Re: Le personnage
Posté : 10 févr.23, 01:14
Il faut aussi noter qu'entre "donner une fessée" et en envoyer quelqu'un à la perdition éternelle il y a une marge ...
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Il faut aussi noter qu'entre "donner une fessée" et en envoyer quelqu'un à la perdition éternelle il y a une marge ...
Non c'est l'offenser qui va inciter un enfant de ne pas pécher, car l'offenser c'est de la peine, c'est la crainte du père.
Absolument pas, la zoophilie comme d'ailleurs l'inceste que j'ai oublié de citer,ou les relations pendant les menstruations, fait partie de l'ensemble des lois régissant la sexualité dans la Loi Mosaïque.
Tu n'as pas compris.Estrabosor a écrit : ↑10 févr.23, 00:54 Une fille qui se mariait et avait déjà couché avec un autre homme même sort, un couple illégitime, même sort.
Non la fornication c'est l'orgie.Estrabosor a écrit : ↑10 févr.23, 00:54 ....
Le Nouveau Testament est dans la même ligne, puisqu'il emploie le mot grec "porneia" (traduit par fornication) qui désigne toutes les relations sexuelles en dehors du cadre du mariage et que Jésus va jusqu'à condamner l'intention sans acte !....
Est-ce qu'on pourrait aimer un père qui menace de nous exterminer si on ne lui obéit pas ? On pourrait faire semblant de l'aimer mais on ne l'aimerait pas vraiment.prisca a écrit : ↑10 févr.23, 01:14 Non c'est l'offenser qui va inciter un enfant de ne pas pécher, car l'offenser c'est de la peine, c'est la crainte du père.
Mais si à côté de l'offense il y a aussi la correction, l'enfant va être meurtri d'angoisse, au lieu d'être juste passablement triste d'avoir fait de la peine à son père s'il n'y a pas de correction.
Totalement faux, elle était lapidée !
"La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu"https://fr.wikipedia.org/wiki/Fornication
Pas de soucis . Ça m'arrive aussi.Estrabosor a écrit : ↑10 févr.23, 00:40 Mille pardons Gzabirji, j'ai lu en biais ce matin et j'ai zappé certains commentaires
Je ne peux malheureusement pas tellement confirmer ni infirmer tes dires dans la mesure où ma relation avec mon père biologique n'est pas vraiment représentative d'une relation "normale" telle que par exemple la relation de mon fils vis-à-vis de moi. En gros, lorsque j'étais petit, j'avais carrément peur de mon père, et ça c'est jamais bon. Bien entendu, en grandissant la peur s'est estompée, et là je te rejoins lorsque tu dis que l'amour d'un fils pour son père peut évoluer mais bon, lorsque quelque chose est brisé dans l'enfance, on ne peut pas vraiment recoller tous les morceaux.Je comprends tout à fait ton argument mais je ne pense pas que l'amour porté par un père à un enfant soit comparable à celle d'un humain porté à Dieu.
La relation de l'humain à Dieu est plutôt celle d'un enfant à son père à mon humble avis. Or, un enfant, peut aimer davantage son père au fil de la vie, car l'expérience, les choses vécues ensemble etc. lui permettront d'apprécier d'autres facettes de son père.
Les menaces ce sont des manœuvres intentionnelles de l'Eternel pour pousser les paiens de l'antiquité à rejoindre vite Jésus qui fait écran devant la colère de Dieu des Juifs qui montre un caractère très très puissamment colérique. Comme des enfants apeurés les humains de l'antiquité vont vite édifier l'église catholique pour honorer ce Dieu Jésus qui a su apaiser un père décidemment très très dur. L'Eternel a voulu jouer le rôle du grand méchant loup exprès alors que Notre Père est Amour tout le temps et pour toujours. C'est une tactique, un stratège, un plan, un Saint Secret, un dessein.
Estrabosor a écrit : ↑10 févr.23, 01:34 Totalement faux, elle était lapidée !
Deutéronome 2213Si un homme, qui a pris une femme et est allé vers elle, éprouve ensuite de l'aversion pour sa personne, 14s'il lui impute des choses criminelles et porte atteinte à sa réputation, en disant: J'ai pris cette femme, je me suis approché d'elle, et je ne l'ai pas trouvée vierge, - 15alors le père et la mère de la jeune femme prendront les signes de sa virginité et les produiront devant les anciens de la ville, à la porte. 16Le père de la jeune femme dira aux anciens: J'ai donné ma fille pour femme à cet homme, et il l'a prise en aversion; 17il lui impute des choses criminelles, en disant: Je n'ai pas trouvé ta fille vierge. Or voici les signes de virginité de ma fille. Et ils déploieront son vêtement devant les anciens de la ville. 18Les anciens de la ville saisiront alors cet homme et le châtieront; 19et, parce qu'il a porté atteinte à la réputation d'une vierge d'Israël, ils le condamneront à une amende de cent sicles d'argent, qu'ils donneront au père de la jeune femme. Elle restera sa femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu'il vivra.
20Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s'est point trouvée vierge, 21on fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu'elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.
22Si l'on trouve un homme couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l'homme qui a couché avec la femme, et la femme aussi. Tu ôteras ainsi le mal du milieu d'Israël.
23Si une jeune fille vierge est fiancée, et qu'un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle, 24vous les amènerez tous deux à la porte de la ville, vous les lapiderez, et ils mourront, la jeune fille pour n'avoir pas crié dans la ville, et l'homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.
25Mais si c'est dans les champs que cet homme rencontre la jeune femme fiancée, lui fait violence et couche avec elle, l'homme qui aura couché avec elle sera seul puni de mort. 26Tu ne feras rien à la jeune fille; elle n'est pas coupable d'un crime digne de mort, car il en est de ce cas comme de celui où un homme se jette sur son prochain et lui ôte la vie. 27La jeune fille fiancée, que cet homme a rencontrée dans les champs, a pu crier sans qu'il y ait eu personne pour la secourir.
28Si un homme rencontre une jeune fille vierge non fiancée, lui fait violence et couche avec elle, et qu'on vienne à les surprendre, 29l'homme qui aura couché avec elle donnera au père de la jeune fille cinquante sicles d'argent; et, parce qu'il l'a déshonorée, il la prendra pour femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu'il vivra.
30Nul ne prendra la femme de son père, et ne soulèvera la couverture de son père.
Conclusion de ce passage, les seules relations sexuelles autorisées sont avec son conjoint et, dans le cas où la fille n'est pas promise au moment de l'acte, l'homme l'épouse ce qui, encore une fois, ramène l'acte dans le cadre du mariage.
Pour le Dieu de la Loi, l'acte sexuel ne s'entend qu'entre deux personnes de sexe différent qui s'engagent dans une union.
On voit bien ici que P.risca défend sa morale et non celle de la Bible !
"La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu"https://fr.wikipedia.org/wiki/Fornication
Le mot « aujourd’hui » dans la phrase de Jésus n’a rien à y faire puisque le contexte montre très clairement que Jésus et le bandit vont mourir le jour même donc forcément Jésus ne peut dire sa phrase que ce jour-là et ajouté le mot « aujourd’hui » ne sert à rien puisqu’il ne lui a pas dit cette phrase la veille (vu qu’il ne le connaissait pas) ni le lendemain puisqu’il est mort pendant les 3 jours après son exécution.Pat1633 a écrit : ↑09 févr.23, 10:26
https://www.jw.org/finder?srcid=jwlshar ... 2681&par=0
Très belle TG pour en fin de semaine
Pas de grêlons
De toute façon il me semble que Esther ne répond jamais aux questions qu'on lui pose. Je voulais juste vérifier.
Je suis sûr qu'il y a plein d'articles dans leur littérature qui expliquent précisément les raisons doctrinales d'un tel choix de traduction.
nouvelle Bible Français CourantAsh a écrit : ↑10 févr.23, 07:01 Le mot « aujourd’hui » dans la phrase de Jésus n’a rien à y faire puisque le contexte montre très clairement que Jésus et le bandit vont mourir le jour même donc forcément Jésus ne peut dire sa phrase que ce jour-là et ajouté le mot « aujourd’hui » ne sert à rien puisqu’il ne lui a pas dit cette phrase la veille (vu qu’il ne le connaissait pas) ni le lendemain puisqu’il est mort pendant les 3 jours après son exécution.
s’il te plaît ..
=> https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1983761a écrit :La façon dont ce verset a été traduit dans différentes versions de la Bible a influencé le point de vue de beaucoup sur cette question. En effet, nombre de traducteurs rendent ce texte comme A. Crampon, qui met: “Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis.” Si l’on en croit de telles versions, Jésus et le criminel se seraient retrouvés au paradis le jour même de leur exécution. Pourtant, la Bible précise qu’à sa mort Jésus alla dans l’Hadès ou au Schéol. Au sujet de la résurrection du Christ, qui eut lieu trois jours plus tard, l’apôtre Pierre déclara: “Il n’a pas été abandonné à l’Hadès [“Schéol” en hébreu] (...). Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité.” — Actes 2:31, 32; Psaume 16:10.
Il est donc clair que Jésus est resté dans le Schéol ou dans l’Hadès (la tombe commune aux humains) jusqu’à sa résurrection (...) Nous avons vu qu’à sa mort, selon la Bible, Jésus est allé au Schéol ou dans l’Hadès, et non pas au ciel. Il est resté inconscient pendant trois jours dans la tombe commune aux humains (Ecclésiaste 9:5, 10). Aussi n’a-t-il pas pu se rendre dans les cieux. La Bible affirme qu’il y est seulement retourné quarante jours après sa résurrection. — Actes 1:3, 6-11.
Il apparaît donc que Jésus promettait simplement au malfaiteur un retour à la vie dans le paradis, mais pas pour le jour même. De ce fait, voici comment on peut rendre correctement les propos du Christ: “En vérité je te le dis aujourd’hui: Tu seras avec moi dans le Paradis.” Un certain nombre de traductions de la Bible vont d’ailleurs dans le même sens. L’une d’elles (Lamsa) porte la note suivante en bas de page: “Les textes anciens n’avaient pas de ponctuation. La virgule peut être mise indifféremment avant ou après le mot aujourd’hui.”