Re: Berkeley
Posté : 08 juin23, 09:57
Être c'est être perçu. Berk devait être un grand dépendant affectif
Être c'est être perçu. C'est même Hollywoodien
Être c'est être perçu. C'est même Hollywoodien
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Il semble que tu aies un cerveau binaire d'ordinateur.J'm'interroge a écrit : ↑08 juin23, 09:53 Une idée floue ne sera jamais que particulière, aussi floue ou d'ailleurs précise qu'elle puisse être.
Tu le dis mais c'est faux, tu ne sais pas la différence entre percevoir et comprendre.
Lis ma signature.
Lis la mienne.
Bien sûr que si.J'm'interroge a écrit : ↑08 juin23, 10:43 Tu le dis mais c'est faux, tu ne sais pas la différence entre percevoir et comprendre.
Ça n'existe pas. Tu parles en réalité d'idées globales.gadou_bis a écrit : ↑08 juin23, 11:27 Bien sûr que si.
Je perçois sans problème si quelqu'un est triste ou heureux, sans du tout savoir détailler comment ni pourquoi je le perçois, et sans avoir aucune image particulière de quelqu'un heureux ou triste, mais par une idée générale imprécise de ce que produit la joie ou la tristesse.
Larousse:
Non, et j'ai déjà expliqué en quoi.
Oui.
La "science" c'est la connaissance.
gadou_bis a écrit : ↑08 juin23, 21:14 Larousse:
Global :Qui est considéré dans sa totalité, qui est pris en bloc ou qui considère quelque chose dans son ensemble : Une vue globale de la situation.
Général : Qui s'applique à un ensemble d'êtres ou de choses : Agir dans l'intérêt général.
En clair: le global est à la vue ce que le général est à l'idée.
ça n'empêche que notre cerveau est parfaitement capable d'une perception générale et non pas particulière.
Quand je te parle d'un arbre, est-ce que tu te représentes un arbre en particulier ?
Wikipédiaa écrit :George Berkeley est l'un des philosophes qui sont allés le plus loin sur le terrain du solipsisme, depuis le pyrrhonisme antique. Son idéalisme empiriste renvoyait en effet à Dieu l'origine de nos sensations. Dès lors, le monde n'avait pas d'existence matérielle en tant que telle : Berkeley s'opposait à toute position réaliste qui considèrerait que le monde possède une réalité extérieure hors de notre perception : « Être, c'est être perçu et percevoir », selon sa formule célèbre. Mais en fait toutes nos perceptions subjectives renvoient à la perception divine. L'autre, dès lors, existe-t-il ?
Cette position partage certains aspects avec la théorie de la monade de Leibniz, chaque monade n'étant en lien immédiat qu'avec Dieu, et chacune exprimant l'univers
Pas forcément qu'un seul arbre particulier, non. Mais il s'agira toujours d'arbres particuliers oui. Quand j'ai lu le mot "arbre" dans ta phrase, c'est bien un chêne avec une certaine ramure que je me suis spontanément représenté. Et il en va de même pour tout le monde, y compris toi.
Mon cerveau ou mon esprit sont bien incapables de se représenter une idée générale quelle qu'elle soit, y compris celle de l'arbre en général.
Tu dis des bêtises.gadou_bis a écrit : ↑09 juin23, 01:23 D'ailleurs c'est une erreur flagrante dans le raisonnement de berkeley, car il prétend qu'il ne peut pas se représenter un homme sans lui donner une couleur.
Dans les faits, les gens normaux, se représentent les humains sans leur donner une couleur, ni pour la peau ni pour les yeux ni pour les cheveux.
Je ne rejette rien du rationalisme scientifique. Tout ce que je dis en est une expression.
Ton angle reprend tout simplement la principale critique du spiritualisme sur "les limites de toute approche matérialiste ( et réaliste) pour valider sa métaphysique et son idée de lois de l'esprit supérieures aux lois de la nature.J'm'interroge a écrit : ↑09 juin23, 04:55 Je ne rejette rien du rationalisme scientifique. Tout ce que je dis en est une expression.
Mais oui, ton rationalisme est naïf, comment pourrait-il ne pas l'être puisque tu ne tiens pas compte des données des sciences qui l'invalident ?
Berkeley a affirmé sans démontrer.J'm'interroge a écrit : ↑09 juin23, 04:55 Une représentation mentale étant toujours construite sur des données sensorielles. Une représentation générale de l'homme est impossible.
Berkeley l'a très bien montré.