Arzew a écrit :@elimelek
Dis moi comment faire confiance a un Dieu Mort, décédé, et capout ?
:
Notre dieu n est pas resté décédé . Contrairement à ton prophète ,Mahomet , dont tu obéis .
Et cela , c est VOTRE problème
Vous coran a été récité par un homme , mort , décédé , et capout ... et encore fait il supputer qu il n y a pas eu d altération après , ce qui ne s est pas passé
Votre tradition ( sunna ) est de faire du mimétisme par rapport à ce qu aurait fait ( selon vous ) cet homme mort , décédé , capout ... si encore on suppute que ce que rapportèrent des inconnus était correct ... ce qui ne s est pas passé
Votre croyance repose que sur un homme mort , décédé et capout et des fables qui se sont greffés sur cet homme mort , décédé , capout
Et en plus de cela , il faut supputer de l intégrité du personnage Mahomet .. ce qui n est pas gagné vu que le discours en place fut censuré dès le départ .
Selon la propagande abbasside , Ziyad ibn abu sufyan , avait dit :
"Je tuerais quiconque dans les rues après la nuit .
Gare à vous de solliciter votre famille .
Je couperais la langue de tous ceux qui feront appel
Je régis avec l omnipotence d Allah et vous maintient dans les richesses d Allah .
Je vous exige parfaite obéissance"
Et en effet dans les chroniques de Tabari aucun vagabond la nuit tombée fut mis en prison , mais tous furent tués ... sans aucune forme de procés
Un bédouin qui était arrivé récemment dans la ville ou siégeait Ziyad ibn abu sufyan , fut récolté par une patrouille
Le bédouin fut amené à Ziyad ibn abu sufyan , et se défendit en disant qu il n était arrivé que le hour même .
Ziyad répliqua qu il croyait en sa sincérité , mais qu il ne pouvait pas faire d entorse à ses lois :
et dit
"je vais donc te faire tuer .. si tu es innocent , tu auras le mérite d un martyre . Cela vaut mieux que si mes lois subissaient une atteinte quelconque"
Va savoir le fond de vérité là dedans .. Mais que ce soit en supposant que ce récit est une récit de propagande abbasside , ou que ce soit un récit réel , dans les deux cas , il démontre un incroable climat de censure