Re: Sourate 111 de la Corde: pourquoi cette horreur ?
Posté : 24 déc.14, 07:25
Exactement, la Bible rapporte aussi des faits historiques.
Par exemple, Roi 1, chapitre 1, verset 1 :
"Le roi David était un vieillard avancé en âge ; on lui mit des couvertures sans qu'il pût se réchauffer."
(Traduction Bible de Jérusalem 2005)
Ce n'est pas l'Esprit-Saint qui parle, c'est un constat humain. Cela situe l'action.
Dans Actes, Luc écrit la suite après son évangile. Il commence ainsi sa rédaction :
Actes, chapitre 1, verset 1 :
"J'ai consacré mon premier livre, ô Théophile, à tout ce que Jésus a fait et enseigné, depuis le commencement."
Le narrateur est évidemment Luc qui écrit.
Idem, Luc commence son évangile au chapitre 1, versets 1 à 4, en s'adressant à Théophile, et en lui expliquant la raison de son texte qui rend témoignage que Jésus est le Messie.
Evangile selon Saint Luc, chapitre 1, versets 1 à 4 :
"Puisque beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, d'après ce que nous ont transmis ceux qui furent dès le début témoins oculaires et serviteurs de la Parole, j'ai décidé, moi aussi, après m'être informé exactement de tout depuis les origines, d'en écrire pour toi l'exposé suivi, excellent Théophile, pour que tu te rendes bien compte de la sûreté des enseignements que tu as reçus."
Personne ne va péter un câble parce que dans le Nouveau Testament, dans la Torah, dans tous les livres sacrés de l'humanité, il y a des présences humaines rédactionnelles.
Sauf apparemment chez certains groupes musulmans, qui veulent absolument, et contre l'histoire, la raison, l'étude des corans anciens, que, du premier verset au dernier verset, ce ne soit que la Parole d'Allah ! Enfin, ce n'est pas sérieux.
Ici, la sourate 111 est visiblement un texte humain avec toutes ses dérives.
Dans la sourate 11, verset 2, qui parle ?
"qui vous prescrit de n’adorer que Allah ! Je suis chargé par Lui de vous avertir et de vous annoncer la bonne nouvelle. "
Ce n'est pas Allah qui parle, c'est Mahomet ou un autre. "Je suis chargé par Lui de vous avertir", c'est donc une tierce personne.
Enfin, quand même !
Par exemple, Roi 1, chapitre 1, verset 1 :
"Le roi David était un vieillard avancé en âge ; on lui mit des couvertures sans qu'il pût se réchauffer."
(Traduction Bible de Jérusalem 2005)
Ce n'est pas l'Esprit-Saint qui parle, c'est un constat humain. Cela situe l'action.
Dans Actes, Luc écrit la suite après son évangile. Il commence ainsi sa rédaction :
Actes, chapitre 1, verset 1 :
"J'ai consacré mon premier livre, ô Théophile, à tout ce que Jésus a fait et enseigné, depuis le commencement."
Le narrateur est évidemment Luc qui écrit.
Idem, Luc commence son évangile au chapitre 1, versets 1 à 4, en s'adressant à Théophile, et en lui expliquant la raison de son texte qui rend témoignage que Jésus est le Messie.
Evangile selon Saint Luc, chapitre 1, versets 1 à 4 :
"Puisque beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, d'après ce que nous ont transmis ceux qui furent dès le début témoins oculaires et serviteurs de la Parole, j'ai décidé, moi aussi, après m'être informé exactement de tout depuis les origines, d'en écrire pour toi l'exposé suivi, excellent Théophile, pour que tu te rendes bien compte de la sûreté des enseignements que tu as reçus."
Personne ne va péter un câble parce que dans le Nouveau Testament, dans la Torah, dans tous les livres sacrés de l'humanité, il y a des présences humaines rédactionnelles.
Sauf apparemment chez certains groupes musulmans, qui veulent absolument, et contre l'histoire, la raison, l'étude des corans anciens, que, du premier verset au dernier verset, ce ne soit que la Parole d'Allah ! Enfin, ce n'est pas sérieux.
Ici, la sourate 111 est visiblement un texte humain avec toutes ses dérives.
Dans la sourate 11, verset 2, qui parle ?
"qui vous prescrit de n’adorer que Allah ! Je suis chargé par Lui de vous avertir et de vous annoncer la bonne nouvelle. "
Ce n'est pas Allah qui parle, c'est Mahomet ou un autre. "Je suis chargé par Lui de vous avertir", c'est donc une tierce personne.
Enfin, quand même !