Un choix intimeagecanonix a écrit :C'est un choix personnel.
la politique de la langue de bois est légion chez les tj du forum
Un choix intimeagecanonix a écrit :C'est un choix personnel.
Si il ny a pas objection poursuivons cette foi-ci sur les bien fait de la transfusionwina.d a écrit :Pour répondre a l'argumentation "la transfu est plus dangereuse" il conviens d'évaluer le rapport risque/bénéfice
"Comme tout traitement, la transfusion comporte des risques"[...]
Commençons par les risques, selon divers organismes de la santé :
france
1) Des risques résiduels de contamination.
1 infection par le virus de l'hépatite B pour 480 000 transfusions
1 infection par le virus de l'hépatite C pour 10 millions de transfusions
1 infection par le virus du Sida pour 3,5 millions de transfusions
2) Des risques liés aux très nombreux groupes sanguins
pour assurer votre sécurité : deux déterminations des groupes sanguins (A, B, O, AB et Rhésus) et une recherche d'anticorps irréguliers contre de nombreux groupes.
Une dernière vérification sera effectuée à votre chevet en cas de transfusion de concentrés de globules rouges. Malgré toutes ces précautions, des anticorps irréguliers apparaissent chez certains malades (dans 1 à 5 % des cas généralement)
source (gouvernement français)
http://www.sante.gouv.fr/htm/pointsur/p ... ansfus.htm
CANADA
En mars 2004, Héma-Québec estimait le risque de contacter le VIH par transfusion à 1 cas sur 4 952 510. Quant aux hépatites B et C, les risques évalués sont respectivement de 1 cas sur 278 413 et de 1 cas sur 1 226 478.
En comparaison, il est plus risqué de mourir pendant un accouchement (environ 1 possibilité sur 30 000) ou de mourir frappé par la foudre (environ 1 possibilité sur 350 000) que d’être contaminé lors d’une transfusion sanguine.
source: http://msssa4.msss.gouv.qc.ca/santpub/s ... enDocument
Plutard je posterai les stat sur les bénéfices dès que j'aurai trouvé des donnés fiable.
PS: si les tj ont des chiffres nous sommes preneur.
L'OMSLes transfusions sanguines sauvent des vies et améliorent la santé, mais des millions de patient qui en ont besoin n’ont pas accès en temps voulu à du sang sécurisé. Beaucoup de personnes en meurent, même dans certains établissements de santé urbains.
Le Point.frGlobalement, la demande de produits sanguins a augmenté de 12,5 % entre 2002 et 2007 et il faudrait, selon les spécialistes, accroître les prélèvements d'au moins mille poches par jour pour répondre à la tendance. Le nombre moyen de poches cédées par semaine est passé de 35.920 en 2001 à 41.126 en 2007. Dans l'hypothèse d'une stabilité des indications des concentrés de globules rouges, le nombre de transfusés en France passerait de 358.000 en 2005 à près de 520.000 en 2030. Car, avec le vieillissement de la population, il y aura toujours plus de personnes ayant besoin d'une thérapeutique transfusionnelle.
**Source : Commission d'enquête sur le système sanguin au Canada, Rapport intérimaireLes facteurs qui entrent en ligne de compte lorsqu'on évalue le risque
On a tenu compte des facteurs suivants pour évaluer les risques transfusionnels.
Le risque combiné qu'une unité de sang soit contaminée par un virus, une bactérie ou un parasite ou qu'elle puisse provoquer une complication non infectieuse allant jusqu'à la maladie chronique grave, voire jusqu'au décès, est de 1 sur 1 250.
Une personne reçoit en moyenne cinq unités de sang lors d'une transfusion.
Le risque qu'une exposition à un agent entraîne effectivement une infection dépend de l'agent en question et le risque varie de 1 sur 10 à 9 sur 10.
Le risque que l'infection entraîne effectivement une maladie chronique grave ou le décès dépend encore une fois de l'agent en question et varie de 1 sur 500 à 9 sur 10.
Trente pour cent des gens qui reçoivent des transfusions meurent dans les deux années qui suivent le déclenchement de la maladie pour laquelle la transfusion était nécessaire. Ces gens meurent donc bien avant de pouvoir développer certaines maladies d'origine transfusionnelle.
Les risques associés au fait de ne pas recevoir de transfusion lorsque nécessaire
Une personne sur deux qui reçoit une transfusion risque de mourir si elle ne reçoit pas le sang requis.
Risques globaux de la transfusion
Sur la base des renseignements fournis à la section 3, chez une personne qui reçoit une transfusion, le risque de maladie chronique grave ou de décès est de 1 sur 2 500.
Treize pour cent des patients opérés risquent de devoir recevoir une transfusion. Par conséquent, pour le patient opéré, le risque de recevoir une transfusion et le risque de maladie chronique grave et de décès à la suite de cette transfusion est de 1 sur 20 000 par année.
Dans la population en général, pour les gens qui ne prévoient pas devoir être opérés, le risque de recevoir une transfusion et le risque de contracter une maladie chronique grave ou de mourir des suites de cette transfusion est de 1 sur 200 000 par année.
Comparaison des risques transfusionnels et autres risques de complications
médicales
Une personne hospitalisée est exposée à un risque de 1 sur 800 de souffrir de maladie chronique grave ou d'un décès par suite d'empoisonnement accidentel lors de traitements médicamenteux ou autres. Ce risque est trois fois plus élevé que le risque transfusionnel
Une personne hospitalisée est exposée à un risque de l'ordre de 1 sur 700 de souffrir d'une maladie chronique ou de mourir par suite d'une réaction indésirable aux médicaments ou autres traitements. Ce risque est quatre fois plus élevé que le risque transfusionnel.
Comparaison des risques transfusionnels et des risques de mourir
d'autres causes de mortalité courantes
Comparaison des risques transfusionnels et des risques de mourir d'autres causes de mortalité courantes
Maladie grave ou décès d'origine transfusionnelle 1 sur 200 000/an
Décès par électrocution 1 sur 200,000 /an
Décès par noyade 1 sur 35,000 /an
Décès des suites d'un accident de la route 1 sur 7,000 /an
Décès des suites d'une pneumonie ou de l'influenza 1 sur 3,000 /an
Décès des suites d'un cancer 1 sur 500 /an
Décès des suites d'un ACV ou d'une maladie cardiaque 1 sur 300 /an
Cela signifie qu'en comparaison avec le risque de contracter une maladie grave ou de décéder des suites d'une transfusion, une personne court annuellement
autant de risque de mourir d'une électrocution
six fois plus de risque de mourir de noyade
29 fois plus de risque de mourir dans un accident de la route
67 fois plus de risque de mourir des suites d'une pneumonie ou d'un influenza
400 fois plus de risque de mourir d'un cancer et
667 fois plus de mourir des suites d'une maladie cardiaque.
Les conclusions sur le risque global présenté dans le United States General
Accounting Office Report*
Le rapport conclut que :
le risque associé aux transfusions est faible en comparaison avec les risques associés à d'autres interventions médicales jugées nécessaires, et extrêmement faible en comparaison avec les risques associés au refus d'une transfusion lorsqu'elle s'impose;
les transfusions sanguines sont moins dangereuses que jamais;
de nouvelles mesures peuvent être appliquées pour rendre les transfusions sanguines encore plus sécuritaires.
Les conclusions de la Commission d'enquête sur le système sanguin au
Canada** quant à l'innocuité des dérivés sanguins et les risques qui y sont associés
Conclusions du Rapport intérimaire de la Commission :
en 1995, au moment de la publication du rapport intérimaire, il était impossible de mesurer précisément les risques associés aux transfusions sanguines puisqu'on ne disposait pas de données fiables.
en comparaison avec les effets indésirables d'autres interventions médicales ou avec les risques posés par le refus d'une transfusion lorsqu'elle est nécessaire, les risques associés aux transfusions jugées essentielles ont été jugés faibles
les risques transfusionnels n'étaient pas plus élevés au Canada que dans les autres pays industrialisés et
de nouvelles mesures peuvent être appliquées pour rendre les transfusions sanguines encore plus sécuritaires.
*Source : The United States General Accounting Office Report, Blood Supply: Transfusion-Associated Risks.
Bonjour,medico a écrit :que signifie le mot s'abtenir qui se trouve dans le livre des actes?
(Actes 15:19-20) [...] , 20 mais de leur écrire de s’abstenir des choses qui ont été souillées par les idoles, et de la fornication, et de ce qui est étouffé, et du sang.
cela à déjà été expliqué des dizaines de fois . a partir que la viande est saigné il y a pas de probléme. par contre j'attend une explication sur le mot s"abstenir.Rose a écrit : Bonjour,
Pourquoi, dans ce cas, ne pas vous abstenir de manger de la viande rouge puisque vous savez qu'il reste du sang à l'intérieur, même après avoir été saigner ???
une expression bibique entre autre.wina.d a écrit :S'abstenir est aussi une expression
S'abstenir de la drogue de veut pas dire de pas en prendre dans le cadre de soin a l'hôpital. ta compris??
"S'abstenir" de la drogue (ne pas consommer)
de l'alcool (ne pas boire/abuser)
du tabac (ne pas fumer)
du sang (ne pas boire)
ta compris?
si on te prescrit un medoc contenant de la nicotine tu dis "dsl je ne fume pas"?
et où est il écrit s'abstenir de transfusion de sang ?une expression bibique entre autre.
abstenir =
priver · éviter · empêcher · refuser .
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