que ne sait point ourdir une langue traîtresse
Par sa pernicieuse adresse ?
Des malheurs qui sont sortis
De la boîte de Pandore,
Celui qu'à meilleur droit tout l'Univers abhorre,
C'est la fourbe, à mon avis.