Absolument pasClement Clement a écrit :Enfait, on remarque que tous ici sommes croyants.
Tout à fait d'accord, c'est pour cela que je rejette tout ce qui est croyance et donc invérifiable : Dieu, la chance, l'astrologie etc.Clement Clement a écrit :Ce genre de questions inverifiables, je pense que ćest mieux de les mettre de coté.
Mais c'est ce que j'ai fait et c'est comme ça que bien qu'étant un fervent croyant, je suis devenu athée.Clement Clement a écrit :Vraiment j’aimerai que l´on arrive a tout relativiser, excluant notre amour pour un mode de pensee ou un autre
Pourtant Dieu était, pour moi, un ami de tous les instants, je le priais plusieurs fois par jour, je pensais à lui à chaque moment de ma vie, il était plus proche qu'un père...... mais j'ai compris depuis que c'était un ami imaginaire comme le Père Noël.
Comme l'a si justement dit Le Vieux Chat, je n'ai pas choisi de devenir athée, je ne pouvais simplement plus croire en Dieu !
Alors évidemment, je ne peux pas prouver que Dieu n'existe pas tout comme je ne peux pas prouver que les sirènes ou les licornes n'existent pas.
Donc imaginons un instant qu'il existe une entité qui soit à l'origine de l'Univers, nous pouvons au moins exclure une chose
- cette entité ne s'est pas révélée aux humains puisque toutes les religions enseignent d'une manière ou d'une autre la création des premiers humains ce qui est scientifiquement faux donc tous les livres qui se réclament être de Dieu en enseignant la Création sont des oeuvres humaines
D'autre part, comment imaginer qu'une entité supérieure qui ait crée l'Univers (voire plusieurs univers) s'émeuve de ce qu'il y a dans l'assiette d'un terrien ou s'il a signé un contrat de mariage avant d'avoir un rapport sexuel ? Lorsqu'on sait l'immensité de l'Univers, les forces colossales qui s'y exercent penser que tout tourne autour de ce que nous, misérables petits êtres sur une minuscule planète, faisons vire au délire mégalomaniaque.
Alors, tu émets l'hypothèse que Dieu pourrait être méchant... pourquoi pas et alors, raison de plus pour l'ignorer, au moins pour un temps, on aura été heureux