La Foi, l’homme qui veux redevenir animal
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
- cichorium
- nuage
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Ecrit le 24 janv.05, 02:35
Heu... c'est pas une phrase à moi c'est celle de wiwi mais c'est pas grave je suis d'accords avec lui/elle, je dirais même que l'on peut vivre tout en cherchant ce n'est pas incompatible puisque je le fait! En fait j'ai trouvé, et l'amour ,et Jésus.( ou dans un autre ordre )moodyman a écrit :Nuage dit (tres justement) =
A force de chercher, on finit par oublier l’essentiel, c’est à dire VIVRE.
Ou tout tout le drame des croyants, oublier qu'il y a une vie avant la mort.
Le chemin de la sagesse ou de la liberté est un chemin qui mène au centre de son propre être.
[Mircea Eliade]
[Mircea Eliade]
- desertdweller
Ecrit le 24 janv.05, 20:39
Tout d'abord, ce n'est pas ma photo mais celle de Edgar "Ted" Codd, le gourou de l'analyse mathematique de l'information, l'inventeur de l'algebre relationnel, le Newton de l'informatique sans lequel ce forum et 99.999% des applications internet n'existeraient pas.cichorium a écrit :Salut DD , tu n'es plus trés loin des croyances orientales , tu es proche de te faire Bonze tu n'as presque plus de cheveux sur le Caillou
Je serais toi j'y réfléchirais .
A Bientot !
Alors un peu de respect SVP.
En ce qui me concerne, j'ai encore tous mes cheveux, meme que ma femme veut m'envoyer chez le coiffeur.
En ce qui concerne les bonzes, une petite histoire vraie que tu aurais pu voir si tu suis "Envoye Special" a la TV.
Immagine Celine Dion, au top de sa carriere, laisser tout tomber pour se faire nonette et utiliser son argent au service des prostituees.
C'est ce qu'a fait la Celine Dion Thai. Elle s'est fait bonzesse, le crane et les sourcils a zero et la robe brune. Elle utilise son fric pour financer un home pour les prostitues de Bangkok a qui elle apprend a retrouver leur dignite.
Elle pretend avoir enfin trouve la serenite. A voire sa figure quand elle parle, on la crois.
Une superbe lecon d'humanite.
Alors, du respect pour les bonzes, SVP
- foilogic
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CE QUI S'OPPOSE A L'UNITE, c'est la BESTIALITE.
Ecrit le 25 janv.05, 03:50On voit bien sur ce forum que
le comportement animal empêche d'être lucide.
Nous sommes "programmés" pour viser la cohérence des accords harmonieux.
Ce forum pourrait aller dans ce sens,
il s'agit de réfléchir, de raisonner, de se remettre en question
pour faire avancer les choses, pour que l'humanité progresse.
Le but n'est pas une compétition absurde,
comme ces matchs de foot où la bière n'est pas absente.
Prenez du recul, ce n'est pas moi qui invente la réalité.
Une fois de plus, je le déplore, considérez ce qui s'est passé au Rwanda:
est-ce que j'imagine des fanatismes, des excès, des extrémismes racistes,
des bains de sang, des comportements instinctifs qui n'existent pas?
Nous sommes "programmés" pour viser la cohérence.
Or l'instinct redoute de perdre les repères de cette cohérence.
Il en résulte un attachement sentimental,
parce que <B>l'instinct confond l'être et l'avoir</B>.
C'est cet attachement instinctif qui constitue l'égo:
celui-ci est <B>toujours sur la défensive</B>,
parce qu'il souffre à chaque désaccord.
Résultat: le moi aime orchestrer la concorde. Pourquoi?
Etre en paix, être en accord ne lui suffit pas:
L'instinct veut posséder, maîtriser ses repères,
car <B>il craint de se vider de ce qu'il est</B>,
il voudrait se nourrir, s'incorporer des sentiments
sans se rendre compte que l'être n'est pas l'avoir.
Le moi confond «être harmonieux» et «posséder l'harmonie».
site.voila.fr/foilogic/fruit.html#bottom
Donc il veut se remplir de «nourriture sentimentale».
Il veut être habité par le sentiment d'avoir raison,
et se sentir ainsi en sécurité: «J'assure, ça baigne dans l'huile».
Le comportement animal empêche d'être lucide
et de comprendre le processus ci-dessus.
Sa <B>peur de se perdre</B> le conduit à se défendre,
puis il attaque systématiquement en contredisant les autres.
site.voila.fr/foilogic/ironie.html#bottom
Or il n'y aurait pas cette angoisse inconsciente
sans la confusion instinctive entre l'être et l'avoir,
laquelle conduit à la mauvaise foi.
Ce processus défensif devient un mauvais réflexe,
cela perturbe la manière de réagir et de penser,
cela obscurcit la conscience,
cela se transforme en violence:
site.voila.fr/foilogic/violence.html#bottom
A l'heure actuelle, l'accroissement de la conscience n'apporte guère de bonheur
puisque les infos nous apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
La bonne nouvelle, c'est que l'amour est possible,
à condition de ne pas le confondre avec l'attachement sentimental.
C'est à l'humanité de renverser la vapeur en progressant.
Cette prise de conscience doit nous conduire
à décider de <B>manifester l'unité du genre humain</B>.
Pour accéder à cette sagesse, il faut comprendre le processus ci-dessus,
puis travailler sur soi-même à perfectionner son être, donc à se détacher,
notamment en ayant recours aux forces spirituelles,
source de cohérence universelle.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
le comportement animal empêche d'être lucide.
Ne faites donc pas exprès de ne pas comprendre!!!Libresansdieu (Posté le: Lun Jan 24) a écrit:
Wiwi parle de "communion avec la vie", et vous nous arrivez avec des ivrogneries
et des comportements bestiaux. Il ne faut pas pencher dans l'autre extrème.
Toute la beauté du monde est dans la nuance.
Nous sommes "programmés" pour viser la cohérence des accords harmonieux.
Ce forum pourrait aller dans ce sens,
il s'agit de réfléchir, de raisonner, de se remettre en question
pour faire avancer les choses, pour que l'humanité progresse.
Le but n'est pas une compétition absurde,
comme ces matchs de foot où la bière n'est pas absente.
Prenez du recul, ce n'est pas moi qui invente la réalité.
Une fois de plus, je le déplore, considérez ce qui s'est passé au Rwanda:
est-ce que j'imagine des fanatismes, des excès, des extrémismes racistes,
des bains de sang, des comportements instinctifs qui n'existent pas?
Nous sommes "programmés" pour viser la cohérence.
Or l'instinct redoute de perdre les repères de cette cohérence.
Il en résulte un attachement sentimental,
parce que <B>l'instinct confond l'être et l'avoir</B>.
C'est cet attachement instinctif qui constitue l'égo:
celui-ci est <B>toujours sur la défensive</B>,
parce qu'il souffre à chaque désaccord.
Résultat: le moi aime orchestrer la concorde. Pourquoi?
Etre en paix, être en accord ne lui suffit pas:
L'instinct veut posséder, maîtriser ses repères,
car <B>il craint de se vider de ce qu'il est</B>,
il voudrait se nourrir, s'incorporer des sentiments
sans se rendre compte que l'être n'est pas l'avoir.
Le moi confond «être harmonieux» et «posséder l'harmonie».
site.voila.fr/foilogic/fruit.html#bottom
Donc il veut se remplir de «nourriture sentimentale».
Il veut être habité par le sentiment d'avoir raison,
et se sentir ainsi en sécurité: «J'assure, ça baigne dans l'huile».
Le comportement animal empêche d'être lucide
et de comprendre le processus ci-dessus.
Sa <B>peur de se perdre</B> le conduit à se défendre,
puis il attaque systématiquement en contredisant les autres.
site.voila.fr/foilogic/ironie.html#bottom
Or il n'y aurait pas cette angoisse inconsciente
sans la confusion instinctive entre l'être et l'avoir,
laquelle conduit à la mauvaise foi.
Ce processus défensif devient un mauvais réflexe,
cela perturbe la manière de réagir et de penser,
cela obscurcit la conscience,
cela se transforme en violence:
site.voila.fr/foilogic/violence.html#bottom
A l'heure actuelle, l'accroissement de la conscience n'apporte guère de bonheur
puisque les infos nous apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
La bonne nouvelle, c'est que l'amour est possible,
à condition de ne pas le confondre avec l'attachement sentimental.
C'est à l'humanité de renverser la vapeur en progressant.
Cette prise de conscience doit nous conduire
à décider de <B>manifester l'unité du genre humain</B>.
Pour accéder à cette sagesse, il faut comprendre le processus ci-dessus,
puis travailler sur soi-même à perfectionner son être, donc à se détacher,
notamment en ayant recours aux forces spirituelles,
source de cohérence universelle.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
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le détachement
Ecrit le 25 janv.05, 08:29Il va sans dire que par définition,
<B>le détachement</B>, c'est le contraire de la passion (étymol. souffrance)
et du comportement animal qui obéit à ses pulsions instinctives.
La nature spontanée de l'animal est plus simple que la nôtre:
il n'a pas besoin de se poser de question pour vivre son destin!
Tandis que l'homme n'a pas pour vocation de se laisser aller,
et d'oublier désespérément son potentiel, mais de se transcender.
Même ceux qui ne croient pas en Dieu peuvent s'apercevoir
qu'il existe en nous des facultés spirituelles
qui nous ouvrent des perspectives plus vastes
que celle de vivre comme un animal.
Malheureusement, qui prend le temps aujourd'hui de se dépétrer
de l'enlisement général de nos sociétés dans un matérialisme
qui conduit certains inconscients à vouloir s'entredévorer comme des bêtes
pour avoir plus, toujours plus, au lieu d'être?
Comme le montrait Bouddha, il ne faut pas confondre
les désirs ordinaires (immatures) avec les aspirations supérieures.
<center><B>Le détachement, ce n'est pas l'indifférence</B>.</center>
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
<B>le détachement</B>, c'est le contraire de la passion (étymol. souffrance)
et du comportement animal qui obéit à ses pulsions instinctives.
La nature spontanée de l'animal est plus simple que la nôtre:
il n'a pas besoin de se poser de question pour vivre son destin!
Tandis que l'homme n'a pas pour vocation de se laisser aller,
et d'oublier désespérément son potentiel, mais de se transcender.
Même ceux qui ne croient pas en Dieu peuvent s'apercevoir
qu'il existe en nous des facultés spirituelles
qui nous ouvrent des perspectives plus vastes
que celle de vivre comme un animal.
Malheureusement, qui prend le temps aujourd'hui de se dépétrer
de l'enlisement général de nos sociétés dans un matérialisme
qui conduit certains inconscients à vouloir s'entredévorer comme des bêtes
pour avoir plus, toujours plus, au lieu d'être?
Comme le montrait Bouddha, il ne faut pas confondre
les désirs ordinaires (immatures) avec les aspirations supérieures.
<center><B>Le détachement, ce n'est pas l'indifférence</B>.</center>
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
- Libresansdieu
Ecrit le 25 janv.05, 10:08
Mon ami, vos réponses ont la forme et le fond de la poésie. C'est joli, mais ça signifie très peu. On pourrait même dire que c'est du magnifique certes, du très grand n'importe quoi.
Votre texte commence par une insulte flagrante, mais exprimée de manière très jolie. Bravo pour la forme, c'es très bien écrit. Pour le reste, si vous voulez vous faire botter le derrière solidement, ça peut s'arranger. Bref, trouvez une autre personne à qualifier de non-lucide et contrôllée par ses "instincts animaux".
Ensuite vous ne répondez pas du tout à ce qui est cité d'abord (ma citation).
Et puis vous dites que l'acroissement de la conscience est une nuisance. L'argument qui soutient cela: les infos à la télé nous donnent surtout des mauvaises nouvelles. Encore un sophisme de faux choix (vous en faites une spécialité?) SOIT on n'acroit pas la conscience, SOIT on devient triste à cause des infos pessimistes.
On nuance, s'il-vous-plait, et on revient sur terre (laissez tomber la poésie je vous prie.)
Votre texte commence par une insulte flagrante, mais exprimée de manière très jolie. Bravo pour la forme, c'es très bien écrit. Pour le reste, si vous voulez vous faire botter le derrière solidement, ça peut s'arranger. Bref, trouvez une autre personne à qualifier de non-lucide et contrôllée par ses "instincts animaux".
Ensuite vous ne répondez pas du tout à ce qui est cité d'abord (ma citation).
Et puis vous dites que l'acroissement de la conscience est une nuisance. L'argument qui soutient cela: les infos à la télé nous donnent surtout des mauvaises nouvelles. Encore un sophisme de faux choix (vous en faites une spécialité?) SOIT on n'acroit pas la conscience, SOIT on devient triste à cause des infos pessimistes.
On nuance, s'il-vous-plait, et on revient sur terre (laissez tomber la poésie je vous prie.)
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REPONSE à Libresansdieu
Ecrit le 26 janv.05, 09:51Cher Libresansdieu,
Je suis sincèrement désolé
si vous avez vraiment l'impression que j'aurais voulu vous insulter,
mais comme vous pouvez le constater, <B>mes réflexions nous concernent tous</B>:
je me préoccupe de <B>l'homme en général</B>,
et si je fais figurer une photo de la Terre,
c'est en relation avec la citation qui figure en signature,
et que je reproduis ci-dessous en entier:
«La Terre n'est qu'un seul pays, et <B>tous les hommes</B> en sont les citoyens.»
(voir mon site Internet)
Le sens général de mes interventions vise la manifestation de l'unité.
Je suis moi-même habité par des mécanismes réflexes
comme tout le monde, et si j'explique sur mon site
ainsi que sur ces pages, en quoi ces automatismes posent problème,
ça n'est sûrement pas pour m'insulter moi-même,
ni pour insulter l'humanité.
Mon intention est d'informer mes semblables de ces choses
que j'aurais aimé qu'on m'explique dès l'âge de 14 ans.
J'étudie ce sujet depuis le début des années 1990,
mes expériences quotidiennes m'ayant permis de vérifier les fondements
de la médecine antique chinoise (sans pratiquer l'acupuncture, je le précise)
en relation avec le fonctionnement de nos chakras.
Il s'en suit que j'ai développé des facultés hors du commun,
dont je ne parle guère parce qu'on ne me croirait pas,
mais il conviendra que je fasse profiter les autres de mes constats.
Il ne suffirait pas (par exemple) de participer à des groupes de prières
pour parvenir à un tel résultat. Cela exige de grands efforts.
Je ne peux pas résumer tout ça en quelques lignes.
Pour l'instant ce forum me permet d'apprendre à m'expliquer,
voyez vous-mêmes à quel point je ne sais pas y faire,
puisqu'il vient d'y avoir plusieurs malentendus.
Veuillez m'excuser si véritablement vous n'avez pas compris
le texte que j'ai rédigé page 3 de ce forum
Posté le: Lun Jan 24, 2005 1:15 am Sujet du message: COMPREHENSION
J'ai mis en gras le mot [<B>certains</B>] afin que chacun note bien
que je ne mets pas tout le monde dans le même «sac».
J'estime donc que
<center><B>les préceptes religieux sont généralement mal compris</B></center>
On pourrait croire quils préconisent un ascétisme rigoureux
qui traduirait une sorte de haine de soi.
Or j'écris clairement que
«l'enjeu de la foi est une affaire d'authenticité,
donc de cohérence dans notre vie».
Il est tout à fait logique d'être joyeux (par exemple)
quand on sauve la vie d'un être humain.
Il convient d'éprouver <B>des sentiments justes</B>
(pour être informé correctement de ce qui est)
ce senti-mental n'étant pas destiné à
rechercher du plaisir pour lui-même.
Si l'humain est pourvu de la faculté de connaître
au moyen de sensations et sentiments,
ce n'est pas dans le but de rechercher la jouissance pour elle-même.
Si nous commettons l'erreur de manger (par exemple)
davantage pour le plaisir que pour nourrir le corps physique,
les religions disent que c'est un péché,
et je suppose que chacun comprend maintenant
cet état d'esprit qui vise l'authenticité:
nos sens nous informent, <B>les sentiments prolongent l'info perçue</B>,
mais notre santé et nos jugements se dégraderont
si nous nous enlisons dans <B>l'attachement</B> à leur résonance.
Cela nous conduira à commettre de plus en plus d'excès. Lire:
http://site.voila.fr/foilogic/attachement.html#bottom
Nous risquons l'écoeurement pour commencer,
mais plus tard ça sera la dépression, et ainsi de suite...
Chacun comprendra ce que je mentionne sur mon site Internet:
l'authenticité engage toutes les couches de la conscience,
qu'il faudrait donc harmoniser pour être cohérent.
<B>Faute de quoi, on est en conflit avec soi-même</B>.
Or nous sommes tous habités par des couches de conscience primitive,
nourries par un processus instinctif (par exemple pour marcher).
C'est l'énergie instinctive qui nourrit nos automatismes
(exemple: on dit 2 et 2 font 4 sans réfléchir).
Malheureusement, de nombreux processus de ce genre
<B>se figent</B> notamment pendant la petite enfance, si bien
que nous sommes parasités, par exemple par des peurs immatures.
Conséquence: nos incohérences provoquent des ruptures inconscientes,
des peurs de connaître et de savoir, des refus d'aimer ce qui est,
et ainsi de suite... <B>L'attachement nous empêche donc d'aimer</B>
puisqu'on ne pourrait pas prétendre aimer vraiment sans connaître (naître avec).
Les incohérences de cet inconscient empêchent l'authenticité,
tandis que la guérison de nos conflits intimes et cachés
favorise le passage des forces spirituelles (je peux en témoigner).
Résultat: on devient conscient de douleurs auparavant inconnues...
et ça fait mal! Car on avait préféré ignorer, ne pas ressentir la souffrance.
Contrairement à ce qu'imaginent certains croyants,
le travail spirituel n'est pas de tout repos.
Il s'en suit une phrase que vous avez probablement déjà entendue
«Y'a pas d'mal à s'faire du bien...»
dont certains athées se servent <B>pour exprimer leur réprobation</B>
à l'égard de certaines restrictions religieuses,
parce qu'ils ne se sont pas avisés des explications précédentes.
Certains décident même de riposter comme des délinquants en révolte.
Ceci dit, je ne suis pas favorable aux mortifications,
mais c'est une voie que certains ont choisi
pour dompter l'animal qui vit en eux.
Moi je préfère l'apprivoiser... ou le purifier par d'autres méthodes,
en vue d'harmoniser et de clarifier la conscience.
(Les deux vont de pair).
Je n'ai pas dit que l'accroissement de la conscience était une nuisance:
Le bonheur est <B>qualitatif</B> (de même l'amour permet de s'accorder qualitativement)
tandis que l'attachement est quantitatif:
l'instinct veut toujours plus, il veut faire des réserves... de «nourriture sentimentale»
à la manière d'un écureuil qui fait des provisions pour survivre.
J'ai voulu montrer la primauté de la qualité d'être. J'abrège: du point de vue spirituel,
le bonheur n'est pas affaire de quantité! La joie de l'être découle du progrès de la cohérence.
Or <B>la cohérence est qualitative</B>. Mais l'instinct recherche jalousement des quantités,
donc il perpétue ainsi l'égo puisqu'il vise sa survie... A notre époque,
l'accroissement (<B>quantitatif</B>) de la conscience n'est pas forcément source de bonheur:
de nos jours, cela risque plutôt d'être une source de soucis supplémentaires,
puisque ça suppose de connaître (naître avec) des incohérences (donc d'en souffrir).
Cela ne veut pas dire que je préconise l'ignorance!
Si on travaille à se connaître soi-même en vue de perfectionner son être (pour être juste),
si on fait l'effort de se transformer en vue d'accepter les choses telles qu'elles sont,
peut-être alors qu'on accèdera à la paix intérieure. Finies les révoltes impulsives.
Mais qui donc en est capable? Beaucoup s'orientent vers la résignation... ou l'illusion.
J'espère que vous me considèrerez effectivement comme un ami
puisque c'est ainsi que vous vous êtes adressé à moi:
«Mon ami, vos réponses ont la forme et le fond de la poésie.»
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
Je suis sincèrement désolé
si vous avez vraiment l'impression que j'aurais voulu vous insulter,
mais comme vous pouvez le constater, <B>mes réflexions nous concernent tous</B>:
Non seulement sur ce forum (voir ci-dessus) mais aussi sur les autres,(...) <B>notre</B> raison d'être (...)
(...) cohérence dans <B>notre</B> vie.
(...) Dès lors qu'on s'écarte (de <B>notre</B> nature profonde, donc) du sens de l'existence
(...) comprendre ce qu'est <B>notre</B> nature profonde,
(...) <B>notre</B> principe existentiel.
(...) <B>notre</B> ouverture d'esprit.
(...) pour qu'<B>on</B> comprenne le sens de ces clins d'oeil,
et de tous ces encouragements
qui <B>nous</B> invitent à aimer et à respecter la vie
(...) <B>tout le monde</B> se perd dans les interprétations erronées.
(...) <B>Notre</B> nature profonde n'est pas celle d'un simple animal ordinaire
(...) <B>Nous</B> sommes destinés à prendre du recul pour raisonner
(...) En plus de l'animal qui vit en <B>nous</B>, il y a un esprit supérieur.
(...) il faut <B>s'aimer soi-même</B> pour réussir à aimer les autres.
(...) <B>Nous</B> sommes "programmés" pour viser la cohérence des accords harmonieux.
(...) <B>Nous</B> sommes "programmés" pour viser la cohérence.
(...) les infos <B>nous</B> apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
(...) C'est à <B>l'humanité</B> de renverser la vapeur en progressant.
(...) Cette prise de conscience doit <B>nous</B> conduire
à décider de manifester l'unité du <B>genre humain</B>.
(...) La nature spontanée de l'animal est plus simple que la <B>nôtre</B>
<B>l'homme</B> n'a pas pour vocation de se laisser aller, (...) mais de se transcender.
(...) il existe en <B>nous</B> des facultés spirituelles
qui <B>nous</B> ouvrent des perspectives plus vastes
que celle de vivre comme un animal.
je me préoccupe de <B>l'homme en général</B>,
et si je fais figurer une photo de la Terre,
c'est en relation avec la citation qui figure en signature,
et que je reproduis ci-dessous en entier:
«La Terre n'est qu'un seul pays, et <B>tous les hommes</B> en sont les citoyens.»
(voir mon site Internet)
Le sens général de mes interventions vise la manifestation de l'unité.
Je suis moi-même habité par des mécanismes réflexes
comme tout le monde, et si j'explique sur mon site
ainsi que sur ces pages, en quoi ces automatismes posent problème,
ça n'est sûrement pas pour m'insulter moi-même,
ni pour insulter l'humanité.
Mon intention est d'informer mes semblables de ces choses
que j'aurais aimé qu'on m'explique dès l'âge de 14 ans.
J'étudie ce sujet depuis le début des années 1990,
mes expériences quotidiennes m'ayant permis de vérifier les fondements
de la médecine antique chinoise (sans pratiquer l'acupuncture, je le précise)
en relation avec le fonctionnement de nos chakras.
Il s'en suit que j'ai développé des facultés hors du commun,
dont je ne parle guère parce qu'on ne me croirait pas,
mais il conviendra que je fasse profiter les autres de mes constats.
Il ne suffirait pas (par exemple) de participer à des groupes de prières
pour parvenir à un tel résultat. Cela exige de grands efforts.
Je ne peux pas résumer tout ça en quelques lignes.
Pour l'instant ce forum me permet d'apprendre à m'expliquer,
voyez vous-mêmes à quel point je ne sais pas y faire,
puisqu'il vient d'y avoir plusieurs malentendus.
Veuillez m'excuser si véritablement vous n'avez pas compris
le texte que j'ai rédigé page 3 de ce forum
Posté le: Lun Jan 24, 2005 1:15 am Sujet du message: COMPREHENSION
Salut Wiwi,
j'ai bien aimé ton introduction (...)
Le point de départ est judicieux (...)
tout se passe comme si les croyants cherchaient à s'amputer
de [...(la conscience)...] qui, au bout du compte, leur cause bien du souci
en les empêchant d'être disponibles pour vivre la vie présente.
Tout se passe donc comme si, pour oublier leur angoisse,
ils cherchaient inconsciemment à revenir à l'état d'animal.
Bien entendu, l'intention véritable des religions,
c'est d'éveiller les consciences.
Mais les préceptes religieux sont souvent mal compris,
on le voit bien quand <B>certains</B> athées disent:
«Y'a pas d'mal à s'faire du bien...»
On se goinfre à en vomir, on se saoule comme un cochon...
A l'évidence, ça s'est un comportement bestial!
Cette recherche instinctive du plaisir pour le plaisir
s'oppose à notre raison d'être, parfaitement logique,
qui ne doit pas s'égarer pas dans les plaisirs sans signification.
Voila ce que veulent dire les religions. Pourquoi disent-elles cela?
(...)
l'enjeu de la foi est une affaire d'authenticité,
donc de cohérence dans notre vie. [...etc...] (<B>foilogic</B>)
J'ai mis en gras le mot [<B>certains</B>] afin que chacun note bien
que je ne mets pas tout le monde dans le même «sac».
J'estime donc que
<center><B>les préceptes religieux sont généralement mal compris</B></center>
On pourrait croire quils préconisent un ascétisme rigoureux
qui traduirait une sorte de haine de soi.
Or j'écris clairement que
«l'enjeu de la foi est une affaire d'authenticité,
donc de cohérence dans notre vie».
Il est tout à fait logique d'être joyeux (par exemple)
quand on sauve la vie d'un être humain.
Il convient d'éprouver <B>des sentiments justes</B>
(pour être informé correctement de ce qui est)
ce senti-mental n'étant pas destiné à
rechercher du plaisir pour lui-même.
Si l'humain est pourvu de la faculté de connaître
au moyen de sensations et sentiments,
ce n'est pas dans le but de rechercher la jouissance pour elle-même.
Si nous commettons l'erreur de manger (par exemple)
davantage pour le plaisir que pour nourrir le corps physique,
les religions disent que c'est un péché,
et je suppose que chacun comprend maintenant
cet état d'esprit qui vise l'authenticité:
nos sens nous informent, <B>les sentiments prolongent l'info perçue</B>,
mais notre santé et nos jugements se dégraderont
si nous nous enlisons dans <B>l'attachement</B> à leur résonance.
Cela nous conduira à commettre de plus en plus d'excès. Lire:
http://site.voila.fr/foilogic/attachement.html#bottom
Nous risquons l'écoeurement pour commencer,
mais plus tard ça sera la dépression, et ainsi de suite...
Chacun comprendra ce que je mentionne sur mon site Internet:
l'authenticité engage toutes les couches de la conscience,
qu'il faudrait donc harmoniser pour être cohérent.
<B>Faute de quoi, on est en conflit avec soi-même</B>.
Or nous sommes tous habités par des couches de conscience primitive,
nourries par un processus instinctif (par exemple pour marcher).
C'est l'énergie instinctive qui nourrit nos automatismes
(exemple: on dit 2 et 2 font 4 sans réfléchir).
Malheureusement, de nombreux processus de ce genre
<B>se figent</B> notamment pendant la petite enfance, si bien
que nous sommes parasités, par exemple par des peurs immatures.
Conséquence: nos incohérences provoquent des ruptures inconscientes,
des peurs de connaître et de savoir, des refus d'aimer ce qui est,
et ainsi de suite... <B>L'attachement nous empêche donc d'aimer</B>
puisqu'on ne pourrait pas prétendre aimer vraiment sans connaître (naître avec).
Les incohérences de cet inconscient empêchent l'authenticité,
tandis que la guérison de nos conflits intimes et cachés
favorise le passage des forces spirituelles (je peux en témoigner).
Résultat: on devient conscient de douleurs auparavant inconnues...
et ça fait mal! Car on avait préféré ignorer, ne pas ressentir la souffrance.
Contrairement à ce qu'imaginent certains croyants,
le travail spirituel n'est pas de tout repos.
Il s'en suit une phrase que vous avez probablement déjà entendue
«Y'a pas d'mal à s'faire du bien...»
dont certains athées se servent <B>pour exprimer leur réprobation</B>
à l'égard de certaines restrictions religieuses,
parce qu'ils ne se sont pas avisés des explications précédentes.
Certains décident même de riposter comme des délinquants en révolte.
Ceci dit, je ne suis pas favorable aux mortifications,
mais c'est une voie que certains ont choisi
pour dompter l'animal qui vit en eux.
Moi je préfère l'apprivoiser... ou le purifier par d'autres méthodes,
en vue d'harmoniser et de clarifier la conscience.
(Les deux vont de pair).
Je n'ai pas dit que l'accroissement de la conscience était une nuisance:
A l'heure actuelle, l'accroissement de la conscience n'apporte guère de bonheur
puisque les infos nous apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
La bonne nouvelle, c'est que l'amour est possible,
à condition de ne pas le confondre avec l'attachement sentimental. (<B>foilogic</B>)
Le bonheur est <B>qualitatif</B> (de même l'amour permet de s'accorder qualitativement)
tandis que l'attachement est quantitatif:
l'instinct veut toujours plus, il veut faire des réserves... de «nourriture sentimentale»
à la manière d'un écureuil qui fait des provisions pour survivre.
J'ai voulu montrer la primauté de la qualité d'être. J'abrège: du point de vue spirituel,
le bonheur n'est pas affaire de quantité! La joie de l'être découle du progrès de la cohérence.
Or <B>la cohérence est qualitative</B>. Mais l'instinct recherche jalousement des quantités,
donc il perpétue ainsi l'égo puisqu'il vise sa survie... A notre époque,
l'accroissement (<B>quantitatif</B>) de la conscience n'est pas forcément source de bonheur:
de nos jours, cela risque plutôt d'être une source de soucis supplémentaires,
puisque ça suppose de connaître (naître avec) des incohérences (donc d'en souffrir).
Cela ne veut pas dire que je préconise l'ignorance!
Si on travaille à se connaître soi-même en vue de perfectionner son être (pour être juste),
si on fait l'effort de se transformer en vue d'accepter les choses telles qu'elles sont,
peut-être alors qu'on accèdera à la paix intérieure. Finies les révoltes impulsives.
Mais qui donc en est capable? Beaucoup s'orientent vers la résignation... ou l'illusion.
J'espère que vous me considèrerez effectivement comme un ami
puisque c'est ainsi que vous vous êtes adressé à moi:
«Mon ami, vos réponses ont la forme et le fond de la poésie.»
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
- Libresansdieu
Ecrit le 26 janv.05, 13:47
À vous lire je sens des élucubrations mystiques qui transparaissent, je dois avouer que ça me fait un peu peur. On dirait que vous abusez de la langue en la tournant en de belles façons mais qui signifient peu pour moi.
Je ne suis peut-être pas très versé dans le vocabulaire mystique que vous employez, il faut m'excuser. Vous parlez de la nature humaine, de nos instincts et le désir de se dépasser, de transcender la médiocrité pour aller plus loin. Pour le peu que je comprends, c'est là des principes nobles auquels je peux souscrire.
Mais je ne vois pas le lien avec Dieu... on peut agir noblement et être athée, non?
Je ne suis peut-être pas très versé dans le vocabulaire mystique que vous employez, il faut m'excuser. Vous parlez de la nature humaine, de nos instincts et le désir de se dépasser, de transcender la médiocrité pour aller plus loin. Pour le peu que je comprends, c'est là des principes nobles auquels je peux souscrire.
Mais je ne vois pas le lien avec Dieu... on peut agir noblement et être athée, non?
- foilogic
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le lien avec Dieu
Ecrit le 27 janv.05, 23:06Cher Libresansdieu,
Je me suis souvent fait cette même réflexion dans le passé,
considérant comme vous qu'on pouvait agir noblement
sans jamais avoir entendu parler de dieu.
Nous pensons, nous sommes équipés d'une conscience,
et sans nos aspirations ce forum n'existerait pas.
En vérité, nous ne sommes pas libres:
nous sommes habités par le besoin de vérité
et de <B>cohérence</B>, donc par ses exigences.
On s'aperçoit qu'un conscience stagnante ne progresserait
ni dans un sens, ni dans un autre: son existence n'aurait pas de sens.
Nous sommes conduits à nous interroger
et à mettre en évidence cet ordre (des choses) créatif.
Lire cette courte page:
http://site.voila.fr/foilogic/vraievie.html#bottom
L'agnostique refuse a priori de se poser les questions essentielles:
il dit que ça ne sert à rien, mais
cette fantaisie n'est rien d'autre qu'une tentative désespérée
d'échapper aux contraintes de la cohérence consciente,
ce qui théoriquement conduirait à l'animalité
qui ne risque pas de souffrir du sentiment de culpabilité.
Or l'homme qui se laisse aller peut être pire que l'animal:
considérez les sauvageries d'Auschwitz par exemple.
Notre conscience institue des exigences morales,
lesquelles découlent de la notion d'<B>authenticité</B>
à l'égard du principe existentiel qui nous habite.
Ce principe est évident:
il existe dans l'univers de nombreux signes
de <B>ce souffle de cohérence qui nous habite</B>
et sans lequel il n'y aurait pas de raison
pour que les particules, les atomes, et les molécules s'assemblent
pour créer la vie et la matière pensante que nous sommes.
On appelle Dieu la Cause de ce processus créatif
qui caractérise notre existence.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
Je me suis souvent fait cette même réflexion dans le passé,
considérant comme vous qu'on pouvait agir noblement
sans jamais avoir entendu parler de dieu.
Nous pensons, nous sommes équipés d'une conscience,
et sans nos aspirations ce forum n'existerait pas.
En vérité, nous ne sommes pas libres:
nous sommes habités par le besoin de vérité
et de <B>cohérence</B>, donc par ses exigences.
On s'aperçoit qu'un conscience stagnante ne progresserait
ni dans un sens, ni dans un autre: son existence n'aurait pas de sens.
Nous sommes conduits à nous interroger
et à mettre en évidence cet ordre (des choses) créatif.
Lire cette courte page:
http://site.voila.fr/foilogic/vraievie.html#bottom
L'agnostique refuse a priori de se poser les questions essentielles:
il dit que ça ne sert à rien, mais
cette fantaisie n'est rien d'autre qu'une tentative désespérée
d'échapper aux contraintes de la cohérence consciente,
ce qui théoriquement conduirait à l'animalité
qui ne risque pas de souffrir du sentiment de culpabilité.
Or l'homme qui se laisse aller peut être pire que l'animal:
considérez les sauvageries d'Auschwitz par exemple.
Notre conscience institue des exigences morales,
lesquelles découlent de la notion d'<B>authenticité</B>
à l'égard du principe existentiel qui nous habite.
Ce principe est évident:
il existe dans l'univers de nombreux signes
de <B>ce souffle de cohérence qui nous habite</B>
et sans lequel il n'y aurait pas de raison
pour que les particules, les atomes, et les molécules s'assemblent
pour créer la vie et la matière pensante que nous sommes.
On appelle Dieu la Cause de ce processus créatif
qui caractérise notre existence.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
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REPONSE A LIBRESANSDIEU
Ecrit le 29 janv.05, 22:51Où est-ce que Dieu entre en jeu? Réponse: partout.
Quand est-ce que Dieu entre en jeu? Réponse: tout le temps.
Cher Libresansdieu,
Par la force des choses, puisque nous sommes là,
nous sommes soumis en permanence aux lois de la création:
1) Celles que nous connaissons déjà (exemple: la pesanteur)
2) Celles que nous ne connaissons pas encore,
comme par exemple certaines règles spirituelles.
Mais au fur et à mesure que les énigmes du (2)
viennent s'ajouter à la liste du (1),
on s'aperçoit tôt ou tard qu'une loi générale va intervenir,
qu'on appelle la loi de cause à effet.
• CATEGORIE 1:
Quelqu'un qui laisserait tomber un gros marteau
juste au-dessus de ses pieds
serait très immature d'accuser Dieu en s'écriant:
«Aïe! ça fait mal, pourquoi Dieu m'a-t-il fait ça?»
Pourtant, de nombreuses personnes réagissent comme ça, par ignorance.
Il convient donc d'observer et de raisonner scientifiquement,
de procéder à des expériences pour vérifier si elles s'avèrent reproductibles,
afin d'être en mesure de faire des prévisions.
• CATEGORIE 2:
De nombreuses personnes qui s'intéressent à la spiritualité
ont déjà entendu parler du «choc en retour».
Mais trop peu l'ont effectivement expérimenté,
si bien qu'ils ne savent pas tout à ce sujet.
Ils résument simplement en disant:
«Si j'envoie de bonnes pensées à quelqu'un,
ou si je prie d'une façon positive pour une autre personne,
l'effet bénéfique que je lui prodigue me reviendra.
Donc je n'ai pas intérêt à rayonner de la haine,
sinon les autres vont me détester en retour.»
A priori, on peut comparer cela à
une balle de ping pong qui rebondit contre un mur,
ou plutôt à une onde qui va se réfléchir,
comme sur un réflecteur.
L'expérience montre que les choses sont plus complexes.
Tout d'abord, dans un premier temps,
on observe l'effet contraire:
Si je prie pour égayer une personne qui souffre d'un chagrin,
je vais probablement ressentir en moi-même sa tristesse,
de surcroit je serai fatigué et je risque de contracter ses maladies éventuelles,
à moins d'être très fort, ou que mes prières soient trop faibles.
D'autre part, à supposer que cette personne souffre des reins,
ce n'est pas forcément le même mal que je vais ressentir,
parce que mes propres caractéristiques vont se supperposer aux siennes.
Et puis si je pense trop à untel le soir,
ça risque fort de l'empêcher de s'endormir.
Néanmoins, si je demande de l'aide au monde céleste
au lieu de m'adresser seulement à Dieu,
de bonnes âmes pourront m'aider bien plus facilement
que si je n'avais sollicité aucune aide de ce genre.
Dans ce cas, il est probable que le résultat sera bien plus fort
que si je m'étais débrouillé tout seul.
Par ailleurs, l'expérience montre que ça fonctionne moins bien
quand on est pris au dépourvu:
Mieux vaut s'y prendre à l'avance pour «préparer le terrain»
c-à-d qu'il faut procéder en plusieurs étapes.
Et enfin, à supposer qu'on réponde à une demande d'aide,
émanant par exemple d'un étudiant qui va passer un examen,
et qu'on lui donne «un coup de pouce» pour qu'il soit bien inspiré,
ce qu'on est en train de faire s'appelle de la magie:
il se pourrait bien qu'il soit préférable, pour son destin,
que cette personne rate tel ou tel concours,
il se pourrait aussi que cela risque de défavoriser quelqu'un d'autre,
ce qui serait injuste...
D'où la notion du «non agir», pour ne pas perturber l'ordre naturel des choses.
On voit bien que de proche en proche,
l'expérience nous apprend à être circonspect.
Il y a beaucoup à apprendre.
On s'aperçoit que certains événements se répercutent sur d'autres,
et qu'en définitive, tout est lié: nous sommes embarqués sur un même bateau.
Or chacun a tendance à considérer
que ses pensées personnelles seront sans conséquence.
Et ils sont des milliards à ne pas se rendre compte
que si on additionne des milliards de petites mauvaises pensées,
<B>ça ne sera pas sans conséquence!</B>
Pourtant, certains continuent à faire de la magie noire,
c-à-d qu'ils n'hésitent pas à faire du tort à d'autres,
en s'imaginant que «Dieu est d'accord puisque ça marche, donc c'est bien».
En fait, dès qu'on fournit quelques efforts
pour développer ses facultés
de façon à mieux observer tous ces phénomènes,
on comprend que nous vivons dans un monde souvent barbare
parce que les gens manquent de sensibilité.
Je suis appelé par mes obligations,
j'ai du bâcler ce message,veuillez m'en excuser.
Documentez-vous au sujet de la théorie du karma,
c-à-d la loi de cause à effet.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
Quand est-ce que Dieu entre en jeu? Réponse: tout le temps.
Cher Libresansdieu,
Par la force des choses, puisque nous sommes là,
nous sommes soumis en permanence aux lois de la création:
1) Celles que nous connaissons déjà (exemple: la pesanteur)
2) Celles que nous ne connaissons pas encore,
comme par exemple certaines règles spirituelles.
Mais au fur et à mesure que les énigmes du (2)
viennent s'ajouter à la liste du (1),
on s'aperçoit tôt ou tard qu'une loi générale va intervenir,
qu'on appelle la loi de cause à effet.
• CATEGORIE 1:
Quelqu'un qui laisserait tomber un gros marteau
juste au-dessus de ses pieds
serait très immature d'accuser Dieu en s'écriant:
«Aïe! ça fait mal, pourquoi Dieu m'a-t-il fait ça?»
Pourtant, de nombreuses personnes réagissent comme ça, par ignorance.
Il convient donc d'observer et de raisonner scientifiquement,
de procéder à des expériences pour vérifier si elles s'avèrent reproductibles,
afin d'être en mesure de faire des prévisions.
• CATEGORIE 2:
De nombreuses personnes qui s'intéressent à la spiritualité
ont déjà entendu parler du «choc en retour».
Mais trop peu l'ont effectivement expérimenté,
si bien qu'ils ne savent pas tout à ce sujet.
Ils résument simplement en disant:
«Si j'envoie de bonnes pensées à quelqu'un,
ou si je prie d'une façon positive pour une autre personne,
l'effet bénéfique que je lui prodigue me reviendra.
Donc je n'ai pas intérêt à rayonner de la haine,
sinon les autres vont me détester en retour.»
A priori, on peut comparer cela à
une balle de ping pong qui rebondit contre un mur,
ou plutôt à une onde qui va se réfléchir,
comme sur un réflecteur.
L'expérience montre que les choses sont plus complexes.
Tout d'abord, dans un premier temps,
on observe l'effet contraire:
Si je prie pour égayer une personne qui souffre d'un chagrin,
je vais probablement ressentir en moi-même sa tristesse,
de surcroit je serai fatigué et je risque de contracter ses maladies éventuelles,
à moins d'être très fort, ou que mes prières soient trop faibles.
D'autre part, à supposer que cette personne souffre des reins,
ce n'est pas forcément le même mal que je vais ressentir,
parce que mes propres caractéristiques vont se supperposer aux siennes.
Et puis si je pense trop à untel le soir,
ça risque fort de l'empêcher de s'endormir.
Néanmoins, si je demande de l'aide au monde céleste
au lieu de m'adresser seulement à Dieu,
de bonnes âmes pourront m'aider bien plus facilement
que si je n'avais sollicité aucune aide de ce genre.
Dans ce cas, il est probable que le résultat sera bien plus fort
que si je m'étais débrouillé tout seul.
Par ailleurs, l'expérience montre que ça fonctionne moins bien
quand on est pris au dépourvu:
Mieux vaut s'y prendre à l'avance pour «préparer le terrain»
c-à-d qu'il faut procéder en plusieurs étapes.
Et enfin, à supposer qu'on réponde à une demande d'aide,
émanant par exemple d'un étudiant qui va passer un examen,
et qu'on lui donne «un coup de pouce» pour qu'il soit bien inspiré,
ce qu'on est en train de faire s'appelle de la magie:
il se pourrait bien qu'il soit préférable, pour son destin,
que cette personne rate tel ou tel concours,
il se pourrait aussi que cela risque de défavoriser quelqu'un d'autre,
ce qui serait injuste...
D'où la notion du «non agir», pour ne pas perturber l'ordre naturel des choses.
On voit bien que de proche en proche,
l'expérience nous apprend à être circonspect.
Il y a beaucoup à apprendre.
On s'aperçoit que certains événements se répercutent sur d'autres,
et qu'en définitive, tout est lié: nous sommes embarqués sur un même bateau.
Or chacun a tendance à considérer
que ses pensées personnelles seront sans conséquence.
Et ils sont des milliards à ne pas se rendre compte
que si on additionne des milliards de petites mauvaises pensées,
<B>ça ne sera pas sans conséquence!</B>
Pourtant, certains continuent à faire de la magie noire,
c-à-d qu'ils n'hésitent pas à faire du tort à d'autres,
en s'imaginant que «Dieu est d'accord puisque ça marche, donc c'est bien».
En fait, dès qu'on fournit quelques efforts
pour développer ses facultés
de façon à mieux observer tous ces phénomènes,
on comprend que nous vivons dans un monde souvent barbare
parce que les gens manquent de sensibilité.
Je suis appelé par mes obligations,
j'ai du bâcler ce message,veuillez m'en excuser.
Documentez-vous au sujet de la théorie du karma,
c-à-d la loi de cause à effet.
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
- Libresansdieu
Ecrit le 30 janv.05, 12:45
Ma question était "Pourquoi a-t-on besoin de Dieu pour s'intérroger sur la raison des choses, les lois de la nature, la morale, la vie bonne, les actions nobles, etc."
Car de Dieu je n'ai aucunement besoin, je crois avoir tout ce qui m'est nécessaire pour philosopher au sein même de ma raison.
Car de Dieu je n'ai aucunement besoin, je crois avoir tout ce qui m'est nécessaire pour philosopher au sein même de ma raison.
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TRANSCENDANCE
Ecrit le 01 févr.05, 12:18Cher Libresansdieu,
Notre conscience est relative, tandis que Dieu est absolu.
Nos raisonnements sont donc limités.
Nous sommes en mesure de venir à bout des questions superficielles,
mais nous nous trompons nous-mêmes dans bien des cas
tant que nous sommes sous le joug des automatismes
qui nous conduisent à confondre l'être et l'avoir.
Exemple: bien des livres scolaires ont prétendu
que la transcendance s'opposait à l'immanence:
http://site.voila.fr/foilogic/immanence.html#bottom
Nous avons besoin de Dieu
<center><B>parce que la cohérence exige l'authenticité</B></center>
<center><B>qui fait intervenir la totalité de l'être.</B></center>
• D'un point de vue théorique:
Pour simplifier, dans un 1er temps, penser que Dieu = cohérence.
Au besoin, considérer que les hommes du passé ignoraient le mot [cohérence].
Il n'en demeure pas moins que
• d'un point de vue pratique:
<center><B>pour raisonner, on ne peut pas se passer de l'esprit</B>.</center>
Or <font color="a00000">
<B>l'esprit aspire à respecter son essence</B></font>
laquelle est (selon moi) de pure <B>cohérence</B>. En effet:
Chaque notion, chaque mot, chaque pensée cherche à s'accorder
avec les autres mots, les autres idées, par affinités.
Sans cette tendance <B>essentielle</B>, (donc sans Dieu ni cohérence)
jamais aucune conscience n'aurait pu se constituer.
• Associons la théorie et la pratique:
on vérifie alors que <B>depuis toujours</B> nous glorifions ainsi
cette inclination ancestrale qui aspire à <font color="a00000"><B>la recherche du sens</B></font>,
car <B>cette prise de conscience construit notre être supérieur</B>.
<center>*****</center>
Nos aïeux l'ont toujours fait, souvent d'une manière naïve.
Aujourd'hui, quand nous raisonnons logiquement,
nous comprenons que pour donner du sens à notre existence,
il faut progresser (c-à-d s'améliorer, grâce à Dieu dans la cohérence):
car une conscience stagnante, ça n'a pas de sens.
Mais nous ne pouvons guère améliorer notre être
en ne faisant intervenir que notre expérience rudimentaire
en matière de psychologie:
car en agissant ainsi, chaque nouveau comportement
consiste à ajouter une nouvelle couche de conscience
<B>comparable à de la peinture ajoutée par dessus les anciennes</B>,
sans nous purifier vraiment de nos <B>problèmes profondément cachés</B>.
A moins de faire intervenir des forces spirituelles puissantes,
nous serons donc toujours <B>divisés</B> (et non pas <B>authentiques</B>),
c-à-d composés d'éléments insuffisamment cohérents.
Certaines parties obscures demeurent en désaccord avec le reste de l'être,
et c'est bien là l'explication de ce processus d'ignorance
qu'on appelle l'<B>inconscient</B> (et qui <B>fausse nos jugements</B>):
car il nous serait impossible de "fonctionner" dans l'incohérence
(sinon nous sombrons dans la folie).
C'est comme si dans un moteur à explosion
l'allumage des bougies était tellement incohérent
que certains cylindres auraient tendance à produire un mouvement inversé.
Alors nous sommes techniquement obligés d'ignorer nos contradictions intimes,
notre nature instaure des barrières d'oubli entre les zones divergentes,
donc des <B>séparations entre divers éléments d'énergie consciente</B>,
et cela ampute nos facultés: nous sommes moins efficaces,
nous sommes parfois injustes parce que prisonniers des automatismes,
ces processus réflexes qui nous induisent souvent en erreur
<B>par manque de lucidité</B> et d'intuition.
Exemple: nous sommes susceptibles de nous tromper (si nous utilisons plusieurs codes)
au moment d'inscrire un mot de passe pour poster un courriel.
En revanche, nous pouvons procéder selon la méthode
que je me suis efforcé d'expliquer dans mes messages précédents.
Cette technique fait intervenir la puissance du souffle de cohérence essentiel,
c-à-d <B>la force créatrice de la vie elle-même</B>, qu'il convient d'aimer.
J'ai pu vérifier que la force de Dieu permet de réharmoniser l'ensemble,
de se purifier de certaines tendances malsaines, de devenir plus créatif,
de dissoudre des peurs inconscientes, etc... et d'améliorer les comportements.
Ce mot [dieu] peut déplaire (pourtant il nous renvoie à l'amour!)
parce que les erreurs, les maladresses, etc... de certains croyants
ont de quoi exacerber les réactions des athées.
Mais si nous considérons que la naïveté et les superstitions des uns
ne doit pas décourager la bonne volonté des autres,
nous pouvons vérifier l'efficacité des techniques spirituelles
que j'ai partiellement décrites:
Cela permet <B>progressivement</B> de perfectionner les êtres
qui décident sincérement de travailler sur eux-mêmes
dans le sens de l'authenticité, donc de l'amour sincère,
mais de surcroît cela se répercute sur l'entourage:
car nous communiquons par l'intermédiaire de nos chakras.
L'influence divine mettra de l'ordre dans les idées,
par exemple on ne dira plus
«je ramène la poubelle» en même temps que «je ramène ma fiancée chez elle»
mais plutôt «je rapporte la poubelle» tandis que «je reconduis ma belle...»
parce qu'on fera la distinction entre les êtres et les objets.
[Rappel: la plupart de nos difficultés découlent de la confusion entre l'être et l'avoir.]
<center>*****</center>
L'expérience montre que nous préférons les perspectives heureuses,
ce qui suppose d'améliorer nos raisonnements et nos comportements.
Or <B>cela exige d'être de plus en plus détaché</B>.
Sans cette sagesse, le vivant est menacé:
l'attachement égoïste provoque des guerres et multiplie les atrocités,
l'usine de Tchnernobyl s'enfonce de plus en plus, etc...
et pourtant <B>chacun avait cru avoir bien raisonné</B>.
Au lieu de se laisser aller machinalement
aux automatismes d'attachement instinctif,
<center><B>il convient de collaborer consciemment avec Dieu</B>.</center>
On pourrait inventer un autre mot,
mais cela reviendrait à entretenir un certain degré de mauvaise foi.
Nous pouvons faire intervenir notre «Je suis» profond
en faisant l'effort d'être attentif à chacun de nos gestes:
c'est la technique du <B>zen</B> pour s'éveiller à l'authenticité.
Au lieu de ne plus savoir par exemple
ce que nous étions venus faire dans telle pièce où à tel endroit,
on disposera d'un esprit alerte, donc mieux avisé.
Au lieu d'éplucher des pommes de terre
tout en regardant la télévision distraitement,
et en mâchant du chewing-gum avec désinvolture,
on sera présent à chaque geste,
et non plus comme un demi-zombie qui se demande parfois
«Qu'est-ce que j'ai bien pu faire de mes clés?».
Mais la cohérence concerne à la fois les idées et les <B>sentiments</B>.
La santé mentale se répercute sur celle du corps physique,
mais la transcendance nous appelle beaucoup plus loin que cela
si nous favorisons en nous l'influence de ce souffle d'<B>amour universel</B>.
On peut développer de nouvelles couches de conscience,
et accéder à une réalité plus vaste, là où intervient l'amour détaché:
mais pour connaître (naître avec) il faut s'aventurer humblement
à procéder aux expériences requises, même si elles font peur.
Que diriez-vous à un soi-disant aveugle
qui aurait passé son existence les yeux fermés
sans jamais avoir essayé de les ouvrir?
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
Notre conscience est relative, tandis que Dieu est absolu.
Nos raisonnements sont donc limités.
Nous sommes en mesure de venir à bout des questions superficielles,
mais nous nous trompons nous-mêmes dans bien des cas
tant que nous sommes sous le joug des automatismes
qui nous conduisent à confondre l'être et l'avoir.
Exemple: bien des livres scolaires ont prétendu
que la transcendance s'opposait à l'immanence:
http://site.voila.fr/foilogic/immanence.html#bottom
Nous avons besoin de Dieu
<center><B>parce que la cohérence exige l'authenticité</B></center>
<center><B>qui fait intervenir la totalité de l'être.</B></center>
• D'un point de vue théorique:
Pour simplifier, dans un 1er temps, penser que Dieu = cohérence.
Au besoin, considérer que les hommes du passé ignoraient le mot [cohérence].
Il n'en demeure pas moins que
• d'un point de vue pratique:
<center><B>pour raisonner, on ne peut pas se passer de l'esprit</B>.</center>
Or <font color="a00000">
<B>l'esprit aspire à respecter son essence</B></font>
laquelle est (selon moi) de pure <B>cohérence</B>. En effet:
Chaque notion, chaque mot, chaque pensée cherche à s'accorder
avec les autres mots, les autres idées, par affinités.
Sans cette tendance <B>essentielle</B>, (donc sans Dieu ni cohérence)
jamais aucune conscience n'aurait pu se constituer.
• Associons la théorie et la pratique:
on vérifie alors que <B>depuis toujours</B> nous glorifions ainsi
cette inclination ancestrale qui aspire à <font color="a00000"><B>la recherche du sens</B></font>,
car <B>cette prise de conscience construit notre être supérieur</B>.
<center>*****</center>
Nos aïeux l'ont toujours fait, souvent d'une manière naïve.
Aujourd'hui, quand nous raisonnons logiquement,
nous comprenons que pour donner du sens à notre existence,
il faut progresser (c-à-d s'améliorer, grâce à Dieu dans la cohérence):
car une conscience stagnante, ça n'a pas de sens.
Mais nous ne pouvons guère améliorer notre être
en ne faisant intervenir que notre expérience rudimentaire
en matière de psychologie:
car en agissant ainsi, chaque nouveau comportement
consiste à ajouter une nouvelle couche de conscience
<B>comparable à de la peinture ajoutée par dessus les anciennes</B>,
sans nous purifier vraiment de nos <B>problèmes profondément cachés</B>.
A moins de faire intervenir des forces spirituelles puissantes,
nous serons donc toujours <B>divisés</B> (et non pas <B>authentiques</B>),
c-à-d composés d'éléments insuffisamment cohérents.
Certaines parties obscures demeurent en désaccord avec le reste de l'être,
et c'est bien là l'explication de ce processus d'ignorance
qu'on appelle l'<B>inconscient</B> (et qui <B>fausse nos jugements</B>):
car il nous serait impossible de "fonctionner" dans l'incohérence
(sinon nous sombrons dans la folie).
C'est comme si dans un moteur à explosion
l'allumage des bougies était tellement incohérent
que certains cylindres auraient tendance à produire un mouvement inversé.
Alors nous sommes techniquement obligés d'ignorer nos contradictions intimes,
notre nature instaure des barrières d'oubli entre les zones divergentes,
donc des <B>séparations entre divers éléments d'énergie consciente</B>,
et cela ampute nos facultés: nous sommes moins efficaces,
nous sommes parfois injustes parce que prisonniers des automatismes,
ces processus réflexes qui nous induisent souvent en erreur
<B>par manque de lucidité</B> et d'intuition.
Exemple: nous sommes susceptibles de nous tromper (si nous utilisons plusieurs codes)
au moment d'inscrire un mot de passe pour poster un courriel.
En revanche, nous pouvons procéder selon la méthode
que je me suis efforcé d'expliquer dans mes messages précédents.
Cette technique fait intervenir la puissance du souffle de cohérence essentiel,
c-à-d <B>la force créatrice de la vie elle-même</B>, qu'il convient d'aimer.
J'ai pu vérifier que la force de Dieu permet de réharmoniser l'ensemble,
de se purifier de certaines tendances malsaines, de devenir plus créatif,
de dissoudre des peurs inconscientes, etc... et d'améliorer les comportements.
Ce mot [dieu] peut déplaire (pourtant il nous renvoie à l'amour!)
parce que les erreurs, les maladresses, etc... de certains croyants
ont de quoi exacerber les réactions des athées.
Mais si nous considérons que la naïveté et les superstitions des uns
ne doit pas décourager la bonne volonté des autres,
nous pouvons vérifier l'efficacité des techniques spirituelles
que j'ai partiellement décrites:
Cela permet <B>progressivement</B> de perfectionner les êtres
qui décident sincérement de travailler sur eux-mêmes
dans le sens de l'authenticité, donc de l'amour sincère,
mais de surcroît cela se répercute sur l'entourage:
car nous communiquons par l'intermédiaire de nos chakras.
L'influence divine mettra de l'ordre dans les idées,
par exemple on ne dira plus
«je ramène la poubelle» en même temps que «je ramène ma fiancée chez elle»
mais plutôt «je rapporte la poubelle» tandis que «je reconduis ma belle...»
parce qu'on fera la distinction entre les êtres et les objets.
[Rappel: la plupart de nos difficultés découlent de la confusion entre l'être et l'avoir.]
<center>*****</center>
L'expérience montre que nous préférons les perspectives heureuses,
ce qui suppose d'améliorer nos raisonnements et nos comportements.
Or <B>cela exige d'être de plus en plus détaché</B>.
Sans cette sagesse, le vivant est menacé:
l'attachement égoïste provoque des guerres et multiplie les atrocités,
l'usine de Tchnernobyl s'enfonce de plus en plus, etc...
et pourtant <B>chacun avait cru avoir bien raisonné</B>.
Au lieu de se laisser aller machinalement
aux automatismes d'attachement instinctif,
<center><B>il convient de collaborer consciemment avec Dieu</B>.</center>
On pourrait inventer un autre mot,
mais cela reviendrait à entretenir un certain degré de mauvaise foi.
Nous pouvons faire intervenir notre «Je suis» profond
en faisant l'effort d'être attentif à chacun de nos gestes:
c'est la technique du <B>zen</B> pour s'éveiller à l'authenticité.
Au lieu de ne plus savoir par exemple
ce que nous étions venus faire dans telle pièce où à tel endroit,
on disposera d'un esprit alerte, donc mieux avisé.
Au lieu d'éplucher des pommes de terre
tout en regardant la télévision distraitement,
et en mâchant du chewing-gum avec désinvolture,
on sera présent à chaque geste,
et non plus comme un demi-zombie qui se demande parfois
«Qu'est-ce que j'ai bien pu faire de mes clés?».
Mais la cohérence concerne à la fois les idées et les <B>sentiments</B>.
La santé mentale se répercute sur celle du corps physique,
mais la transcendance nous appelle beaucoup plus loin que cela
si nous favorisons en nous l'influence de ce souffle d'<B>amour universel</B>.
On peut développer de nouvelles couches de conscience,
et accéder à une réalité plus vaste, là où intervient l'amour détaché:
mais pour connaître (naître avec) il faut s'aventurer humblement
à procéder aux expériences requises, même si elles font peur.
Que diriez-vous à un soi-disant aveugle
qui aurait passé son existence les yeux fermés
sans jamais avoir essayé de les ouvrir?
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)
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