Bah oui, forcément. On ne s'arrête jamais à la simple existence d'un objet ou d'un phénomène, sinon ça ne sert pas à grand chose.Estrabosor a écrit : ↑19 févr.23, 08:45 Dans les deux cas que tu cites, le but est de mieux comprendre comment fonctionne l'Univers qui nous entoure
Tu enfonces à nouveau une porte ouverte. J'ai déjà dit que la science n'affirme jamais l'inexistence de quoi que soit.comment la vie est apparue, si elle a pu apparaître ailleurs etc.
Ce n'est jamais quelque chose de gratuit comme ton exemple de dire qu'un éléphant qui vole n'existe pas.
Ce défi n'a aucun sens. Voir ma réponse juste au-dessus.Encore une fois, j'ai proposé un défi : me fournir une publication scientifique disant que Dieu n'existe pas !
J'ai dit exactement l'inverse.Si rien, selon toi, n'empêche un scientifique de communiquer sur l'inexistence d'éléphants volants
J'ai dit que rien ne peut être scientifiquement affirmé dans ce domaine. Tu m'as mal lu.alors rien n'empêche de le faire sur l'inexistence de Dieu.
L’abandon est un moyen de se détacher du faux « je » parce que le lâcher-prise agit dans le monde sans croyance ou intérêt dans les histoires et les idées du mental, lesquelles sont des histoires et des idées qui soutiennent l’idée « je ».
Il est important de noter que ce « je » est pleinement supporté par la pensée. « Je ne suis pas cela » peut être une réponse intérieure aidante quand le mental insiste, à travers ses histoires et ses idées, sur le fait que tu es ce que tu n’es pas.
Citation.
Ajouté 14 heures 51 minutes 22 secondes après :
Un mendiant était assis sur le bord d'un chemin depuis plus de trente ans. Un jour, un étranger passa devant lui. « Vous avez quelques pièces de monnaie pour moi ? », marmonna le mendiant en tendant sa vieille casquette de baseball d'un geste automatique. « Je n'ai rien à vous donner », répondit l'étranger, qui lui demanda par la suite : « Sur quoi êtes-vous assis ? » « Sur rien, répondit le mendiant, juste une vieille caisse. Elle me sert de siège depuis aussi longtemps que je puisse m'en souvenir. » « Avez-vous jamais regardé ce qu'il y avait dedans ? » demanda l'étranger. « Non, répliqua le mendiant, pour quelle raison ? Il n'y a rien. » « Jetez-y donc un coup d'œil », insista l'étranger. Le mendiant réussit à ouvrir le couvercle en le forçant. Avec étonnement, incrédulité et le cœur rempli d'allégresse, il constata que la caisse était pleine d'or.
Je suis moi-même cet étranger qui n'a rien à vous donner et qui vous dit de regarder à l'intérieur. Non pas à l'intérieur d'une caisse, comme dans cette parabole, mais dans un lieu encore plus proche de vous : en vous-même.
Eckhart Tolle