Qui en est juge? Toi? Te prends-tu pour le juge et garant de ce qui est sensé et véridique? Tu te prends pour Dieu alors? Oh le gros blasphème! Pas beau, ça!respect a écrit : tu as le droit de critiquer l islam occidental, tant que tes critiques sont sensés et véridiques
Ou peut-être tes doctorats? Histoire? Philosophie? Théologie? Linguistique?
Te prétends-tu suffisamment apte à juger si mes critiques sont sensées ou non? véridiques ou non? Alors que tu reconnais par ailleurs ds d'autres posts que tu ne comprends pas mon propos. Etonnant.
D'autre part, le mot "véridique" n'est pas pertinent, sauf si tu confonds une critique et une glose. la plupart du temsp, les Musulmans, vous faites un cop-coll d'un bout de verset, ou un paquet entier, assorti d'une glose assez creuse, du genre: "Vous voyez bien que c'est vrai puisque c'est écrit." Ce n'est même pas une glose, savoir une explication de texte: d'abord vocabulaire, syntaxe, style, procédés annexes d'expression, scansion, et pragmatique; puis établissement de texte; puis contextualisation.
Ce serait le minimum d'une bonne glose.
Mais ce ne serait toujours pas un examen critique. Ensuite seulement vient la critique. Qui suppose un recul que l'on prend par rapport au texte, et un libre examen des enjeux, par une mise en perspective de différentes approches: linguistique, historique, philosophique, sociale, etc.
Tel passage ne présente pas le même enjeu que tel autre, et ne s'adresse pas au même public, ni dans la même occasion. Tel passage sera plus dogmatique et répond à des croyants sur des questions de foi; tel autre passage sera plus juridique et répond à un souci d'apaiser des conflits en clarifiant des situations, en un lieu et à un moment donné. Hors du contexte, cela n'a aucun sens. Et la critique n'est pas manichéenne.
Ce que plusieurs vous reprochent ici, c'est de croire que citer un bout de sourate est un argument; et aussi d'utiliser tous les mêmes procédés intellectuellement malhonnêtes: amalgames, déformations de propos, sortie du cotexte et du contexte, exagération, attaques ad hominem, dérision, insultes.
Ce sont les procédés usuels de la désinformation faits pour disqualifier l'interlocuteur, procédés staliniens dont l'usage systématique a été inauguré par Félix Dzerjinski, fondateur de la Tchéka, ancêtre du KGB. Des procédés communs à tous les régimes de dictature.
je doute fort qu'on puisse parvenir un jour à une réflexion critique riche sur tel ou tel sujet, car cela supposerait de faire l'effort de comprendre l'argumentaire qu'on vous oppose, de vérifier qu'on l'a compris, et de tenter de le réfuter point par point, avec ordre et méthode.
Et, par épanadiplose en guise de clausule, rien ne t'autorise à vouloir limiter mes critiques selon TES critères de jugement. A quel titre?