Page 4 sur 9
Posté : 23 mai07, 21:18
par Jonathan L
xav a écrit :
C'est bien connu, il n'y a que le soleil qui fait de la lumière
Soit, quoi qu'il en soit, la Bible se fout de la rigueur scientifique, elle n'est d'aileurs pas un livre de science, elle veut nous dire quelque chose de bien plus intéressant que ça et de bien plus porfond. Cela échappe à toute personne qui veut faire une lecture littérale où qui lit la Bible uniquement pour en détecter les incohérences. De tel sorte que ceux qui ont des yeux ne voient pas et ceux qui ont des oreilles n'entendent pas.
Donc Dieu a fait des lampes au sodium qu'il a mis au dessus de chaque plante en attendant de trouver une solution plus pratique?
C'est bien vrai que la bible se fout de la rigueur scientifique. La grosseur de l'arche de Noé par exemple.
CE ui echappe a vous les croyants c'est que si la bible se trompe ne serait-ce que sur UN seul point, elle ne peut être inspiré par Dieu. Donc si elle n'est pas inspiré pourquoi la suivre? Pourquoi en faire le centre de sa vie?
Posté : 24 mai07, 00:22
par xav
J'en fais pas le centre des connaissance scientifique, mais de ma vie spirituelle, là est la nuance que tu n'es pas en passe de comprendre.
Posté : 24 mai07, 01:07
par Jonathan L
N'empêche que tu base ta foi sur un livre qui est faux, qui est rempli d'erreur. S'il ce trompe sur les points scientifiques, alors qu'il est supposément inspiré de Dieu, qui devrait bien savoir ces chose non?, Sur quoi d'autre ce trompe t'il. Est t'il possible qu'il se trompe aussi sur les choses spirituelles?
Comment un livre qui livre inspiré de Dieu peut t'il contenir des erreurs?
Posté : 24 mai07, 01:36
par xav
[modo]Jonathan, nous ne parlons pas la même langue, ici je ne souhaite pas de débat athée-chrétien, ni de débat oecuménique. Que ce soit bien clair dans ta tête. On arrête la discussion. TU ne lis pas la Bible avec les bonnes clefs et donc tu n'es pas capable de tenir un discours uun peu sérieux sur l'écriture sainte.
J'espère que j'ai été assez calir. Ici tu es sur un fil évangélique.[/modo]
Posté : 24 mai07, 22:02
par Elimélec
La parabole du grand dîner (2)
Luc 14:17
A l'heure du souper, il envoya son serviteur dire aux conviés : Venez, car tout est déjà prêt
Le festin est prêt. Ce n'est plus seulement une promesse pour l'avenir. Le moment est arrivé où la fête va pouvoir commencer. Entendez-vous les serviteurs du maître de maison, les messagers du Dieu de grâce qui vous fait dire : "C'est maintenant le jour du salut"? Tout est prêt. Vous n'avez pas eu à vous occuper de cette préparation, elle a été l'affaire de Dieu seul; Il ne reste qu'une chose à faire, et elle dépend des invités : c'est de venir. "Venez, car déjà tout est prêt". Il fallait donc se lever, laisser ce que l'on faisait, quitter l'endroit où l'on se trouvait, et chacun devait le faire personnellement. Cela pouvait déranger certains plans, changer les dispositions prises pour ce soir-là par chacun des invités. Quand le message de Dieu nous parvient, et qu'il nous illumine de sa grâce, nous sommes comme contraints de nous rapprocher de Dieu. Tous nos repères changent, comme la valeur des choses. C'est peut-être toute la vie qui est à changer, une orientation nouvelle à prendre, une rupture avec un passé qui jusque-là a monopolisé nos pensées. Il s'agit de venir.
De quoi dépend cette décision ? De l'intérêt que nous portons à l'appel du Dieu d'amour qui nous invite. Comment ne pas bondir de joie ? Nous ne le ferons que dans la mesure où le dîner, la maison où il est donné, et par-dessus tout l'Hôte qui l'offre, ont de la valeur à nos yeux.
Posté : 26 mai07, 05:38
par Elimélec
La parabole du grand dîner (3)
Luc 14:18-21
Mais tous unanimement se mirent à s'excuser. Le premier lui dit : J'ai acheté un champ, et je suis obligé d'aller le voir ; excuse-moi, je te prie. Un autre dit : J'ai acheté cinq paires de boeufs, et je vais les essayer ; excuse-moi, je te prie. Un autre dit : Je viens de me marier, et c'est pourquoi je ne puis aller. Le serviteur, de retour, rapporta ces choses à son maître.
Ce ne sont pas, remarquons-le, des choses mauvaises qui empêchent les invités d'accepter l'invitation, mais des occupations tout à fait légitimes : le travail, la vie de famille. De plus, ils mettent des formes à leur refus. Ce sont des gens polis. Les Pharisiens à qui Jésus parlait étaient des gens fort religieux et qui montraient parfois une certaine politesse à son égard. Ils étaient les meilleurs représentants de ce peuple d'Israël qui avait été tout spécialement, et le premier, invité au royaume de Dieu. Et aujourd'hui, ne peut-on pas dire que les habitants des pays dits chrétiens, évangélisés depuis le début de notre ère, figurent parmi les invités privilégiés ? Or ce sont eux qui, pour un grand nombre malheureusement, répondent avec une indifférence polie : "Je ne peux pas.. Tiens-moi pour excusé !" Que de fois avons-nous entendu des phrases de ce genre : "C'est très intéressant, merci beaucoup, mais je n'ai pas le temps", et l'on trouve un prétexte pour ne pas venir.
Pourtant, l'appel de Dieu n'est pas une incitation à adhérer à un groupe religieux, à une secte. C'est un appel à venir à lui, à son dîner, là où il habite. Souvent, malheureusement, la vraie raison, c'est que les intérêts personnels, les multiples activités occupent le coeur et la pensée, et occultent les besoins de l'âme. Plus profondément encore : la nature humaine n'aime pas Dieu, et Satan la détourne par des choses qui, sous des apparences parfois sérieuses, ne sont que des futilités passagères.
Posté : 28 mai07, 00:24
par Elimélec
La parabole du grand dîner (4)
Luc 14:22-23
Le serviteur dit : Maître, ce que tu as ordonné a été fait, et il y a encore de la place. Et le maître dit au serviteur : Va dans les chemins et le long des haies, et ceux que tu trouveras, contrains-les d'entrer, afin que ma maison soit remplie.
Il y a encore de la place. Le serviteur avait fait ce qui lui avait été commandé, les pauvres de la ville avaient été amenés, et la maison n'était toujours pas remplie. Eh bien, va au-dehors, dit le maître, et sans distinction d'âge, de condition, "contraints les gens à entrer" ! Aux invités il avait dit : "Venez". Les pauvres de la ville avaient été amenés. Les derniers sont contraints. A mesure que le temps passe et presse, l'insistance des serviteurs doit se faire plus forte. La grâce ne peut être satisfaite que si la maison de Dieu est remplie de ceux que Dieu va faire asseoir à la table de son festin. Mais, conclusion solennelle de la parabole : Luc 14:24 Car, je vous le dis, aucun de ces hommes qui avaient été invités ne goûtera de mon souper. Leur refus aura eu le double effet d'offenser Celui qui les invitait, et de les priver eux-mêmes de la suprême bénédiction.
Le peuple juif, évangélisé en priorité, a dans son ensemble rejeté la grâce offerte. L'évangile a été alors annoncé à tous les peuples qui, jusque-là, étaient étrangers aux promesses divines : c'est ce que nous relate le livre des Actes des apôtres, qui suit les évangiles. Et si maintenant les gens des nations dites chrétiennes ne reçoivent plus l'évangile, Dieu envoie ses serviteurs au loin, parmi des multitudes plongées dans l'idôlatrie et la superstition. Ce sont des gens de toutes races, toutes langues, toutes cultures, qui loueront la grâce de Celui qui les a sauvés.
Posté : 28 mai07, 22:08
par Elimélec
La partage de l'humanité
Deutéronome 30:19
J'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives.
Le monde apparaît comme une mosaïque variée de nations, de peuples et de cultures, très différents les uns des autres. Mais en réalité, dans la perspective de l'éternité, il n'y a que deux ensembles de personnes :
- Celles qui se confient en Dieu parce qu'elles se savent coupables devant Lui, qui acceptent Christ comme leur Sauveur, qui naissent de nouveau, et puis les autres. Pour les premières, la Parole de Dieu, la Bible, apporte un heureux message : la mort de Jésus Christ efface les péchés de tous ceux qui se confient en lui. Ils deviennent alors "blancs comme la neige".
- Pour l'autre groupe, l'ensemble de ceux qui refusent Dieu et son pardon, qui pensent ne pas avoir besoin de Jésus et pouvoir faire face par eux-mêmes à leur culpabilité par une religion ou une philosophie, la Bible leur déclare : Jean 3:36 Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.
Ces deux groupes cheminent côte à côte sur la terre, et il est quelque fois difficile de les distinguer parce que les croyants ne montrent pas toujours la foi qui les anime. Une chose demeure pourtant définitive : les hommes qui meurent dans la foi s'en vont près de Jésus, et une éternité bienheureuse leur est assurée. Ceux qui meurent dans l'incrédulité, ayant vécu loin de Dieu et du pardon qu'il offre, resteront loin de Lui, pour l'éternité. Le message de Dieu est précis, d'une grâce infinie, mais Il nous interpelle. Romains 10:9 Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Où passerai-je l'éternité ? Ce seul mot est effrayant... sauf si j'ai réglé avec Dieu la question de mes péchés. Voilà pourquoi nous supplions ceux qui ne l'ont pas encore fait : 2 Corinthiens 5:20 Soyez réconciliés avec Dieu !
Posté : 30 mai07, 21:12
par Elimélec
Jésus vainqueur de Satan
Actes 10:38
Vous savez comment Dieu a oint du Saint Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable, car Dieu était avec lui.
Dès le début de son ministère, Jésus rencontre Satan dans les circonstances les plus dures, mais il se montre inébranlable (Matthieu 4: 1-11). Alors qu'Eve a cédé au tentateur parce qu'elle n'a pas cru la Parole de Dieu, c'est en citant celle-ci trois fois que Jésus résiste à Satan. Aucune attaque du diable ne prévaut contre lui. Depuis sa naissance jusqu'à la fin de sa vie d'homme sur la terre, Christ a toujours été exempt de tout mal. Il échappe à la faillite générale de l'humanité et ne fait pas partie des captifs de celui qui appelle Satan "l'homme fort" : Marc 3:27 Personne ne peut entrer dans la maison d'un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort ; alors il pillera sa maison. Par son obéissance à son Père, Jésus laisse Satan sans aucun droit sur lui. L'ennemei est "lié". Il ne peut plus s'opposer à son vainqueur et piller ses biens. Matthieu 12:29 Ou, comment quelqu'un peut-il entrer dans la maison d'un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort ? Alors seulement il pillera sa maison. Jésus est venu parmi les hommes que Satan tenait captifs, pour guérir "toux ceux que le diable avait asservis à sa puissance". Il ressuscitait même les morts.
Plus tard sur la croix du Calvaire, le Seigneur remportera la victoire décisive et définitive sur le mal. Il brisera la tête du serpent. Genèse 3:15 Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête Bientôt, il le chassera du ciel. Apocalypse 12: 9-10 Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. Il l'enfermera dans l'abîme pendant son règne de paix sur la terre. Pour terminer, à la fin des temps, il le jettera dans l'étang de feu. Apocalypse 20:10 Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. Telles sont les étapes de la victoire de notre grand Libérateur. Béni soit le nom de notre Seigneur Jésus Christ.
Posté : 31 mai07, 19:05
par Elimélec
C'est pas ma faute !
Esaïe 43:25-27
C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés. Réveille ma mémoire, plaidons ensemble, Parle toi-même, pour te justifier. Ton premier père a péché, Et tes interprètes se sont rebellés contre moi.
"C'est pas moi, c'est lui !", ce cri réflexe peut nous poursuivre toute la vie... N'est-ce pas un cri aussi vieux que la première faute du monde ? Genèse 3:12 La femme que tu as mise auprès de moi m'a donné de l'arbre, et j'en ai mangé, affirme Adam. Genèse 3:13 Et l'Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m'a séduite, et j'en ai mangé, se défend Eve. Devant l'évidence, il faut bien un coupable, mais je refuse avec énergie que ce coupable ce soit moi. Qu'un autre paie à ma place ! Un autre a payé sur le Golgotha, une fois pour toutes. Cet autre c'est Jésus. Il m'a aimé jusqu'à mourir pour moi. Il a pris sur lui la condamnation que méritaient mes fautes, aussi, maintenant, je peux être lucide sur moi-même. Parce que je suis pardonné, je peux regarder les choses en face : que me reprochait cette voix intérieure si difficile à réduire au silence ? Suis-je responsable ou non ? Jusqu'où ? Cela reste une grave interrogation, et la réponse n'est pas toujours facile. Mais c'est un chemin de renaissance, un chemin de pardon.
Il y a bien des manières de réagir devant sa culpabilité. Les uns la nient ou l'occultent. Ils cherchent à se justifier à tout prix. Mais si je crois en l'amour de Dieu qui pardonne, je peux me laisser interroger par les sentiments de culpabilité qui m'habitent, les apporter au Seigneur par la prière. Si je reste dans sa présence, il me donnera le courage d'identifier clairement ce en quoi j'ai péché, d'arrêter de me justifier, et de me trouver dans une véritable situation de confession devant lui. Alors son pardon viendra à moi. 1 Jean 1:9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.
Posté : 02 juin07, 19:44
par Elimélec
Venez à moi
Matthieu 11:28
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos
Venez : La tendance naturelle de chacun est de s'éloigner de Dieu. Aussi, parce que nous sommes loin de Dieu, nous avons besoin de venir.
A moi : Dieu nous interpelle. Il s'adresse directement à chacun de nous. Il aime chacun individuellement et désire le sauver.
Vous tous : Jésus Christ ne refuse personne. Il propose son salut sans distinction de race, d'âge ou de condition.
Qui êtes fatigués : Peut-être êtes-vous fatigués de la méchanceté du monde qui vous entoure ? Peut-être aussi êtes-vous lassé de vous-même et du mal que vous découvrez dans votre coeur ?
Et chargés : Chacun a ses soucis. S'il est bien rare de trouver quelqu'un qui les comprenne, il est encore plus rare de trouver quelqu'un qui nous aide à les porter.
Et je vous donnerai : Peut-être avez-vous surtout l'image d'un Dieu exigeant ? Mais Jésus Christ donne sans rien demander. Le salut qu'il offre lui a coûté si cher que personne ne pourrait le payer. Il lui a coûté la vie lorsqu'il est mort sur la croix.
Du repos : Dans notre vie souvent agitée, nous avons besoin de repos. Repos de la conscience lorsque nous avons la certitude que nos péchés sont pardonnés, mais aussi repos du coeur lorsque nous goûtons l'amour de Jésus.
Posté : 03 juin07, 21:15
par Elimélec
D'où vient le mal ?
Romains 5:12
Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort.
La Bible nous apprend ce qu'est le mal. Elle le caractérise, le constate, le dénonce dans toute sa laideur, et cela afin de nous amener à l'avoir en horreur. C'est pourquoi l'histoire qu'elle retrace de l'humanité est si sombre et si triste. Dieu a voulu pour notre bien que nous puissions prendre connaissance de toute la misère dans laquelle nous sommes tombés ; et les récits des horreurs que les hommes ont commises devraient nous ouvrir les yeux. Les récits bibliques, bien qu'écrits avec sobriété et retenue, nous montrent, autant que l'histoire plus récente, la méchanceté du coeur humain. La Bible nous montre d'abord le mal à son origine, dans un être mystérieux, Satan. Puis elle nous dit que le Mal est un principe introduit dans l'homme par la désobéissance initiale à Dieu, principe qui se transmet de père en fils, parce que, depuis Adam, il fait partie de notre condition humaine.
La Bible appelle ce principe de mal "le péché", et les actes qu'il produit sont "les péchés", mais ne confond jamais le principe et les actes. Jésus explique clairement : Matthieu 15:19 Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies. Mais heureusement la Bible ne s'arrête pas sur ce constat. Elle nous présente Jésus Christ, celui qui a réglé la question du péché par son sacrifice expiatoire, et qui donne à quiconque croit en Lui un coeur nouveau et pur.
Posté : 05 juin07, 21:43
par Elimélec
Un seul refuge sûr
Psaume 143:9
C 'est vers toi que je me réfugie
Il est des criminels qui, leur forfait accompli, échappent à la justice des hommes et demeurent introuvables. Mais personne ne pourra se soustraire à la justice de Dieu. Jérémie 23:24 Quelqu'un se tiendra-t-il dans un lieu caché, Sans que je le voie ? dit l'Éternel. David disait aussi : Psaume 139:7-12 Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, t'y voilà. Si je prends les ailes de l'aurore, Et que j'aille habiter à l'extrémité de la mer, là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira. Si je dis : Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi ; Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, et les ténèbres comme la lumière. Sous la loi de Moïse, tout meurtrier devait être mis à mort. Toutefois, à celui qui, par mégarde, avait frappé à mort une personne, Dieu offrait une ville de refuge. Là, le coupable se trouvait en sécurité, mais il ne devait pas en sortir jusqu'à la mort du grand sacrificateur (Nombres 35).
Même si nous n'avons pas commis de crime, nous sommes tous des pécheurs parce que, une fois ou l'autre, nous avons fait ce que nous savons être mal ; par exemple nous avons menti. C'est pourquoi nous méritons la juste condamnation de Dieu, l'éloignement de lui pour toujours. Mais Dieu nous offre un refuge sûr, la croix de Christ. Par son sacrifice, Christ a payé notre dette en subissant à notre place le jugement de Dieu. Désormais, quiconque se reconnaît pécheur coupable devant Lui, et croit au sacrifice expiatoire de Jésus, a la vie éternelle. Le refuge est sûr, et il n'en existe point d'autre.
Posté : 06 juin07, 20:16
par Elimélec
La foi d'Abraham
Romains 8:32
Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous
On lit dans la Bible que Dieu éprouva la foi d'Abraham
Genèse 22:1-2
Après ces choses, Dieu mit Abraham à l'épreuve, et lui dit : Abraham ! Et il répondit : Me voici ! Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste.
Ces lignes justifieraient-elles le sacrifice humain ? Non, toute la Bible le condamne fermement. Et, dans le cas d'Abraham, Dieu lui déclare clairement : Genèse 22:12 L'ange dit : N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien. Alors quel est le sens de cette scène ? C'est un test pour la foi d'Abraham, et aussi une image saisissante de la croix du Calvaire. Qui est le fils unique, celui que le Père aime, sinon le Seigneur Jésus ? C'est lui qui a été le sacrifice, il est l'Agneau de Dieu : Jean 1:29 Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. L'obéissance d'Isaac évoque celle de Jésus : Marc 14:36 Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. Mais en contraste avec Isaac qui s'est simplement soumis, Jésus s'est présenté à Dieu de lui-même : Hébreux 10:9 Voici, je viens Pour faire ta volonté. En contraste avec le cri de l'ange qui arrêta la main d'Abraham, aucune voix ne se fit entendre pour détourner le jugement de Dieu qui devait frapper son Fils. De façon symbolique, Isaac est ressuscité, Christ l'est en réalité, et nous en sommes les bénéficiaires.
Posté : 12 juin07, 20:23
par Elimélec
Religion à la carte ?
1 Timothée 2:5-6
Dieu est un, et le médiateur entre Dieu et les hommes est un, l'homme Christ Jésus, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous.
On entend souvent dire aujourd'hui que toutes les religions se valent. Qu'en pensez-vous ? D'autres disent : Non, mais toutes mènent vers Dieu, et le meilleur chemin, c'est Christ. Cette attitude, qui se veut tolérante, est en réalité la négation de toute vérité. Elle revient à traiter de menteur le Seigneur Jésus Christ qui dit : Jean 14:6 Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi. La réalité, c'est que Dieu s'est révélé, et il n'y en a pas d'autre. Il n'est pas resté silencieux, ni lointain. Il nous a parlé de plusieurs manières qui ne s'opposent pas les unes aux autres, car "Dieu ne peut mentir". Après avoir parlé par les anciens prophètes en Israël, Dieu s'est révélé pleinement en Jésus Christ. Les évangiles nous apprennent à connaître Jésus, sa compassion, son amour, sa pureté...
Jésus n'est pas seulement un personnage historique mis à mort sous Ponce Pilate, et dont nous pourrions suivre l'enseignement. Il est vivant. Il est le Sauveur, de tous ceux qui se confient en lui. Oui, par la foi, nous pouvons connaître Jésus. Il répond aux prières, il nous fait goûter sa présence au plus profond de nous-mêmes.
Et en apprenant à connaître Jésus, nous apprenons aussi à connaître Dieu. Il n'est pas un Dieu hostile ou indifférent, il est un Père qui aime et prend soin de chacun de ceux qui viennent à Lui par la foi en Jésus.