Je reviens sur mon texte précédent.
Il y a les faits :
- absence de chaînons manquants appelé le secret professionnel des paléontologues.
- Il y a les interprétations des faits .
1) il n'y a pas assez de fossiles.
2) l'évolution s'est faite trop vite pour qu'il y ait eu des fossiles . Equilibres ponctués.
Rappelons que ces bonds évolutifs ne font pas d'un animal de 10 kg une baleine en 1000 années seulement. La théorie leur donne 10 MA pour y parvenir . Or, si vous observez les 4 ou 5 chaînons supposés de cette évolution, vous constatez que ce sont des animaux complets, dont absolument rien n'indique qu'un membre est en train d'évoluer. S'ils existaient encore aujourd'hui, ils n'étonneraient absolument personne. Ils sont normaux.
Seulement, une baleine, c'est quand même autre chose qu'un mammifère de 10 kg et la plus élémentaire logique nous fait penser qu'il a bien fallu des spécimens présentant visiblement une vraie évolution, des sortes d'animaux atypiques , qui nous montreraient l'apparition, non achevée, des éléments qui aujourd'hui font la baleine, éléments tout à fait opérationnels cette fois ci.
Comparons l'évolution à la transformation de la chenille en un magnifique papillon et disons que la fossilisation est l'équivalent d'un film que l'on aurait réalisé tout le temps de ce processus..
En effet, les fossiles sont les instantanés de l'évolution supposée des espèces.
Que penserions nous si nous ne disposerions que de 2 images seulement sur toute le temps du film censé durer tout le long de la métamorphose. Et en fait le film nous montrerait la chenille, puis immédiatement après le papillon déjà achevé.
Va t'on nous dire que la métamorphose s'est fait tellement vite que le film n'a pas pu la saisir ?
Dans ce cas là, il faudrait le démontrer. Car c'est une hypothèse.. comme est une hypothèse la théorie des équilibres ponctués.
je rappelle que le sujet ne concerne pas la foi , mais l'argumentaire des évolutionnistes pour faire avaler la pilule.
A supposer qu'il n'existe aucune religion au monde, aucune opposition à la théorie évolutionniste .
Devrions nous pour autant accepter qu'on nous prenne pour des billes en nous expliquant qu'il est certain qu'un animal de 10 kg tout mouillé est l'ancêtre d'une baleine de 200 tonnes simplement en regardant ses os, et sans qu'un seul fossile d'animal "vraiment" mutant n'ait été trouvé ?
Quelle science nous offre t'on ? Croyant ou pas.
Estrabolio a écrit :Pour ce qui est de la généalogie de la baleine, on va ainsi pouvoir constater que divers animaux ont plusieurs points communs caractéristiques qui les lient entre eux et confirment l'hypothèse de départ.
Même erreur d'amateur que Keinlezard.
Pour relier la baleine actuelle ( dont nous possédons évidemment l'ADN ) et son ancêtre supposé d'il y a 34 MA, je dis bien
millions d'années, il est ridicule d'affirmer que l'on peut utiliser l'ADN car cela supposerait que l'on dispose d'un ADN de 34 MA.
Un fossile (dérivé du substantif du verbe latin fodere : fossile, littéralement « qui est fouillé ») est le reste d'un animal ou d'un végétal (coquille, carapace, os, dent, graine, feuilles, spore, pollen, plancton, micro-organismes), généralement
minéralisé, ou bien son
simple moulage, conservé dans une roche ..
Le plus vieux génome complet du monde a été récupéré sur un os provenant de la jambe d'un cheval vieux de 700 000 ans.
https://www.nationalgeographic.fr/histo ... 00-000-ans
Donc, non, définitivement, pas de preuve ADN pour la baleine..
Et enfin, une micro tare de l'ADN indique t'elle forcément un ancêtre commun ?. Dans certains cas oui, mais cela peut aussi s'expliquer par une réponse similaire du corps à une agression similaire.
Dès lors où vous intégrez l'existence de Dieu et sa part active dans la création, alors vous intégrez le fait qu'un créateur peut coder le génome sans à chaque fois réinventer le monde et donc y mettre des bouts de codes qui fonctionneront aussi bien pour pleins d'espèces différentes. Et si vous codez de la même façon une partie du génome de deux espèces différentes, si elles sont agressées par le même agent extérieur, elles pourront réagir de façon similaire, et laisser la même trace.
Il faut faire attention à ne pas confondre deux notions : ce qui est nécessaire et ce qui est suffisant.
Pour que les espèces soient reliées les unes aux autres, il est nécessaire qu'elles aient des bouts de codes communs, mais cela n'est pas suffisant si les bouts de codes communs peuvent avoir une autre origine que la filiation, comme par exemple une même réponse à une même agression sur la base d'un génome codé de la même façon, ou un même concepteur.
Savez vous que nous avons 35% de codes génétiques communs avec la jonquille ? 70 % avec l'oursin !!!
Quand on nous dit que les gènes de l'homme et du chimpanzé sont identiques à 98 %, on se garde bien de tout nous dire. il ne s’agit que de la comparaison des pages qui sont très similaires. D’une espèce à l’autre, il n’est en outre pas rare que l’arrangement des chromosomes, voire leur nombre, diffère. «On ne compare que ce qui est comparable»
Ainsi, ce qui est comparé ne correspond pas à l'ensemble de tous les gènes, sans exceptions, mais à ceux qu'on a choisi de comparer.
Vous voyez, tout est dans la façon de présenter les choses, avec une orientation subjective souvent, car pourquoi croyez vous qu'on nous dise 98% concernant l'homme et le chimpanzé ?