Depuis le temps du prophète, les femmes portent le voile.
Pendant la prière c'est obligatoire, pour la vie c'est selon la décision de la femme et elle le fait uniquement pour Allah
M. Simplement voulez-vous insinuez que cet homme raconte vrai et que le prophète sws faux est dit au femme de ne pas porter le voile?
Le khimar couvre les cheveux (Mufradât Ar-Râghib).
Quant au jilbâb, qu'est-ce donc ? S'agit-il de la même chose que le khimâr, ou bien s'agit-il de quelque chose de plus ample ?
Les avis sont divergents sur le sujet, et Ibn Hajar a cité quelques sept vêtements qui entrent dans l'acception du terme "jilbâb" (Fat'h ul-bârî 1/549). On peut dire ici que deux choses reviennent essentiellement :
– le jilbâb est la même chose que le khimâr ("qîla : al-khimâr") ;
– le jilbâb est différent du khimâr : il s'agit d'une sorte de grand pardessus que les femmes portaient sur leur robe et leur khimâr ("al-malâ'a").
Une chose est certaine : certaines femmes utilisaient leur jilbâb pour se couvrir le visage également : Aïcha raconte ainsi : "Je me couvris alors le visage de mon jilbâb" (rapporté par Al-Bukhârî 3910, 4473, Muslim 2770). Mais en fait, ce que ce récit montre c'est seulement que le jilbâb peut être utilisé pour couvrir le visage ; cependant, il ne dit pas explicitement si le jilbâb est la même chose que le khimâr ou non, ni si l'utilisation de se couvrir le visage par le moyen du jilbâb est une obligation sur toute musulmane (cela constitue un autre point, sur lequel nous reviendrons plus bas).
Omar souhaitait ensuite que les hommes ne puissent plus voir la personne des épouses du Prophète (hijâb ul-ashkhâs), même vêtues des vêtements adéquats, et qu'elles ne sortent donc presque plus. Aïcha raconte que Omar dit au Prophète : "Cache [la personne de] tes épouses". Le Prophète n'en fit rien" (Bukhârî 146). "Après que le voile [du visage] ait été rendu obligatoire [sur les épouses du Prophète], Sawda sortit pour quelque besoin. Elle était grande et on reconnaissait qu'il s'agissait d'elle quand on la voyait [même entièrement couverte]. Omar ibn Al-Khattâb la vit et dit : "Sawda, par Dieu, on peut te reconnaître ! Vois toi-même comment tu sors (si tu dois sortir) !" Sawda revint alors sur ses pas. Le Prophète était chez moi, et il était en train de prendre son repas ; dans sa main il y avait un morceau de viande enrobant un os. Sawda entra et dit : "Messager de Dieu, j'étais sortie pour quelque chose, et Omar m'a dit telle chose". Le Prophète reçut alors la révélation ; celle-ci se fit puis cessa tandis que le morceau de viande était toujours dans la main du Prophète ; il dit alors : "Il vous a été permis de sortir pour faire ce que vous avez besoin de faire"" (Bukhârî 4517). Ici donc, le souhait de Omar de voir la personne des épouses du Prophète être dissimulée (hijâb ul-ashkhâs) pour éviter que quelqu'un puisse les reconnaître ne fut pas approuvé par Dieu, et elles eurent la possibilité de continuer à sortir de chez elles (Fat'h ul-bârî 1/327, 8/674).
Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux)
Simplement moi a la base évitait de vous ridiculez et svp renseignez-vous un peu car vou en faites trop pour rien