patlek a écrit :Ce que j' ai lu , il y a pas mal d' erreurs.
Dans l' évolution, touteles formes sont des formes intermédiaires, l' evolution continu, elle n' est pas stoppée.
""Les évolutionnistes ne peuvent pas montrer des formes de transition"
Il s’agit là des «chaînons manquants» chers à la presse.
C’est faux.
Si on parle rigoureusement, ces fameuses formes de transition sont des intermédiaires structuraux entre des types d’animaux connus de la faune d’aujourd’hui. Par exemple, prenons les lézards (les lépidosaures, sorte de «reptiles») et les oiseaux. Les lépidosaures ont une queue, des dents, pas de plumes, pas de fourchette. Les oiseaux n’ont pas de queue, pas de dents, des plumes, une fourchette (réunion des deux clavicules). Le monde semble stable, ayant toujours contenu des animaux de «type lézard», sorte de puzzle aux pièces noires, et des animaux de «type oiseau», sorte de puzzle aux pièces blanches. En 1860 on découvrit un fossile, l’Archaeopteryx, qui est exactement le même puzzle, mais aux pièces tantôt noires, tantôt blanches, en fait ce qu’on appelle un intermédiaire structural. Il possède en effet une queue et des dents (comme le lézard), mais des plumes et une fourchette (comme l’oiseau). Depuis cette époque, une foule d’autres fossiles est venue enrichir les branches qui manquaient entre la branche des lézards et celle des oiseaux d’aujourd’hui. Il en va de même pour les «reptiles mammaliens» du Permien et du Trias, renfermant des proportions de caractères mammaliens tellement subtilement distribuées d’un fossile à l’autre qu’on a du mal à poser sur l’arbre phylogénétique le point qui définit les mammifères. Pour les créationnistes, toutes ces formes de transition ne seront jamais satisfaisantes : il manquera toujours des formes de transition entre les formes de transition !"
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosevol/ ... re7.html#7
Je vais pas relever toutes les erreurs dans le post d' énigma, une par une,
Le principe de la diversité des especes, et des formes de vie, c' est du a l' arbre de l' évolution.
La créature "mi poisson /mi amphibien" existe encore aujourd' hui.
Le periophtalme
Etc...
Ah bon, pour ne pas s'humilier de plus en plus maintenant les evolutionistes viennent prétendre que les formes d'intermédiations n'existeraient pas, c'est nouveau ça, de la vrais superstition!
La science et les nouvelles découvertes jour aprés jour refute le mythe de l'évolution
Pour ne pas tourner en rond et faire bref et te montrer toi et à ce léviethan que tous vos superstitions matérialistes sont fausses , je ne prendra qu'un simple petit exemple: l'Archæoptéryx
Une autre prétendue forme transitionnelle: Archæoptéryx
En guise de réponse, les évolutionnistes prononcent le nom d'une seule créature. Il s'agit du fossile d'un oiseau nommé Archæoptéryx, qui est l'une des célèbres prétendues formes transitionnelles qui figure parmi les rares formes que les évolutionnistes s'acharnent toujours à défendre. L'Archæoptéryx, l'ancêtre des oiseaux modernes selon les évolutionnistes, a vécu il y a 150 millions d'années. La théorie prétend que les dinosaures de petites tailles, appelés vélociraptores ou droméosaures ont évolué en développant des ailes puis en volant. Ainsi, l'Archæoptéryx est supposé être une forme transitionnelle issue de ses ancêtres dinosaures, qui a commencé à voler pour la première fois.
Or, les dernières études en date sur le fossile Archæoptéryx indiquent que cette créature n'est absolument pas une forme transitionnelle, mais plutôt une espèce d'oiseau possédant des caractéristiques différentes de celles des oiseaux d'aujourd'hui.
DES POUMONS SPECIAUX POUR LES OISEAUX
L'anatomie des oiseaux est très différente de celle des reptiles, les ancêtres qu'on leur attribue. Leurs poumons, par exemple, ne fonctionnent pas de la même manière. Chez les oiseaux, en effet, l'air pénètre dans le poumon par l'avant et il est expiré par l'arrière tandis que les animaux terrestres inspirent et expirent par les mêmes vaisseaux. Cette spécificité est liée au fait que les oiseaux ont un grand besoin d'oxygène quand ils volent. Un tel système respiratoire ne peut être l'héritage des poumons du reptile.
La thèse qui défend l'idée que l'Archæoptéryx était un "oiseau à moitié" qui ne pouvait pas voler correctement était très populaire dans les cercles évolutionnistes jusqu'à très récemment. L'absence d'un sternum, c'est-à-dire l'os du thorax, chez cet animal ou du moins sa nature différente de celui des animaux volants, a été longtemps considérée comme la preuve la plus importante de l'incapacité de cet oiseau à voler correctement. (Le sternum est un os situé sous le thorax auquel sont accrochés les muscles nécessaires au vol. De nos jours, nous constatons l'existence de cet os chez tous les oiseaux volants ou pas, voire chez les chauves-souris, qui sont des mammifères volants appartenant à une famille distincte)
Toutefois, le septième fossile Archæoptéryx trouvé en 1992 a suscité une surprise générale chez les évolutionnistes. Car, cet os thoracique, que les évolutionnistes ont longtemps cru qu'il faisait défaut existait vraiment. Ce fossile récemment découvert a été décrit dans le magazine Nature en ces termes:
"Le septième spécimen récemment découvert de l'Archæoptéryx préserve un sternum partiellement rectangulaire, dont on a souvent soupçonné l'existence sans pour autant en avoir la preuve. Cette découverte est un témoignage de ses (l'Archæoptéryx) solides muscles de vol."
Cette découverte réfute l'idée répandue que l'Archæoptéryx était à moitié oiseau et qu'il ne pouvait pas voler correctement.
Par ailleurs, la structure des plumes de cet oiseau est l'une des preuves les plus irréfutables que l'Archæoptéryx était bel et bien un oiseau volant. Cette structure asymétrique des plumes ne peut être distinguée de celle des oiseaux modernes et par conséquent l'Archæoptéryx pouvait en effet parfaitement voler. Le célèbre paléontologue Carl O. Dunbar l'explique: "Grâce à ses plumes, l'Archæoptéryx peut clairement être classé comme un oiseau."
Cette structure de plume a également révélé que l'Archæoptéryx avait un métabolisme à sang chaud. Comme nous le savons, les dinosaures et les reptiles ont le sang froid et subissent donc l'effet des températures ambiantes plutôt que de réguler par eux-mêmes la température de leur corps. L'une des fonctions importantes des plumes chez l'oiseau consiste à maintenir la température de son corps. Le fait que l'on sache que Archæoptéryx avait des plumes prouve qu'il s'agit d'un animal réel à sang chaud qui avait besoin de réguler sa propre température contrairement aux dinosaures.
Les spéculations des évolutionnistes: les dents et les serres de l'Archæoptéryx
Les deux points importants sur lesquels les évolutionnistes se basent pour justifier que l'Archæoptéryx est une forme transitionnelle sont les serres situées sur les ailes de l'oiseau et les dents.
Il est vrai que l'Archæoptéryx avait des serres sur ses ailes et des dents, mais il n'en demeure pas moins que ces traits n'impliquent pas que cette créature a des points communs avec les reptiles. De plus, deux espèces d'oiseaux vivant de nos jours, les Touracos et les Hoatzins, ont des serres qui leur permettent de s'accrocher aux branches. Ces créatures sont de véritables oiseaux et ne possèdent pas de caractéristiques de reptiles. C'est pour cela qu'il est insensé d'affirmer que l'Archæoptéryx est une forme transitionnelle uniquement à cause de la présence de serres sur les ailes.
De même, les dents dans le bec de l'Archæoptéryx ne signifient pas qu'il s'agit d'une forme transitionnelle. Les évolutionnistes font preuve de mauvaise foi lorsqu'ils affirment que ces dents sont des caractéristiques de reptiles. De nos jours, quelques reptiles possèdent des dents alors que d'autres pas. En outre, l'Archæoptéryx n'est pas la seule espèce d'oiseau possédant des dents. Il est vrai que les oiseaux avec des dents n'existent plus aujourd'hui, mais si l'on examine les archives fossiles, nous remarquons qu'à la même époque de l'Archæoptéryx et même après, voire jusqu'à très récemment, un genre différent d'oiseau existait, que l'on peut catégoriser comme "oiseau avec des dents".
Le point le plus important c'est que la structure des dents chez l'Archæoptéryx et chez les autres oiseaux dotés de dents diffère totalement de celle que l'on trouve chez leurs ancêtres supposés, les dinosaures. Martin Stewart et Whetstone, les célèbres ornithologues, ont observé que les dents de l'Archæoptéryx et des autres oiseaux dotés de dents ont une surface plate et des grandes racines. Cela dit, les dents des dinosaures théropodes, les ancêtres supposés de ces oiseaux, sont protubérantes comme une scie avec des racines étroites.
Les chercheurs ont également comparé les os du poignet de l'Archæoptéryx et de ses ancêtres supposés, les dinosaures, sans constater de similitudes.
Les études anatomiques effectuées par des chercheurs comme Tarsitano, Hecht et A. D. Walker n'avaient abouti en réalité qu'à des erreurs d'interprétation. Celles-ci ont révélé certaines "similitudes" entre cette créature et les dinosaures, comme l'a confirmé John Ostrom, une autorité éminente qui prétend que l'Archæoptéryx a évolué à partir des dinosaures.
Toutes ces découvertes indiquent que l'Archæoptéryx n'était pas un lien transitionnel mais seulement un oiseau qui fait partie de la catégorie que l'on peut appeler "oiseaux à dents".
L'Archæoptéryx et d'autres fossiles d'oiseaux anciens
Alors que les évolutionnistes ont proclamé pendant des décennies que l'Archæoptéryx est la plus grande preuve de leur scénario concernant l'évolution des oiseaux, quelques fossiles trouvés réfutent ce scénario sur d'autres aspects.
L'oiseau baptisé Confuciusornis a le même âge que l'Archæoptéryx.
Lianhai Hou et Zhonghe Zhou, deux paléontologues de l'Institut Chinois de Paléontologie des Vertébrés, ont découvert un nouveau fossile d'oiseau en 1995 qu'ils ont appelé Confuciusornis. Cet oiseau était presque aussi âgé que l'Archæoptéryx (environ 140 millions d'années), mais celui-ci n'avait pas de dents. De plus, son bec et ses plumes avaient les mêmes caractéristiques que celles que l'on trouve chez les oiseaux de notre époque. Doté du même squelette que les oiseaux actuels, celui-ci avait également des serres sur ses ailes exactement comme l'Archæoptéryx. La structure spéciale appelée le "pygostyle" était présente chez cette espèce d'oiseau qui avait des plumes à la queue. Bref, cet oiseau qui avait le même âge que l'Archæoptéryx (considéré le plus vieil ancêtre de tous les oiseaux et accepté comme étant un semi-reptile), ressemblait davantage à un oiseau moderne. Ce fait a réfuté toutes les thèses des évolutionnistes qui prétendent que l'Archæoptéryx est l'ancêtre primitif de tous les oiseaux.
Un autre fossile, déterré en Chine en novembre 1996, a causé une confusion encore plus grande. L'existence de cet oiseau vieux de 130 millions d'années nommé Liaoningornis a été annoncée par Hou, Martin et Alan Feduccia dans la revue Science. Le Liaoningornis avait un os thoracique sur lequel étaient attachés les muscles nécessaires au vol, à l'instar des oiseaux modernes. Cet oiseau était impossible à distinguer des oiseaux modernes sur d'autres aspects. Sa seule différence était les dents qu'il avait dans la bouche. Cette situation a démontré que les oiseaux dotés de dents n'avaient pas du tout de structure primitive comme le prétendent les évolutionnistes. Ceci a été publié dans un article paru dans Discover "D'où viennent les oiseaux? Ce fossile nous dit qu'ils ne viennent pas des dinosaures."
Un autre fossile qui réfute les allégations des évolutionnistes à l'égard de l'Archæoptéryx est Eoalulavis. La structure d'Eoalulavis, que l'on dit plus jeune que l'Archæoptéryx de 30 millions d'années, a été également observée chez les oiseaux modernes qui volaient lentement. Ceci a prouvé que 120 millions d'années auparavant, il existait des oiseaux impossibles à distinguer à plusieurs niveaux des oiseaux modernes qui volent dans les cieux.
Ces faits certainement indiquent une fois de plus que ni l'Archæoptéryx ni d'autres oiseaux anciens similaires n'étaient en fait des formes transitionnelles. Les fossiles n'indiquent pas que des espèces différentes ont évolué les unes à partir des autres. Au contraire, les archives fossiles prouvent que les oiseaux des temps modernes ainsi que d'autres plus archaïques tels que l'Archæoptéryx ont en fait vécu ensemble à la même époque. Cela dit, certains d'entre eux comme l'Archæoptéryx et le Confuciusornis se sont éteints et seule une partie des espèces préexistantes a pu vivre jusqu'à nos jours.
Quelle est l'origine des mouches?
En guise de preuve que les dinosaures se sont transformés en oiseaux, les évolutionnistes prétendent que certains dinosaures qui battaient du pied pour chasser les mouches "ont eu des ailes et se sont envolés" comme c'est le cas sur la photo.
A défaut d'une base scientifique, cette théorie, qui est un pur produit de l'imagination, recouvre une contradiction d'une logique très simple: l'exemple avancé par les évolutionnistes pour expliquer l'origine du vol, en l'occurrence la mouche, est parfaitement capable de voler. Alors qu'un humain ne peut pas ouvrir les yeux et les refermer 10 fois en une seconde, une mouche déploie ses ailes en moyenne 500 fois par seconde. De plus, elle peut bouger ses deux ailes simultanément. La moindre dissonance dans la vibration des ailes peut provoquer la chute de la mouche mais cela n'arrive jamais.
Les évolutionnistes devraient d'abord trouver une explication à la parfaite maîtrise par les mouches du mécanisme de vol. Or, à défaut d'une telle explication, ils se contentent d'imaginer des scénarii sur comment d'autres créatures beaucoup plus maladroites comme les reptiles ont appris à voler.
Même la parfaite création de la mouche commune réfute les allégations de l'évolution. Le biologiste anglais Robin Wootton écrit dans un article intitulé "La conception mécanique des ailes de mouches":
"Mieux nous connaissons le mode de fonctionnement des ailes d'insectes, plus subtiles et plus belles leurs conceptions apparaissent. Les structures sont traditionnellement conçues de manière à se déformer le moins possible; les mécanismes sont conçus pour mouvoir les composants de façons prévisibles. Les ailes d'insectes combinent les deux en un. Elles utilisent les composants avec un grand choix de propriétés élastiques, assemblées élégamment de manière à permettre les déformations adéquates pour répondre aux forces appropriées afin d'utiliser au mieux l'air. A ce jour, rares sont -s'ils existent- des mécanismes technologiques similaires."
Par ailleurs, pas le moindre fossile n'existe pour prouver cette évolution imaginaire des mouches. C'est ce que le distingué zoologue français Pierre Grassé voulait dire lorsqu'il a déclaré: "Concernant les origines des insectes, nous sommes dans le noir."
Lorsqu'on examine les plumes d'oiseau en détail, on remarque qu'elles sont composées de milliers de petites vrilles attachées les unes aux autres grâces à des crochets. Cette conception unique offre une performance aérodynamique supérieure.
Brièvement, nous pouvons dire que certaines caractéristiques de l'Archæoptéryx n'indiquent pas que cette espèce vivante est une forme transitionnelle! Stephan Jay Gould et Niles Eldredge, deux paléontologues de Harvard et évolutionnistes célèbres, acceptent l'idée que l'Archæoptéryx est une "mosaïque" abritant diverses caractéristiques dans sa forme, mais ne peut en aucun cas être considéré comme une forme transitionnelle.
Le lien imaginaire de l'oiseau-dinosaure
En essayant de présenter l'Archæoptéryx comme une forme transitionnelle, les évolutionnistes prétendent que les oiseaux ont évolué à partir des dinosaures. Cependant, Alan Feduccia, l'un des plus célèbres ornithologues de l'Université de la Californie du Nord, s'oppose à cette théorie en dépit du fait qu'il est lui-même un évolutionniste. Il déclare à ce propos:
"A vrai dire, j'ai étudié les squelettes d'oiseaux pendant 25 ans et je ne vois pas de similitudes. Je n'en vois tout simplement aucune… Les origines théropodes des oiseaux resteront à mon sens le grand point faible de la paléontologie du 20ème siècle."
Larry Martin, un spécialiste des oiseaux anciens à l'Université du Kansas, s'oppose à l'idée que les oiseaux descendent des dinosaures. A propos de cette contradiction, Martin déclare:
"Pour être honnête, je dirai que si je devais soutenir l'idée que les oiseaux qui ont ces caractéristiques descendent des dinosaures, je serai très embarrassé à chaque fois que je devrais me lever pour en parler."
Pour résumer, le scénario de "l'évolution des oiseaux" imaginé uniquement sur la base de l'Archæoptéryx, n'est que le résultat des préjugés des évolutionnistes et de leur tendance à prendre leurs désirs pour des réalités.
Pour finir la nouvelle découvertte du 7 éme archéo met de la poudre aux yeux des évolutionistes et leur mythe , et le fait que des oiseaux à dents et à serres vivent encors de nos jours et le fait que d'autres animaux vivent encors de nos jours aprés des millinaires et sans aucune modification , transformations hypotétiques prouvent qu'il n' y a pas eu d'évolution et en un mot vous pouvez rêvez vous et vos incultes prétendus scientifiques
L'abeille vivante ne diffère absolument pas de son homologue fossile, qui est supposé être vieux de plusieurs millions d'années.
La libellule, vieille de 135 millions d'années ne diffère absolument pas des libellules modernes.
En comparant un fossile de fourmi de 100 millions d'années avec une fourmi d'aujourd'hui, on voit clairement que les fourmis n'ont aucun historique évolutif.
y a des centaines d'exemples d'espèces qui n'ont jamais évolué depuis l'aube des temps, et en plus le probléme de l'intermédiation et des fossiles vivants n'est qu'un gramme des problémes majeurs qui affectent durement cette supercherie mythique
Tien je te donne un autre exemple si les premiers ne te suffit pas
Le Colacanthe : un exemple de fausse forme intermédiaire
Au large de la côte d'Afrique du Sud, au cours de l'hiver de 1938, un bateau de pêche appelé The Nerine ramena de l'Océan Indien près de la Rivière Chalumna un poisson que l'on pensait éteint depuis 70 millions d'années. Le poisson était un cœlacanthe, un animal qui prospérait du temps des dinosaures…
Ces paroles, de l'évolutionniste Keith S. Thompson, président de l'Académie des Sciences Naturelles de l'Université d'Oxford, sont une expression évidente de la vitesse à laquelle un mythe évolutionniste s'évanouit. La prise d’un spécimen de Cœlacanthe a éliminé une des plus grandes fondations truquées de la théorie de l’évolution.
Le Cœlacanthe, qui selon les archives fossiles, remonte à la période du Dévonien, il y a 410 millions d’années, était considéré par les évolutionnistes comme une forme intermédiaire importante entre les poissons et les reptiles. Il a été mystérieusement effacé des archives fossiles il y a 70 millions d’années, au cours de la période du Crétacé, et on pensait qu’il a disparu à cette époque. En se basant sur ces fossiles, les biologistes évolutionnistes suggéraient que cette créature avait des poumons non fonctionnels, "primitifs". Les spéculations concernant le Cœlacanthe sont devenus tellement répandues que le poisson était cité dans de nombreuses publications scientifiques comme la preuve la plus significative de l'évolution. Des peintures et des dessins le montrant sortant de l'eau pour aller sur la terre ferme commencèrent rapidement à apparaître dans les livres et les magazines. Bien sûr, toutes ces suppositions, images et affirmations, étaient basées sur l'idée que la créature était éteinte.
La vérité était pourtant très différente. Depuis 1938, plus de 200 Cœlacanthes ont été attrapés, après le premier d'Afrique du Sud. Le second fut attrapé dans les Comores au nord-ouest de Madagascar en 1952, et un troisième au Sulawesi indonésien en 1998. Le paléontologiste évolutionniste J. L. B. Smith a été incapable de cacher sa stupéfaction lors de la capture du premier Cœlacanthe : "Si j'avais rencontré un dinosaure dans la rue, dit-il, je n'aurais pas été plus étonné."
Ci-dessous : le paléontologiste évolutionniste J. L. B. Smith et le Cœlacanthe vivant pêché aux îles Comores. Ce premier spécimen a montré que leCœlacanthe était un poisson pleinement formé, et non pas une forme intermédiaire comme l'affirmaient les évolutionnistes. 200 autres spécimens découverts depuis ont confirmé ce fait significatif.
Un fossile de Cœlacanthevieux de 410 millions d'années.
Plus tard, des photos d'une paire de Cœlacanthes furent même publiées dans le magazine National Geographic !La capture de Cœlacanthes vivants révéla que les affirmations le concernant n'étaient rien d'autre que des tromperies. La structure qui était suggérée par les chercheurs évolutionnistes comme étant des poumons primitifs se révéla n'être rien d'autre que des vessies natatoires remplies de graisse. De plus, les évolutionnistes avaient toujours représenté le poisson vivant dans des eaux peu profondes, comme un reptile potentiel se préparant à ramper sur la terre ferme où il continuerait "d'évoluer". Pourtant le Cœlacanthe fut retrouvé dans les eaux des profonds océans – un poisson vivant dans les profondeurs et ne remontant pratiquement jamais au-delà de 180 mètres sous la surface de la mer
En 1987, le naturaliste allemand Hans Fricke a confirmé ces découvertes quand il a observé et photographié des Cœlacanthes au large de l'île de la Grande Comore. Il a observé que le poisson nageait à reculons, en avant et même penché la tête en bas, mais qu'il n'avait jamais "marché, rampé ou qu'il s’était déplacé sur ses nageoires lobées".
Conclusion : le Cœlacanthe étant un fossile vivant, il a éliminé la soi-disant preuve que les évolutionnistes avaient exhibée si fièrement afin de soutenir leur scénario imaginaire de la transition des poissons de l'eau à la terre ferme. Quand cette créature fut découverte en 1938, elle révéla immédiatement la nature frauduleuse de cette transition. Les évolutionnistes n’ont pas dénigré les révélations sur ce fossile vivant et ils n’ont pas cherché à convaincre qui que ce soit que cette découverte était une erreur. Ils ont cessé leurs conjectures concernant le Cœlacanthe et sur l'histoire de son apparition de la mer à la terre ferme. La stase dans les archives fossiles a démoli l'histoire de l'évolution des poissons en éliminant un de ses principaux fondements.
Le professeur de science politique, Robert G. Wesson, a exposé ce fait en ces termes :
Le Cœlacanthe aux nageoires osseuses, que l'on pensait éteint depuis longtemps mais redécouvert en 1938, a été approximativement statique pendant 450 millions d'années (Avers 1989, 317). … les espèces pratiquement éternelles ne sont pas exemptes des changements de protéines qui ont lieu dans tous les êtres vivants, et elles peuvent sûrement varier de nombreuses manières sans perdre leur adaptabilité, mais leurs motifs se sont gelés d'une manière ou d'une autre. … du point de vue de la théorie évolutionniste conventionnelle, la stase de longue durée est difficile à expliquer. L'évolution rapide… est incongrue avec le fait que les espèces restent inchangées alors que les conditions changent au cours de plusieurs millions d'année
Un autre exemple d'animaux qui refutent l'évolution
L'okapi
Un autre fossile vivant qui invalide une des plus grandes "preuves" de la théorie de l'évolution – et qui révèle même une fraude perpétrée au nom de l'évolution – est l'okapi, visible dans l'illustration ci-dessous.
Les fossiles appartenant à cet animal datent de l'époque du Miocène. On a toujours cru que l'okapi était éteint – jusqu'à ce que le premier spécimen vivant soit capturé en 1901. A cette époque, il était pris comme exemple par les évolutionnistes et présenté comme une forme intermédiaire dans le scénario de l'évolution des équidés, qui est lui-même totalement faux. Cependant, avec la capture d'un okapi vivant, ce scénario de l'évolution des équidés a été également abandonné.
"L'évolution du cheval" a depuis longtemps fait l’objet de l'exposé principal au sujet de l'origine imaginaire des mammifères. Différentes espèces vivantes et éteintes étaient présentées, les unes après les autres selon leur taille, au mépris des différences anatomiques grossières entre elles, comme étant des étapes différentes de l'évolution du cheval. Ces espèces, exhibées dans les musées d'histoire naturelle pendant de nombreuses années, étaient décrites dans les manuels scolaires comme si elles étaient une preuve solide de l'évolution. Aujourd'hui, cependant, un grand nombre d'évolutionnistes admettent l'invalidité du scénario de l'évolution de l'équidé et confessent que c'est un exemple de désir pris pour une réalité totalement, une supercherie.
En novembre 1980, l'évolutionniste Boyce Rensberger prit la parole lors d'une conférence au Field Museum of Natural History à Chicago sur les problèmes rencontrés par la théorie de l'évolution, à laquelle 150 évolutionnistes ont assisté. Il décrivit le fait que le scénario de l'évolution du cheval n'avait aucune base dans les archives fossiles et que le cheval n'avait jamais suivi un processus d'évolution graduel :
L'exemple très à la mode de l'évolution du cheval, suggérant une séquence graduelle de changements à partir de créatures à quatre doigts de la taille d'un renard il y a pratiquement 50 millions d'années jusqu'au cheval à un seul doigt et plus grand, est connu depuis longtemps comme étant faux. Au lieu de changements graduels, les fossiles de chaque espèce intermédiaire apparaissent entièrement distincts, persistent inchangés puis s'éteignent. Les formes transitionnelles sont inconnues.
Rensberger avait parfaitement raison ; aucune preuve n'existe montrant qu'un processus tel que l'évolution des équidés ait jamais eu lieu. La "série" d'équidés est totalement spéculative et n'est pas basée sur des faits. De plus, il existe des différences anatomiques et physiques considérables entre ces animaux. Ce que Rensberger ignore, cependant, est le fait que les espèces de la série ne sont pas toutes éteintes. L'okapi, rencontré en 1901, est la preuve vivante, pour ainsi dire, qu'une créature que les évolutionnistes avaient toujours représentée comme une forme intermédiaire – et donc disparue – était en réalité toujours en vie. Cet animal, qui n'a aucun lien avec le cheval et qui montre une très forte ressemblance avec le zèbre, vivait à l'époque du Miocène (5,3-23 millions d'années) et affichait les mêmes caractéristiques complexes qu'il possède aujourd'hui.
Le fossile vivant de l'okapi a démoli encore une fois une des principales affirmations de la théorie de l'évolution. Le scénario de la série d'équidés, rempli à tout point de vue d'incohérences, a été finalement supprimé et mis tranquillement au rancart.
Le Dr. Niles Eldredge de l'American Museum of Natural History dit la chose suivante sur l'arbre généalogique du cheval, qui traînait toujours dans les sous-sols du musée :
Il y a eu un nombre incroyable d'histoires, certaines plus imaginatives que d'autres, sur la véritable nature de cette histoire [de la vie]. L'exemple le plus célèbre, toujours affiché en bas des escaliers, est l'exposé de l'évolution du cheval préparé il y a peut-être cinquante ans de cela. Cela fut présenté comme la vérité première dans les manuels scolaires. Maintenant je pense que cela est lamentable, particulièrement quand les gens qui proposent ce genre d'histoires peuvent être conscients de la nature spéculative de certaines de ces choses....
Bon j'arrête, on va pas finire avec ce mythe
Pour SM oui le darwinisme est la base et aprés lui plusieurs essaies aussi supersticieux les uns que les autres ,du moment qu'on c'est appercu qu'il est de la purrée, ont fait tout pour sauver la partie mais en vain, car y avait rien à deffendre, et si tu veux je peux te les citer toutes et avec lleurs difficultées énormes