Cher Libresansdieu,
Je suis sincèrement désolé
si vous avez vraiment l'impression que j'aurais voulu vous insulter,
mais comme vous pouvez le constater, <B>mes réflexions nous concernent tous</B>:
(...) <B>notre</B> raison d'être (...)
(...) cohérence dans <B>notre</B> vie.
(...) Dès lors qu'on s'écarte (de <B>notre</B> nature profonde, donc) du sens de l'existence
(...) comprendre ce qu'est <B>notre</B> nature profonde,
(...) <B>notre</B> principe existentiel.
(...) <B>notre</B> ouverture d'esprit.
(...) pour qu'<B>on</B> comprenne le sens de ces clins d'oeil,
et de tous ces encouragements
qui <B>nous</B> invitent à aimer et à respecter la vie
(...) <B>tout le monde</B> se perd dans les interprétations erronées.
(...) <B>Notre</B> nature profonde n'est pas celle d'un simple animal ordinaire
(...) <B>Nous</B> sommes destinés à prendre du recul pour raisonner
(...) En plus de l'animal qui vit en <B>nous</B>, il y a un esprit supérieur.
(...) il faut <B>s'aimer soi-même</B> pour réussir à aimer les autres.
(...) <B>Nous</B> sommes "programmés" pour viser la cohérence des accords harmonieux.
(...) <B>Nous</B> sommes "programmés" pour viser la cohérence.
(...) les infos <B>nous</B> apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
(...) C'est à <B>l'humanité</B> de renverser la vapeur en progressant.
(...) Cette prise de conscience doit <B>nous</B> conduire
à décider de manifester l'unité du <B>genre humain</B>.
(...) La nature spontanée de l'animal est plus simple que la <B>nôtre</B>
<B>l'homme</B> n'a pas pour vocation de se laisser aller, (...) mais de se transcender.
(...) il existe en <B>nous</B> des facultés spirituelles
qui <B>nous</B> ouvrent des perspectives plus vastes
que celle de vivre comme un animal.
Non seulement sur ce forum (voir ci-dessus) mais aussi sur les autres,
je me préoccupe de <B>l'homme en général</B>,
et si je fais figurer une photo de la Terre,
c'est en relation avec la citation qui figure en signature,
et que je reproduis ci-dessous en entier:
«La Terre n'est qu'un seul pays, et <B>tous les hommes</B> en sont les citoyens.»
(voir mon site Internet)
Le sens général de mes interventions vise la manifestation de l'unité.
Je suis moi-même habité par des mécanismes réflexes
comme tout le monde, et si j'explique sur mon site
ainsi que sur ces pages, en quoi ces automatismes posent problème,
ça n'est sûrement pas pour m'insulter moi-même,
ni pour insulter l'humanité.
Mon intention est d'informer mes semblables de ces choses
que j'aurais aimé qu'on m'explique dès l'âge de 14 ans.
J'étudie ce sujet depuis le début des années 1990,
mes expériences quotidiennes m'ayant permis de vérifier les fondements
de la médecine antique chinoise (sans pratiquer l'acupuncture, je le précise)
en relation avec le fonctionnement de nos chakras.
Il s'en suit que j'ai développé des facultés hors du commun,
dont je ne parle guère parce qu'on ne me croirait pas,
mais il conviendra que je fasse profiter les autres de mes constats.
Il ne suffirait pas (par exemple) de participer à des groupes de prières
pour parvenir à un tel résultat. Cela exige de grands efforts.
Je ne peux pas résumer tout ça en quelques lignes.
Pour l'instant ce forum me permet d'apprendre à m'expliquer,
voyez vous-mêmes à quel point je ne sais pas y faire,
puisqu'il vient d'y avoir plusieurs malentendus.
Veuillez m'excuser si véritablement vous n'avez pas compris
le texte que j'ai rédigé page 3 de ce forum
Posté le: Lun Jan 24, 2005 1:15 am Sujet du message: COMPREHENSION
Salut Wiwi,
j'ai bien aimé ton introduction (...)
Le point de départ est judicieux (...)
tout se passe comme si les croyants cherchaient à s'amputer
de [...(la conscience)...] qui, au bout du compte, leur cause bien du souci
en les empêchant d'être disponibles pour vivre la vie présente.
Tout se passe donc comme si, pour oublier leur angoisse,
ils cherchaient inconsciemment à revenir à l'état d'animal.
Bien entendu, l'intention véritable des religions,
c'est d'éveiller les consciences.
Mais les préceptes religieux sont souvent mal compris,
on le voit bien quand <B>certains</B> athées disent:
«Y'a pas d'mal à s'faire du bien...»
On se goinfre à en vomir, on se saoule comme un cochon...
A l'évidence, ça s'est un comportement bestial!
Cette recherche instinctive du plaisir pour le plaisir
s'oppose à notre raison d'être, parfaitement logique,
qui ne doit pas s'égarer pas dans les plaisirs sans signification.
Voila ce que veulent dire les religions. Pourquoi disent-elles cela?
(...)
l'enjeu de la foi est une affaire d'authenticité,
donc de cohérence dans notre vie. [...etc...] (<B>foilogic</B>)
J'ai mis en gras le mot [<B>certains</B>] afin que chacun note bien
que je ne mets pas tout le monde dans le même «sac».
J'estime donc que
<center><B>les préceptes religieux sont généralement mal compris</B></center>
On pourrait croire quils préconisent un ascétisme rigoureux
qui traduirait une sorte de haine de soi.
Or j'écris clairement que
«l'enjeu de la foi est une affaire d'authenticité,
donc de cohérence dans notre vie».
Il est tout à fait logique d'être joyeux (par exemple)
quand on sauve la vie d'un être humain.
Il convient d'éprouver <B>des sentiments justes</B>
(pour être informé correctement de ce qui est)
ce senti-mental n'étant pas destiné à
rechercher du plaisir pour lui-même.
Si l'humain est pourvu de la faculté de connaître
au moyen de sensations et sentiments,
ce n'est pas dans le but de rechercher la jouissance pour elle-même.
Si nous commettons l'erreur de manger (par exemple)
davantage pour le plaisir que pour nourrir le corps physique,
les religions disent que c'est un péché,
et je suppose que chacun comprend maintenant
cet état d'esprit qui vise l'authenticité:
nos sens nous informent, <B>les sentiments prolongent l'info perçue</B>,
mais notre santé et nos jugements se dégraderont
si nous nous enlisons dans <B>l'attachement</B> à leur résonance.
Cela nous conduira à commettre de plus en plus d'excès. Lire:
http://site.voila.fr/foilogic/attachement.html#bottom
Nous risquons l'écoeurement pour commencer,
mais plus tard ça sera la dépression, et ainsi de suite...
Chacun comprendra ce que je mentionne sur mon site Internet:
l'authenticité engage toutes les couches de la conscience,
qu'il faudrait donc harmoniser pour être cohérent.
<B>Faute de quoi, on est en conflit avec soi-même</B>.
Or nous sommes tous habités par des couches de conscience primitive,
nourries par un processus instinctif (par exemple pour marcher).
C'est l'énergie instinctive qui nourrit nos automatismes
(exemple: on dit 2 et 2 font 4 sans réfléchir).
Malheureusement, de nombreux processus de ce genre
<B>se figent</B> notamment pendant la petite enfance, si bien
que nous sommes parasités, par exemple par des peurs immatures.
Conséquence: nos incohérences provoquent des ruptures inconscientes,
des peurs de connaître et de savoir, des refus d'aimer ce qui est,
et ainsi de suite... <B>L'attachement nous empêche donc d'aimer</B>
puisqu'on ne pourrait pas prétendre aimer vraiment sans connaître (naître avec).
Les incohérences de cet inconscient empêchent l'authenticité,
tandis que la guérison de nos conflits intimes et cachés
favorise le passage des forces spirituelles (je peux en témoigner).
Résultat: on devient conscient de douleurs auparavant inconnues...
et ça fait mal! Car on avait préféré ignorer, ne pas ressentir la souffrance.
Contrairement à ce qu'imaginent certains croyants,
le travail spirituel n'est pas de tout repos.
Il s'en suit une phrase que vous avez probablement déjà entendue
«Y'a pas d'mal à s'faire du bien...»
dont certains athées se servent <B>pour exprimer leur réprobation</B>
à l'égard de certaines restrictions religieuses,
parce qu'ils ne se sont pas avisés des explications précédentes.
Certains décident même de riposter comme des délinquants en révolte.
Ceci dit, je ne suis pas favorable aux mortifications,
mais c'est une voie que certains ont choisi
pour dompter l'animal qui vit en eux.
Moi je préfère l'apprivoiser... ou le purifier par d'autres méthodes,
en vue d'harmoniser et de clarifier la conscience.
(Les deux vont de pair).
Je n'ai pas dit que l'accroissement de la conscience était une nuisance:
A l'heure actuelle, l'accroissement de la conscience n'apporte guère de bonheur
puisque les infos nous apportent plutôt des mauvaises nouvelles.
La bonne nouvelle, c'est que l'amour est possible,
à condition de ne pas le confondre avec l'attachement sentimental. (<B>foilogic</B>)
Le bonheur est <B>qualitatif</B> (de même l'amour permet de s'accorder qualitativement)
tandis que l'attachement est quantitatif:
l'instinct veut toujours plus, il veut faire des réserves... de «nourriture sentimentale»
à la manière d'un écureuil qui fait des provisions pour survivre.
J'ai voulu montrer la primauté de la qualité d'être. J'abrège: du point de vue spirituel,
le bonheur n'est pas affaire de quantité! La joie de l'être découle du progrès de la cohérence.
Or <B>la cohérence est qualitative</B>. Mais l'instinct recherche jalousement des quantités,
donc il perpétue ainsi l'égo puisqu'il vise sa survie... A notre époque,
l'accroissement (<B>quantitatif</B>) de la conscience n'est pas forcément source de bonheur:
de nos jours, cela risque plutôt d'être une source de soucis supplémentaires,
puisque ça suppose de connaître (naître avec) des incohérences (donc d'en souffrir).
Cela ne veut pas dire que je préconise l'ignorance!
Si on travaille à se connaître soi-même en vue de perfectionner son être (pour être juste),
si on fait l'effort de se transformer en vue d'accepter les choses telles qu'elles sont,
peut-être alors qu'on accèdera à la paix intérieure. Finies les révoltes impulsives.
Mais qui donc en est capable? Beaucoup s'orientent vers la résignation... ou l'illusion.
J'espère que vous me considèrerez effectivement comme un ami
puisque c'est ainsi que vous vous êtes adressé à moi:
«Mon ami, vos réponses ont la forme et le fond de la poésie.»
Amicalement,
Jacques NOWAK (auteur du site: LA LOGIQUE DE LA FOI)