Bonsoir Nasser,
pauvre dauphin
Pourquoi m'appelles-tu "pauvre dauphin" ? N'est-il pas possible de discuter en se respectant ? Je ne tiens pas pour ma part à te manquer de respect Nasser ! Je veux juste te montrer qu'il y a à gagner de ne pas se précipiter dans nos lectures.
c'est DIEU qui demanda a mohammed sws de lutter contre leurs ennemis! comme il l'a demander a moïse et les prophètes...
Mais tout cela est fini Nasser.
si t'es pas d'accord avec DIEU tant pis! jésus a dit:
si mon royaume était de ce monde mes gens auraient combattu pour moi pour pas être livré aux juifs
tu vois bien que jésus n'est pas contre la guerre juste
Tu es sûr d'avoir bien lu Nasser ? Ou bien tu ne lis plus que croyant trouver partout confirmation de TA conception ?
Car il me semble que une fois de plus tu déformes les paroles de Jésus...
Car c'est ce passage que tu voulais citer :
«
Mon royaume n’est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant
mon royaume n’est point ici-bas. Pilate lui dit : Tu es donc roi ? Jésus répondit : Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix. » (Jean 18 : 36-37).
Jésus affirme bel et bien que son royaume n'est pas de ce monde, n'est pas ici bas sur la terre...
Jésus a été livré aux juifs... car le royaume de Jésus n'est pas de ce monde...
Voici les explications bibliques que la "nouvelle Jérusalem" n'est pas de ce monde :
La Jérusalem antique était certes le lieu de manifestation de l'Eternel, mais cette ville avec son temple et ses ordonnances n'était que la préfiguration de la Jérusalem céleste à venir de laquelle coule le fleuve de vie. C'est en se tournant vers elle et non vers la cité terrestre devenue un repaire de démons que les judéo-chrétiens ont été sauvés de la destruction de l'an 70 (cf. Joël 2 : 32).
L’Ecriture sainte est tout à fait claire quant à la nature spirituelle du royaume. Jamais il n’y est question d’un futur royaume terrestre situé au Moyen-Orient, et qui aurait été ajourné à cause de l’incrédulité des Juifs.
Jésus n’a pas désiré devenir le roi d’une nation : « Ces gens, ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient : Celui-ci est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde. Et Jésus, sachant qu’ils allaient venir l’enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, lui seul. » (Jean 6 : 14-15).
En réponse aux pharisiens puis à Ponce Pilate, Jésus a spécifiquement déclaré que son royaume ne serait pas d’ordre politique : « Les pharisiens demandèrent à Jésus quand viendrait le royaume de Dieu. Il leur répondit : Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards. On ne dira point : Il est ici, ou : Il est là. Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous. » (Luc 17 : 20-21).
«
Mon royaume n’est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n’est point ici-bas. Pilate lui dit : Tu es donc roi ? Jésus répondit : Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix. » (Jean 18 : 36-37).
Lorsqu’il rencontra les disciples d’Emmaüs qui se demandaient quand allait paraître le Messie qui repousserait les Romains hors de Judée, Jésus les réprimanda et leur expliqua le sens des écrits de l’Ancien Testament : « Nous espérions que ce serait lui qui délivrerait Israël ; mais avec tout cela, voici le troisième jour que ces choses se sont passées… O Hommes sans intelligence, et dont le cœur est lent à croire tout ce qu’on dit les prophètes ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrit ces choses, et qu’il entrât dans sa gloire ? » (Luc 24 : 21.25-26).
Plus tard, l’apôtre Paul exhorta les membres de l’Eglise de Philippes à ne pas suivre les zélotes dans leurs agissements : « Soyez tous mes imitateurs, frères, et portez les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous. Car il en est plusieurs qui marchent en ennemi de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlé, et j'en parle maintenant encore en pleurant. Leur fin sera la perdition ;
ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte,
ils ne pensent qu'aux choses de la terre.
Mais notre cité à nous est dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu'il a de s'assujettir toutes choses. » (Philippiens 3 : 17-21).
Enfin, l’auteur de l’épître aux Hébreux déclara que la terre de Canaan n’était qu’une préfiguration de la cité céleste attendue par les saints de l’Ancien Testament. Il encouragea les judéo-chrétiens de cette époque à conserver la foi en la promesse donnée à Abraham :
« C’est par la foi qu’Abraham, lors sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait. C’est par la foi qu’il vint s’établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu’Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.
Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur … C’est dans la foi qu’ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises ; mais ils les ont vues de loin, crues et saluées, reconnaissant qu’ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. Ceux qui parlent ainsi montrent qu’ils cherchent une patrie. S’ils avaient eu en vue celle d’où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner.
Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité. » (Hébreux 11 : 8-10.13-16).
« Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu ; à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient affectés ; à ce qu’il n’y ait ni impudique, ni profane comme Esaü, qui pour un mets vendit son droit d’aînesse. Vous savez que, plus tard, voulant obtenir la bénédiction, il fut rejeté, quoiqu’il la sollicitât avec larmes ; car son repentir ne put avoir aucun effet. Vous ne vous êtes pas approchés d’une montagne qu’on pouvait toucher et qui était embrasée par le feu, ni de la nuée, ni des ténèbres, ni de la tempête, ni du retentissement de la trompette, ni du bruit des paroles, tel que ceux qui l’entendirent demandèrent qu’il ne leur en fût adressé aucune de plus, car ils ne supportaient pas cette déclaration : Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée et percée d’un dard. Et ce spectacle était si terrible que Moïse dit : Je suis épouvanté et tout tremblant !
Mais vous avez choisi de vous approcher de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le chœur des anges, de l’assemblée des premiers-nés inscrits dans les cieux, du juge qui est le Dieu de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection, de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l’aspersion qui parle mieux que celui d’Abel. » (Hébreux 12 : 15-24).
Cordialement,
Dauphin