amad3us a écrit :Si on ce débarasse du cancer, cela ne diminuera pas la pauvreté, moral : ça ne sert à rien de ce débarasser du cancer .
Tu commences ton message par non-sens totale et dans ton second paragraphe tu me traite de con ?
Sauf que la religion apporte soutient et réconfort à des milliards de personnes. C'est pas en leur enlevant ça que tu vas les rendre
Bright et cultivées. J'entends bien ton idée fixe de débarrasser les gens de ce que tu considères comme une manipulation mentale, mais je tentais juste de nuancer les choses en disant qu'il y a des trucs plus urgentes et dangereuses auxquelles on pourrait s'attaquer.
Ce n'est donc pas un non-sens.
C'est tes propos et ta démarche que je traitais de cons, pas toi directement. Mais si tu veux je nous mets d'accord : t'es con. Là. (Désolé, c'est pas méchant...)
Lorqu'un catholique apporte de l'aide à un individu ou un pays en difficulté, quel est l'interet de la religion la dedans ? C'est Dieu qui a donner la nourriture offerte ? C'est Dieu qui a donner les moyens financier ? (ça ne risque pas vu qu'il n'existe pas) .
Cette personne aurait très bien put aider sans être croyant .
Mais c'est pas ce que j'ai dis ! Je parle simplement des remarquables réseaux de lutte contre la pauvretés mis au point par les églises chrétiennes (évangéliques et catholiques). Faut pas chercher midi à quatorze heures. Tous les êtres humains ont, en moyenne, les mêmes prédispositions à la générosité, quelque soit leur croyance ou leur couleur de cheveux.
Au club de bridge de Plouer il y a aussi une caisse de solidarité, le club crée aussi des liens sociaux entre les adhérents, mais cela n'a aucun rapport avec le bridge.
Jusqu'au jour ou un mec se pointe et dit "Il faut agir contre les clubs de Bridge, il faut leur apprendre la vérité : le Poker !" et se met en tête de dissoudre tout les clubs de Bridge.
Là c'est pareil, tu veux imposer au monde ta Vérité simplement parce que tu voues une haine sans nom à la religion. Je ne vois franchement pas ce qui peut te rendre aussi extrémiste. Il y a bien quelque chose, non ?