Re: grand icone de l'occident peuvent ils être remis en cau
Posté : 25 nov.18, 07:49
C'est entendu . Tout fonctionne normalement pour moi. Je réponds ci-dessous aux points soulevés.José a écrit :NB : J'attends de vos nouvelles avant d'envoyer la suite parce que cette ****** de page n'arrête pas de planter : "Access Denied" non stop. Même en éditant, rien ne fonctionne...
Nous sommes donc d'accord .José a écrit : Ni n'est noir de peau, il n'a pas non plus de grands yeux rouges ni des cornes sur la tête, ni la peau huileuse, etc. Bref, il ne ressemble en rien à la description qui a été donnée par les trois jeunes filles. Par ailleurs, il semblerait qu'elles le connaissaient : pourquoi en auraient-elles subitement eu peur ? Et les autres "nains", qui sont-ils ? Peut-être y a-t-il un nid quelque part...
J'ai de nouveau visualisé le reportage concernant les réponses de l'officier à partir de 16'40" et à partir de 22'48" : il ne change pas de version. Il y a trois nains dans son histoire, et il explique deux situations différentes : celle de l'hôpital puis celle de la frayeur des trois jeunes filles. Cette histoire est peu crédible selon moi mais le major Calza reste cohérent avec lui-même. Gildas Bourdais tente de manière déloyale de le décrédibiliser :José a écrit :Et pourquoi avoir changé plusieurs fois de version pour au final nous dire que rien de tout ça n'est vrai.
L'expression "quelques jour plus tard" laisse entendre que le major a eu le temps de changer d'explication et de donner une autre version. Or dans le reportage tout montre que les journalistes ne l'ont vu qu'une fois :Gildas Bourdais a écrit :On y voit [dans la vidéo] un officier du nom de Calza (nom visible sur son uniforme) fournir deux explications successives pour les observations de créatures à Varginha. Il suppose d’abord que les gens ont vu, à l’hôpital Régional, un couple de nains dont la femme était enceinte ; puis il fournit une seconde explication, quand les journalistes reviennent quelques jours plus tard : il y avait un nain handicapé mental, au physique très particulier, dans le quartier de Jardim Andere.
- De 16'34 à 16'41 : "Après plusieurs heures d'attente un commandant de la base militaire a accepté de nous donner une interview exclusive pour faire le point une fois pour toute sur cet incident". => Cela révèle au passage un certain agacement d'être fréquemment sollicité sur cet incident, d'où (hypothèse de ma part) une explication bidon de nains afin de donner du concret aux enquêteurs, pour mieux s'en débarrasser, "circulez, il n'y a rien à voir" comme vous dites ;
- À partir de 16'40" (1re explication) et à partir de 22'48" (2e explication) : en arrière-plan, même météo, même camion, mêmes plis de bâche, même corde qui pend au vent à l'arrière du camion, mêmes reflets dans le pare-brise => même moment.
Douter de tout ou tout croire sont deux solutions également commodes, qui nous dispensent de réfléchir."José a écrit :En ce qui concerne ce cas précis, cela suffit pour ma part à l'envisager sérieusement. Il serait malhonnête et ridicule de la balayer d'un revers de la main sous prétexte que cela n'entre pas dans nos schémas de pensée. S'il ne s'agit ni d'une affaire de nains ni d'extraterrestres, qu'était-ce ?
— Henry Poincaré
Il ne faut certes pas tout balayer d'un revers de mains, mais il ne faut pas non plus prendre pour argent comptant tout ce qui va contre la version officielle. Ce n'est pas mieux. Ce n'est pas parce qu'une personne a tort que son adversaire a nécessairement raison. Le mieux est d'exercer notre esprit critique sur toutes les versions.
King Julian a écrit : Comment les policiers ont-ils pu, le jour même, être identifiés en tant que tels par les témoins étant donné qu'ils étaient des services secrets de la PM, en civil et dans une voiture banalisée ?
Cette déduction est logique mais elle est surtout anachronique. Les témoins ont fait dans la sur-interprétation car rien n'indiquait qu'il s'agissait de policiers sur le moment. Si la rumeur sur les ET circulait déjà, ç'aurait pu être l'agissement de simples citoyens souhaitant collaborer ou pour leur propre compte, ou, pourquoi pas, de mafiosos locaux cherchant à se tailler une part de gâteau dans cet évènement (en revendant l'ET à prix d'or au gouvernement ou des labo de recherche... Spéculations de ma part pour illustrer mon propos).José a écrit :Peut-être est-ce une déduction logique des témoins au vu des agissements desdits policiers.
Ce témoignage est fragile, et il a de bonne chance d'être faux car il concorde difficilement avec ceux du reportage vidéo.
Selon le blog de GB, Marco E. Chereze était l'un de ces deux policiers ayant capturé vers 18h le quatrième ET. Les deux policiers ont d'abord emmené l'ET dans une antenne médicale de proximité, puis l'ont déplacé vers l'hôpital régional en passant chez les parents de M. E. Chereze. C'est avec cette capture que le blog de GB fait le lien avec l'infection de M. E. Chereze.
GB écrit aussi au début de son blog :
"D’autres témoignages, on va le voir, recoupent bien celui-ci, sur le transport du blessé à l’hôpital Humanitas, le soir du dimanche 21 janvier. Disons-le déjà, il s’agissait sans doute de l’être blessé aperçu par les jeunes filles, qui avait été capturé le même soir par deux policiers, non loin de là. Mais poursuivons le fil de cette enquête qui va de surprise en surprise."
Selon le reportage vidéo :
- De 23'42" à 24'08" : "C'est sur cette route que le samedi soir vers 10h une patrouille militaire a vu une autre créature blessée sur le bas-côté. Et ils ont pris la décision de la capturer comme la première. Et ils l'ont mise dans un filet sans trop de mal et l'on amené à l'hôpital de Varginha à quelques kilomètres de là."
- De 24'17" à 25'28" : "Le lundi 22 janvier 1996 un convoi militaire de trois camions a quitté l'ESA et s'est dirigé vers Varginha. Deux lieutenants des services secrets de l'armée brésilienne était à la tête des opérations. Ce sont des officiers des services secrets, la plupart des militaires ne savent même pas qui ils sont. Sur la route à la sortie de Varginha nous avons vu une drôle de créature accroupie sur le bas-côté, alors nous nous sommes arrêtés. Quand nous avons réalisé ce que c'était, nous avons tous eu un choc. Mais nous avons reçu l'ordre de la mettre à l'arrière du camion et d'aller à l'hôpital."
- De 25'28" à 31'47" : il est question d'un seul ET examiné à l'hôpital ;
- De 31'47" à 32'05" : "Peu de temps après les évènements, l'un des soldats que l'ont pensait avoir été en contact avec la créature est mort. Marco Eli Chereze, 23 ans, était policier militaire en civil à la base militaire. Il est mort à quelques semaines des incidents (...)"
Tout ceci fragilise encore plus le témoignage sur les policiers en civil décrit par GB. C'est louche .
King Julian a écrit : Et pourquoi dans les autres cas, ce sont pompiers et militaires avec leur matériel, armes et toutes précautions qui sont allés récupérer les ET alors qu'a contrario les deux policiers n'étaient manifestement pas du tout équipés (et en sous-nombre par comparaison) pour cette opération...
Admettons que seule la version de GB est correcte, les interventions plus tardives mentionnée dans le reportage étant les deux fausses versions. Votre réponse est logique. Néanmoins, si cette discrétion était préparée, cela pose d'autres questions : l'imprudence que nous avons tous les deux appuyées et qui s'est soldée par la mort de M. E. Chereze est moins compréhensible, car étant préparés ils auraient dû être mieux équipés. Autre aspect qui rentre en conflit avec cette préparation : ils ne savent pas quoi faire de cet ET : ils l'amènent d'abord à une antenne médicale, puis (erreur) se font rediriger vers l'hôpital... Leurs instructions semblent manquer de clarté pour ce format de patrouille pourtant intentionnel .José a écrit :Il faut noter que l'intervention des policiers en civil s'est faite en tout dernier lieu. Les précédentes opérations, menées par les pompiers et l'armée, ont logiquement éveillé l'attention de nombreux témoins. Il peut sembler compréhensible qu'ils aient voulu par la suite se montrer plus discrets afin de limiter l'effervescence populaire.
King Julian a écrit : Mourir d'infection due à des produits toxiques est rationnelles, mais le fait que ces substances toxiques restent inconnues donnent une dimension mystérieuse au drame. Or ces substances étaient-elles inconnues ? Non, du moins ce n'est pas dit dans le rapport d'analyse que l'on peut visualiser sur la vidéo, de 32'56" à 33'08", dans lequel on peut lire :
(...) "présence de fines granulations toxiques à 8 %". En aucun cas il n'est mention de substances inconnues...
José a écrit :Beaucoup détestent reconnaître ne pas savoir, beaucoup aussi sont fortement allergiques au "mystérieux", a fortiori parmi les hommes de science.
Oui mais encore plus nombreuses sont les personnes ambitieuses, qui rêverait au profit de leur carrière en pointant le mystère, en l'étudiant pour en devenir "les inventeurs". Sortir du cadre conventionnel pour percer dans la célébrité... C'est d'ailleurs ce qui s'est passé avec les scientifiques les plus connus : Einstein, Bohr, Newton, etc. Ils ont planché sur nos ignorances pour mieux percer le mystère.
En fait non. Les substances sont connues : "Mais, en moins de vingt jours, trois bactéries ont attaqué le policier. TROIS !"José a écrit : Le médecin responsable de ce rapport reconnaîtra quand même plus tard, à contre-cœur, que ces substances toxiques sont bel et bien d'origine inconnue...
Selon le témoignage de GB, ce n'est pas tant l'identification des substances ayant causé l'infection que la raison de son immunodéficience : "C’est pourquoi nous pouvons affirmer que son immunodéficience a été « acquise », mais nous ne savons pas comment."
King Julian a écrit : => Je doute qu'il soit possible de voir de la fumée en pleine nuit.
José a écrit :Varginha est une ville importante. Si l'observation a été faite alors que l'objet se trouvait relativement bas dans le ciel, celui-ci a très bien pu se trouver éclairé par les lumières de la ville. De même, si l'objet lui-même était "très clair", la fumée qui s'en dégageait a pu grâce à ça être perceptible au moins en partie.
La ferme des De Freitas se trouve tout de même à 10 km à l'est de Varginha selon le site taverne-etrange. D'ailleurs le fait que le lieu d'observation soit une ferme augmente les chances que ce lieu se trouve à l'écart de la ville.
King Julian a écrit : De plus, sur le fond d'un ciel sombre, voir un objet à la fois "très clair" et "presque transparent" me semble contradictoire. Cela aurait été valable en plein jour, mais si l'OVNI était presque transparent, alors il aurait tendance à être presque de la même couleur que son environnement, c'est-à-dire sombre en l’occurrence.
José a écrit : Je vous invite à consulter sur le net les nombreux clichés et vidéos qui montrent des OVNI traversant le ciel nocturne. Nombre d'entre eux correspondent à la description donnée ci-dessus. J'ai moi-même été témoin par le passé d'un phénomène identique.
J'ai un peu cherché, mais pas suffisamment semble-t-il pour obtenir une vidéo convaincante. Pouvez-vous en mettre quelques unes en lien ? Merci