Gilles a écrit :a Monstre
En premier si tu accepte ceci :
Ap20v10.que ce lieu n'est point un lieu d'effacement qui conduit au néant du grand vide total ou a la mort du béantistement de l'intérité du *JE* total ;mais bien un lieu de tourments (éternel)aux sciècles des sciècles comme ont peut le constater en Ap 20v 10 . Je considérerais a te répondres _
a toi de voir.
J'en profite pour rebondir. Il faut je crois là aussi réfléchir par soi-même pour donner un sens approprié aux écritures. Il est écrit aux siècles des siècles et non pas à l'infini.
Voici quelques pensées que je vous laisse pour méditation :
Il y a toujours de l'espoir :
Tous ceux qui ont jamais eu conscience d'exister trouveront leur propre salut.
Nos décisions nous changent et nous changeons de décisions sinon nous ne pourrions pas progresser.
La puissance de notre Père céleste est plus vaste que l'éternité.
Que chacun se rassure sur le sort de ceux qui ne seront pas sauvés dans la nouvelle alliance éternelle, quoiqu'ils doivent souffrir plus ou moins du tourment de l'enfer et être confinés pour l'éternité dans un des royaumes inférieurs, il restera des éternités contre lesquelles ils n'auront pas péché.
Notre Père céleste connaît le nombre d'éternités qu'il gère et même lorsque ce nombre est infini il n'en demeure pas moins un nombre. Or comme l'espace est infini, il pourra toujours être trouvé des éternités après celles-ci.
Il devrait y avoir de l'espoir pour ceux qui auront été rejetés hors de la présence de Dieu. Il serait morbide de prolonger dans tous les sens et à l'infini la durée de leur exclusion.
Nous pouvons quand même penser qu'il y a un espoir inconnu parce qu'il peut y avoir en nous un sentiment qui ne se dissimule pas.
Il y a un espoir inconnu, mais malheur, malheur à qui en prend le chemin parce qu'il rejette son salut immédiat.
Même si Dieu te déclarait qu'il n'y avait plus d'espoir pour toi tu ne devrais pas désespérer. Il connaît la fin de ton état quelque éloigné que soit le moyen qui te rendra la possibilité de progresser vers ce que deviendra l'exaltation plus tard lorsque tu auras trouvé ta propre exaltation.
Là où il y a le sentiment d'exister il y a toujours de l'espoir.
Rejeté, oui du corps et de l'esprit mais Dieu s'occupe aussi du sentiment.
Il faut se garder du sentiment négatif qui nous porterait à croire qu'il n'y aurait plus rien à espérer.
Pour eux il n'y a plus de salut. Nous ne sommes pas capables d'en prononcer quoi que nos sentiments espèrent en une faveur.
Penser que la religion n'est vraie que si elle établit en dogme le rejet sans laisser personne de ceux qui en sont touchés quitte après l'éternité, est une erreur.
Partout où le Seigneur nous adresse à toujours et à jamais voyons s'il ne s'agit pas d'une forme suspensive. Sous réserve d'une révélation ultérieure.
Tu ne seras jamais sauvé.
Tu ne seras jamais sauvé par moi le Seigneur ton Dieu.
Tu ne seras jamais sauvé par moi le seigneur ton Dieu ; ce qu'il t’adviendra, en dehors de moi, n'est pas encore révélé.
N'est-il pas clair pour toi que l'éternité est une réalité laissée à la convenance de Dieu pour qu'il en dispose selon toute sagesse ?
Il se peut que votre terrain biologique ne soit que peu propice aux bénédictions de l'Évangile. Mais allez-vous abandonner pour autant ?
Nous ne pouvons pas être si froids aux limites éternelles pour penser que tout est vraiment fini pour les misérables pécheurs.
Dans la douleur la plus extrême, l'espérance subsiste.
Vous n'avez pas le droit de priver l'humanité de son espérance spontanée. Mieux vaut une erreur d'enthousiasme que les efforts compassés d'asphyxie spirituelle.