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Posté : 06 févr.08, 09:39
par Nicolianor
La prêcheuse a écrit :Jérusalem n'a jamais été chrétienne que je sache
Oui, à l'époque byzantine

Jérusalem était un patriarcat au même titre que Rome, Constantinople, Antioche, et Alexandrie.

Les perses sassanides s'emparèrent de la ville en 614, qui fut reprise en 629 pour finalement retomber aux mains des Arabes en 638.

Le patriarche Sophronius remit les clés de la ville à Omar, le chef des armées arabes et reçut en échange l'assurance que les droits des chrétiens seraient respectés ce qu'ils n'ont pas respectés. Et les chrétiens ne pouvaient plus s'y rendre en pèlerinage.

Ensuite vint la première croisade.

Posté : 06 févr.08, 10:03
par bernard1933
Cest n'importe quoi! Des raisonnements idiots, inutile de polémiquer sur des âneries. Alors, faisons la guerre! Qu'elle soit belle et joyeuse!

Posté : 06 févr.08, 10:07
par Nicolianor
bernard1933 a écrit :Cest n'importe quoi! Des raisonnements idiots, inutile de polémiquer sur des âneries. Alors, faisons la guerre! Qu'elle soit belle et joyeuse!
Précisez votre pensée pacifiquement.

Posté : 06 févr.08, 10:14
par florence_yvonne
Nicolianor a écrit : Oui, à l'époque byzantine

Jérusalem était un patriarcat au même titre que Rome, Constantinople, Antioche, et Alexandrie.

Les perses sassanides s'emparèrent de la ville en 614, qui fut reprise en 629 pour finalement retomber aux mains des Arabes en 638.

Le patriarche Sophronius remit les clés de la ville à Omar, le chef des armées arabes et reçut en échange l'assurance que les droits des chrétiens seraient respectés ce qu'ils n'ont pas respectés. Et les chrétiens ne pouvaient plus s'y rendre en pèlerinage.

Ensuite vint la première croisade.
L'église de bizance n'était pas catholique

Posté : 06 févr.08, 11:08
par Nicolianor
L'Inquisition proprement dite ne fut établie légalement qu'en vertu de la bulle llle humani generis, de Grégoire IX, adressée au provincial de Toulouse, le 24 avril de l'année 1233. Ensuite, les Dominicains agissaient d'abord comme délégués du pape et de ses légats. L'Inquisition n'étant pour eux qu'une appendice de la prédication, ils tirèrent de leur fonction principale le nom de Frères-Prêcheurs, qui leur est resté. Ensuite, il est parfaitement prouvé que les premiers inquisiteurs à l'exemple de saint Dominique n'opposèrent jamais à l'hérésie d'autres armes que la prière, la patience et l'instruction.

Vers la fin du quinzième siècle, le Judaïsme avait jeté de si profondes racines en Espagne que leur influence, leurs alliances avec les familles les plus illustres de la monarchie, les rendaient infiniment redoutables: c'était véritablement une nation renfermée dans une autre. Ensuite, il y avait les arabes, qui pourtant avaient été repoussé hors de l'espagne après leur invasion, avait laissé une présence de l'islam qui était encore bien vivante. Il s'agissait de savoir s'il y aurait encore une nation espagnole tel que nous la connaissons aujourd'hui. Imaginé, si le Judaïsme et l'Islamisme avait réussi à ce partager les plus riches provinces de l'espagne, car les Juifs étaient à peu près maîtres de l'Espagne; la haine réciproque était portée à l'excès; les Cortès demandèrent contre eux des mesures sévères. En 1391, ils se soulevèrent, et l'on en fit un grand carnage. Le danger était croissant sans cesse tous les jours, Ferdinand-le-catholique n'imagina, pour sauver l'Espagne d'une révolte sanglante presque généralisé, rien de mieux que l'Inquisition et Sixte IV expédia les bulles d'institution, en l'année 1478. Le contexte sociale de l'époque était complexe et sur le bord d'un gouffre.

Et en Espagne l'inquisition était royale et non un tribunal purement ecclésiastique et la plupart des peine les plus sévère qui était décrété par les inquisiteurs étaient la confiscation des biens, et même elle était remise à tout coupable qui abjurait ses erreurs dans le terme appelé de grâce. Il n'y avait pas plus de condamnation à mort qu'aujourd'hui dans nos soi-disante sociétés modernes et peut-être même moins. Je trouve que le présent se fait peu trop prétentieux devant le passé.

Posté : 06 févr.08, 11:11
par florence_yvonne
Et l'inquisition romaine ?

Posté : 10 févr.08, 06:45
par Nicolianor
La prêcheuse a écrit :Et l'inquisition romaine ?
C'est similaire, peut-être même moins pire. Le pouvoir civil est généralement moins indulgent.

Posté : 10 févr.08, 06:56
par florence_yvonne
Si tu avait été préfet de l'inquisition au XIII ème siècle, pendant le massacre des albigeois, tu aurais fait quoi ?

Posté : 10 févr.08, 07:17
par medico
en ESPAGNE qui présidait les débats de la question extraordinaire ?

Posté : 10 févr.08, 07:23
par Nicolianor
La prêcheuse a écrit :Si tu avait été préfet de l'inquisition au XIII ème siècle, pendant le massacre des albigeois, tu aurais fait quoi ?
La croisade contre les Albigeois a été déclaré après que Pierre de Castelnau fut assassiné. C'était une guerre et il y eu des morts des deux cotés, ainsi que de nombreux inquisiteurs.

Posté : 10 févr.08, 07:33
par Nicolianor
medico a écrit :en ESPAGNE qui présidait les débats de la question extraordinaire ?
L'inquisition espagnole était sous le contrôle de l'État et encore plus lorsqu'il s'agissait de peine de mort.

Posté : 10 févr.08, 07:40
par florence_yvonne
Nicolianor a écrit : La croisade contre les Albigeois a été déclaré après que Pierre de Castelnau fut assassiné. C'était une guerre et il y eu des morts des deux cotés, ainsi que de nombreux inquisiteurs.
Réponds à ma question SVP

Merci

Posté : 10 févr.08, 08:34
par Nicolianor
La prêcheuse a écrit :Si tu avait été préfet de l'inquisition au XIII ème siècle, pendant le massacre des albigeois, tu aurais fait quoi ?

Réponds à ma question SVP

Merci
Je ne le sais pas, je n'étais pas là. C'est facile de juger le passé, lorsqu'on est sagement assis devant notre petit écran.

Ce n'était pas une situation facile à gérer, surtout lorsque le peuple s'implique dans le conflit, sans aucun discernement. Lorsque votre prochain est en train de frapper votre voisin à mort, vous faites quoi pour l'empêcher, des beau discours? Plusieurs historiens de cette époque se contredisent, mais notre époque n'a retenu ce qui était défavorable aux croisés, alors qu'il y a de nombreux historiens de cette époque qui ont pris leur défense. Les deux derniers siècle ont scrupuleusement rechercher que ce qui condamnait les croisades et l'inquisition sans aucun discernement. Et nous avons tout rejeté de ce qui leur était favorable dans l'unique but de discrédité l'Église Catholique.

Posté : 10 févr.08, 10:36
par florence_yvonne
Nicolianor a écrit : Je ne le sais pas, je n'étais pas là. C'est facile de juger le passé, lorsqu'on est sagement assis devant notre petit écran.

Ce n'était pas une situation facile à gérer, surtout lorsque le peuple s'implique dans le conflit, sans aucun discernement. Lorsque votre prochain est en train de frapper votre voisin à mort, vous faites quoi pour l'empêcher, des beau discours? Plusieurs historiens de cette époque se contredisent, mais notre époque n'a retenu ce qui était défavorable aux croisés, alors qu'il y a de nombreux historiens de cette époque qui ont pris leur défense. Les deux derniers siècle ont scrupuleusement rechercher que ce qui condamnait les croisades et l'inquisition sans aucun discernement. Et nous avons tout rejeté de ce qui leur était favorable dans l'unique but de discrédité l'Église Catholique.
Tu as l'art de parler pour ne rien dire, car tu n'as toujours pas répondu à ma question. je suis sure que tu as au moins une petite idée

Posté : 10 févr.08, 10:53
par medico
Nicolianor a écrit : L'inquisition espagnole était sous le contrôle de l'État et encore plus lorsqu'il s'agissait de peine de mort.
tu me dis pas qui présidait les débat . c'est une fuite en avant
ps :TORQUEMADA était il laic?