Posté : 20 janv.08, 02:15
Les personnes qui entendent des voix, c’est pas nouveau . . .( Moïse, Jeanne d’Arc etc . . .) .
Il y en a aussi plein actuellement à l’hospital psychiatrique tout autant que dans la vie sociale normale mais la plupart n’ose rien dire de peur d’être pris pour des malades mentaux.
Le psychanalyste Jung s’est intéressé à cela avec l’idée « d’inconscient collectif » et son parallèle avec les phénomènes extra-sensoriels mais l’inconscient collectif est plus ou moins réfuté actuellement.
En parlant d’inconscient , il est à remarquer que pour un athée ou matérialiste l’inconscient et Dieu, c’est la même chose ( la psychanalyse freudienne est en ce sens athée).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Inconscient_collectif
Dans le bouddhisme, on peut expliquer cela avec le « karma » , c’est à dire les empreintes et réminiscences qui apparaissent dans notre psychisme et notre conscience venant de vies antérieures . . .
Cela expliquerait pourquoi une personne puisse parler une langue étrangère sans jamais ne l’avoir apprise ou même une « langue morte » que les ethnologues retrouvent suite à des fouilles que constituent l’histoire de nos ancêtres jusqu’au fond des âges . . .
Certaines « phobies » comme la peur panique de l’eau ou du feu par exemple pourraient s’expliquer en considérant que la personne est morte noyée ou brûlé dans sa vie précédente.
Au sujet de textes sacrés comme le Coran , comme le bouddhisme ne reconnaît pas de « Dieu créateur » , cela peut s’expliquer si la personne était une pratiquante fervente dans cette religion dans une vie antérieure et avait une connaissance approfondie du Coran. Le bouddhisme reconnaît aussi d’autres plans d’existence et ces voix peuvent venir aussi de ces plans subtils correspondant aux « mondes divins » . . .Le Sûtra du Lotus dans le bouddhisme mahayana parle de ces mondes divins. . .
L’objectif essentiel dans le bouddhisme n’étant pas de croire à ceci ou cela mais de réaliser et surtout réaliser l’éveil cela passe par une purification de notre esprit et donc d’être clair dans sa tête , de ne plus être affecté négativement par ceci ou cela que ceci ou cela existe ou pas . .
Il y en a aussi plein actuellement à l’hospital psychiatrique tout autant que dans la vie sociale normale mais la plupart n’ose rien dire de peur d’être pris pour des malades mentaux.
Le psychanalyste Jung s’est intéressé à cela avec l’idée « d’inconscient collectif » et son parallèle avec les phénomènes extra-sensoriels mais l’inconscient collectif est plus ou moins réfuté actuellement.
En parlant d’inconscient , il est à remarquer que pour un athée ou matérialiste l’inconscient et Dieu, c’est la même chose ( la psychanalyse freudienne est en ce sens athée).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Inconscient_collectif
Dans le bouddhisme, on peut expliquer cela avec le « karma » , c’est à dire les empreintes et réminiscences qui apparaissent dans notre psychisme et notre conscience venant de vies antérieures . . .
Cela expliquerait pourquoi une personne puisse parler une langue étrangère sans jamais ne l’avoir apprise ou même une « langue morte » que les ethnologues retrouvent suite à des fouilles que constituent l’histoire de nos ancêtres jusqu’au fond des âges . . .
Certaines « phobies » comme la peur panique de l’eau ou du feu par exemple pourraient s’expliquer en considérant que la personne est morte noyée ou brûlé dans sa vie précédente.
Au sujet de textes sacrés comme le Coran , comme le bouddhisme ne reconnaît pas de « Dieu créateur » , cela peut s’expliquer si la personne était une pratiquante fervente dans cette religion dans une vie antérieure et avait une connaissance approfondie du Coran. Le bouddhisme reconnaît aussi d’autres plans d’existence et ces voix peuvent venir aussi de ces plans subtils correspondant aux « mondes divins » . . .Le Sûtra du Lotus dans le bouddhisme mahayana parle de ces mondes divins. . .
L’objectif essentiel dans le bouddhisme n’étant pas de croire à ceci ou cela mais de réaliser et surtout réaliser l’éveil cela passe par une purification de notre esprit et donc d’être clair dans sa tête , de ne plus être affecté négativement par ceci ou cela que ceci ou cela existe ou pas . .