Re: Salem Ben Ammar
Posté : 05 févr.17, 04:15
Merci
Un musulman qui manifeste contre les crimes des islamistes est un apostat
Salem Ben Ammar
L’amalgame entre l’islam et l’islamisme ce sont les musulmans eux-mêmes qui le font et ne ratent jamais l’occasion d’en apporter la preuve quant à la parenté consubstantielle entre les deux. Jamais Ils ne sont jamais sortis dans la rue pour manifester leur rejet de l’islamisme et condamner les horreurs des leurs commises au nom de l’islam.
Bien au contraire pendant que leurs frères qui appliquent l’islam à la lettre tuent ils appellent à la mort de la France comme viennent d‘en faire la démonstration les pays appelés communèment musullmans modérés. .
Les uns jouent aux justiciers pour venger l’honneur de l’islam prétendument bafoué par ces « mécréants » ces êtes infâmes et ignominieux que le Coran ordonne de tuer (versets 89-90 sourate 4) rien que pour le seul fait qu’ils ne se soient pas soumis à la volonté d’Allah et aient cru en la « bonne » parole de Mahomet et les autres affublés par les médias et les hommes politiques occidentaux du masque de la modération chantent à tue-tête leur chant macbre « ce n’est pas ça l’islam » et dansent tels des êtres endiablés et sataniques sur les corps des victimes
Ainsi il n’ y a pas plus d’islam politique qui serait l’islamisme et un islam de paix victime des dérives criminelles et immorales des islamistes.
L’islam est excéssif et immodéré par sa nature et sa vision du monde et de la vie. Il a choisi le fil de l’épée comme arme de persuasion. C’est se soumettre ou se démettre. C’est pourquoi,Il n’y a pas plus aberrant que de définir l’islamisme comme étant l’islam politique comme si l’islam faisaiit lui-même un distinguo et tracer une ligne de démarcation entre le temporel et l’intemporel ou le profane et le sacré. Tout se confond, fusionne et s’imbrique, s’associe et s’amalgame pour en faire un corps unique indépendamment des propriétés des composants hétéroclites, disparates, incompatibles et antinomiques au mépris des lois de la physique des matériaux. L’islam passe ainsi pour être la plus farfelue et ubuesque des utopies religieuses.
Pris dans son tourbillon de délires de réaliser une alchimie impossible entre toutes les sphères de la vie que tout sépare et oppose, il refuse toute négociation et compromis. Il ne reconnaît que sa vérité, la sienne qui doit prévaloir sur toutes les autres. il veut donner du sens au non-sens, de l’insensé il en fait la voie, le tarik, la charia, pour tous les hommes. De sa nature irrationnelle, de son schéma de construction mentale incohérent et exécessif et de sa déraison, il en fait une loi immuable, une sunna, pour tous les hommes.
Comme tout sujet atteint de schizophrénie paranoïde complètement déconnecté du monde réel se nourrisant de fantasmes abracadabrants, il souffre de graves troubles de pensée, hallucinant sur sa toute-puissance et de sa force libidinale, irritable et hyper agressif, s’affublant du masque de Constantin le grand, cet empereur romain cruel et sanguinaire pour disssimuler d’une part sa grande fragilité psychologique et d’autre part effrayer son auditoire afin de le convaincre d’adhérer à ses élucubrations psychotiques. L’islam est un grand délirant qui est le seul à croire en ses délires et les musulmans sont tel un troupeau de moutons qui s’agenouillent à ses pieds dire amen à ses idées saugrenues qui sont symptomatiques de son état de dégénérescence mentale. Il est le seul à être convaincu que l’on peut marier la carpe et Ie lapin et promettant malheur et malédiction à celui qui ne croit pas en lui .
L’islam qui est déjà en soi une utopie politique totalitaire n’est en rien dissemblable de l’islamisme défini abusivement comme l’islam politique « Le mot islamisme dérive du mot « islam » et du suffixe « -isme » et qualifie donc « la doctrine de l’islam ». Le sens politique est plus récent. Le terme « islamisme » est de création française et l’usage de ce mot est attesté en français depuis le XVIIIe siècle, où Voltaire l’utilise à la place de «_mahométisme » pour signifier « religion des musulmans » (ce qu’on nomme désormais « islam »). Nul besoin ainsi de disserter sur le sexe des anges en cherchant à dissocier l’islam de l’islamisme ou inversement. L’islamisme est l’islam tel que Mahomet a légué en héritage aux musulmans. Il est cet islam des origines, il puise sessources dans l’enseignement et la vie de Mahomet, se veut la reproduction fidèle de l’islam des soi-disant pieux compagnons du père-fondateur de l’islam qui était lui-même chef d’Etat, chef de guerre, stratège politique et chef spirituel. Porteur de plusieurs casquettes et monomlisant tous les pouvoirs, par conséquent l’islamisme qui veut marquer un retour aux sources de l’islam afin de rétablir l’Etat islamique dans son organisation originelle ne transfigure en rien l’islam alors qu’il l’islam tel qu’il doit être. Un islam unitaire dépouillé de toutes influences étrangères ou héritées des religions ancestrales païennes ou judéo-chrétiennes. Il est censé fédérer et réunifier tous les musulmans sous la même bannière, taweed.
Assimiler l’islamisme à une hérésie ce qu’Al Azhar lui-même a toujours refusé de le faire, car il sait pertinemment qe c’est lui qui traduit le mieux dans les faits le message politique de Mahomet en vue de la mise en oeuvre de sa feuille de route route telle que la stipule et norme le Coran.
Voilà pourquoi jamais un musulman ne s’indigne jamais pour les crimes des siens et s’il le fait il est tout naturellement un apostat. Quand il manifeste il le fait pour ses frères terroristes du Hamas ou contre les caricatures de Charlie.
======================================
Il n ‘y a qu’un seul islam celui des islamistes, l’épée dans une main et le Coran dans une autre
Salem Ben Ammar 2 commentaires
« L’islamisme est l’islam politique » clament les laudateurs de l’islam, paisible et inoffensive religion, objet de dévoiement, d’instrumentalisation et de détournement à des fins politiques afin d’instaurer un régime politique totalitaire liberticide faisant de la charia, qui est par définition l’islam lui-même et qu’il ne peut y avoir d’islam sans la charia, la source unique du droit et pour constitution le Coran.
L’islamisme serait ainsi une doctrine antinomique à l’islam que des hérétiques, les islamistes, s’attachent à la diffuser au sein des pays musulmans par par tous les moyens et dont la première victime est l’islam lui-même. Mis à mal, défiguré, dénaturé, violé, par une idéologie dont la finalité est de tuer l’islam lui-même.
Les islamistes n’ont aucun projet velléitaire de cette nature et bien au contraire leur but est de faire redorer son blason à l’islam pour en faire un nouvel ordre mondial: L’idéologie des Frères musulmans est résumée dans leur devise : « Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance ». Plus précisément, les thèmes essentiels de la doctrine des Frères musulmans sont la création d’un État musulman théocratique, le rétablissement du califat, la lutte contre toute tentative de rénovation ou de « modernisation »
de l’islam, la dénonciation de la civilisation occidentale, l’anticolonialisme, le panislamisme et le panarabisme
ainsi que l’anticommunisme.(source http://www.akadem.org/medias/documents/ ... ulmans.pdf) Ils oeuvrent pour le retour aux sources originelles de l’islam par la destruction des Etats-nations et la réorganisation de l’Etat sur le modèle du Califat musulman soumis à l’autorité d’un Calife, successeur de Mahomet, issu de la tribu de Qoureisch, un leader charismatique qui préside à la destinée politique et religieuse de tous les musulmans regroupés au sein de l’Oumma, la matrice-mère des musulmans.
L’islamisme est la revitalisation de l’islam dans son essence totalitaire et monopolistique dans le contrôle de la vie des croyants.
L’islam doit sa régénérescence actuelle à l’islamisme grâce au souffle du renouveau qu’il répand dans les sociétés musulmanes de plus en plus séduites par le retour de l’islam sur les devants de la scène mondiale, indifférentes au massacre au quotidien dont elles sont les premières cibles et les crimes contre l’humanité perpétrés par leurs coreligionnaires islamo-terroristes qui sont pour eux la force de frappe crainte et redoutée du monde entier et des vaillants combattants dans la voie d’Allah et de Mahomet. Convaincues que l’islam progresse et la victoire est au bout du chemin grâce aux activistes islamistes, elles ne peuvent que s’en réjouir.
Il n’y a pas plus islamistes que les musulmans qui s’affublent du masque de la modération qui jamais n’oseront dénoncer les dérives ultra-violentes des islamistes qui ne font qu’appliquer vigoureusement et rigoureusement ce que le Coran enseigne et ordonne.
L’islam lui-même est politique et l’islamisme n’est que la mise en oeuvre de la feuille de route mahométane pour la conquête du monde dont la réalisation ne pourrait se faire que dans l’intégration des musulmans dans le même espace politique et religieux, c’est-à-dire l’unification de tous les musulmans qui n’est en réalité qu’un délire fantasmagorique quand on connaît le schisme et les divisions qui les minent depuis la mort du fondateur de l’idéologie islamique.
En alléguant que l’islamisme est l’islam politique, on laisse sous-entendre que Mahomet était un parangon de démocratie qui avait érigé la séparation des pouvoirs en dogmes religieux. Comme s’il était un humble chef spirituel, ne s’occupant que des affaires cultuelles. Il était aussi bien un chef politique et un chef de guerre et pire encore un chef mafieux.
Que ceux qui cherchent à nous enfumer avec l’islamisme n’est pas l’islam, comme si le nazisme n’était pas de l’hitlérisme, éclairent ma lanterne sur la vraie différence entre les deux alors que Mahomet lui-même avait fait de l’islam une idéologie totalitaire qui gouverne et codifie la vie de ses sbires dans ses moindres petits détails. Ne leur laissant aucune marge de manoeuvre dans l’organisation et la gestion de leur vie terrestre. L’islam mélange tous les genres et amalgame le sacré et le profane. Il se veut un ordre commun de portée universelle embrassant toutes les sphères de la vie. Pour lui l’humanité doit être unifiée sous sa bannière et qu’il ne saurait avoir d’autres vérités que la sienne dictée par Allah et lui-même. Tout un programme qui en dit long sur la nature tyrannique et génocidaire de l’islam.
Il n’y a pas d’islam du Coran dans une main pour les uns, et un islam de l’épée pour les autres. Il y en a qu’un celui de l’islamisme qui consiste à brandir le Coran dans une main et l’épée dans une autre pour le propager dans le monde.
L’islam n’est pas paix, il est l’épée de la conquête du monde au prix du sang des mécrus. Qu’il y ait des musulmans qui répandent l’islam par la voie du prosélytisme non violent,,le but est le même instaurer la dictature de l’islam. Ce qui ne change rien au fond du problème, puisqu’une fois que l’on tombe sous sa coupe on devient son esclave.
Un musulman qui manifeste contre les crimes des islamistes est un apostat
Salem Ben Ammar
L’amalgame entre l’islam et l’islamisme ce sont les musulmans eux-mêmes qui le font et ne ratent jamais l’occasion d’en apporter la preuve quant à la parenté consubstantielle entre les deux. Jamais Ils ne sont jamais sortis dans la rue pour manifester leur rejet de l’islamisme et condamner les horreurs des leurs commises au nom de l’islam.
Bien au contraire pendant que leurs frères qui appliquent l’islam à la lettre tuent ils appellent à la mort de la France comme viennent d‘en faire la démonstration les pays appelés communèment musullmans modérés. .
Les uns jouent aux justiciers pour venger l’honneur de l’islam prétendument bafoué par ces « mécréants » ces êtes infâmes et ignominieux que le Coran ordonne de tuer (versets 89-90 sourate 4) rien que pour le seul fait qu’ils ne se soient pas soumis à la volonté d’Allah et aient cru en la « bonne » parole de Mahomet et les autres affublés par les médias et les hommes politiques occidentaux du masque de la modération chantent à tue-tête leur chant macbre « ce n’est pas ça l’islam » et dansent tels des êtres endiablés et sataniques sur les corps des victimes
Ainsi il n’ y a pas plus d’islam politique qui serait l’islamisme et un islam de paix victime des dérives criminelles et immorales des islamistes.
L’islam est excéssif et immodéré par sa nature et sa vision du monde et de la vie. Il a choisi le fil de l’épée comme arme de persuasion. C’est se soumettre ou se démettre. C’est pourquoi,Il n’y a pas plus aberrant que de définir l’islamisme comme étant l’islam politique comme si l’islam faisaiit lui-même un distinguo et tracer une ligne de démarcation entre le temporel et l’intemporel ou le profane et le sacré. Tout se confond, fusionne et s’imbrique, s’associe et s’amalgame pour en faire un corps unique indépendamment des propriétés des composants hétéroclites, disparates, incompatibles et antinomiques au mépris des lois de la physique des matériaux. L’islam passe ainsi pour être la plus farfelue et ubuesque des utopies religieuses.
Pris dans son tourbillon de délires de réaliser une alchimie impossible entre toutes les sphères de la vie que tout sépare et oppose, il refuse toute négociation et compromis. Il ne reconnaît que sa vérité, la sienne qui doit prévaloir sur toutes les autres. il veut donner du sens au non-sens, de l’insensé il en fait la voie, le tarik, la charia, pour tous les hommes. De sa nature irrationnelle, de son schéma de construction mentale incohérent et exécessif et de sa déraison, il en fait une loi immuable, une sunna, pour tous les hommes.
Comme tout sujet atteint de schizophrénie paranoïde complètement déconnecté du monde réel se nourrisant de fantasmes abracadabrants, il souffre de graves troubles de pensée, hallucinant sur sa toute-puissance et de sa force libidinale, irritable et hyper agressif, s’affublant du masque de Constantin le grand, cet empereur romain cruel et sanguinaire pour disssimuler d’une part sa grande fragilité psychologique et d’autre part effrayer son auditoire afin de le convaincre d’adhérer à ses élucubrations psychotiques. L’islam est un grand délirant qui est le seul à croire en ses délires et les musulmans sont tel un troupeau de moutons qui s’agenouillent à ses pieds dire amen à ses idées saugrenues qui sont symptomatiques de son état de dégénérescence mentale. Il est le seul à être convaincu que l’on peut marier la carpe et Ie lapin et promettant malheur et malédiction à celui qui ne croit pas en lui .
L’islam qui est déjà en soi une utopie politique totalitaire n’est en rien dissemblable de l’islamisme défini abusivement comme l’islam politique « Le mot islamisme dérive du mot « islam » et du suffixe « -isme » et qualifie donc « la doctrine de l’islam ». Le sens politique est plus récent. Le terme « islamisme » est de création française et l’usage de ce mot est attesté en français depuis le XVIIIe siècle, où Voltaire l’utilise à la place de «_mahométisme » pour signifier « religion des musulmans » (ce qu’on nomme désormais « islam »). Nul besoin ainsi de disserter sur le sexe des anges en cherchant à dissocier l’islam de l’islamisme ou inversement. L’islamisme est l’islam tel que Mahomet a légué en héritage aux musulmans. Il est cet islam des origines, il puise sessources dans l’enseignement et la vie de Mahomet, se veut la reproduction fidèle de l’islam des soi-disant pieux compagnons du père-fondateur de l’islam qui était lui-même chef d’Etat, chef de guerre, stratège politique et chef spirituel. Porteur de plusieurs casquettes et monomlisant tous les pouvoirs, par conséquent l’islamisme qui veut marquer un retour aux sources de l’islam afin de rétablir l’Etat islamique dans son organisation originelle ne transfigure en rien l’islam alors qu’il l’islam tel qu’il doit être. Un islam unitaire dépouillé de toutes influences étrangères ou héritées des religions ancestrales païennes ou judéo-chrétiennes. Il est censé fédérer et réunifier tous les musulmans sous la même bannière, taweed.
Assimiler l’islamisme à une hérésie ce qu’Al Azhar lui-même a toujours refusé de le faire, car il sait pertinemment qe c’est lui qui traduit le mieux dans les faits le message politique de Mahomet en vue de la mise en oeuvre de sa feuille de route route telle que la stipule et norme le Coran.
Voilà pourquoi jamais un musulman ne s’indigne jamais pour les crimes des siens et s’il le fait il est tout naturellement un apostat. Quand il manifeste il le fait pour ses frères terroristes du Hamas ou contre les caricatures de Charlie.
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Il n ‘y a qu’un seul islam celui des islamistes, l’épée dans une main et le Coran dans une autre
Salem Ben Ammar 2 commentaires
« L’islamisme est l’islam politique » clament les laudateurs de l’islam, paisible et inoffensive religion, objet de dévoiement, d’instrumentalisation et de détournement à des fins politiques afin d’instaurer un régime politique totalitaire liberticide faisant de la charia, qui est par définition l’islam lui-même et qu’il ne peut y avoir d’islam sans la charia, la source unique du droit et pour constitution le Coran.
L’islamisme serait ainsi une doctrine antinomique à l’islam que des hérétiques, les islamistes, s’attachent à la diffuser au sein des pays musulmans par par tous les moyens et dont la première victime est l’islam lui-même. Mis à mal, défiguré, dénaturé, violé, par une idéologie dont la finalité est de tuer l’islam lui-même.
Les islamistes n’ont aucun projet velléitaire de cette nature et bien au contraire leur but est de faire redorer son blason à l’islam pour en faire un nouvel ordre mondial: L’idéologie des Frères musulmans est résumée dans leur devise : « Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance ». Plus précisément, les thèmes essentiels de la doctrine des Frères musulmans sont la création d’un État musulman théocratique, le rétablissement du califat, la lutte contre toute tentative de rénovation ou de « modernisation »
de l’islam, la dénonciation de la civilisation occidentale, l’anticolonialisme, le panislamisme et le panarabisme
ainsi que l’anticommunisme.(source http://www.akadem.org/medias/documents/ ... ulmans.pdf) Ils oeuvrent pour le retour aux sources originelles de l’islam par la destruction des Etats-nations et la réorganisation de l’Etat sur le modèle du Califat musulman soumis à l’autorité d’un Calife, successeur de Mahomet, issu de la tribu de Qoureisch, un leader charismatique qui préside à la destinée politique et religieuse de tous les musulmans regroupés au sein de l’Oumma, la matrice-mère des musulmans.
L’islamisme est la revitalisation de l’islam dans son essence totalitaire et monopolistique dans le contrôle de la vie des croyants.
L’islam doit sa régénérescence actuelle à l’islamisme grâce au souffle du renouveau qu’il répand dans les sociétés musulmanes de plus en plus séduites par le retour de l’islam sur les devants de la scène mondiale, indifférentes au massacre au quotidien dont elles sont les premières cibles et les crimes contre l’humanité perpétrés par leurs coreligionnaires islamo-terroristes qui sont pour eux la force de frappe crainte et redoutée du monde entier et des vaillants combattants dans la voie d’Allah et de Mahomet. Convaincues que l’islam progresse et la victoire est au bout du chemin grâce aux activistes islamistes, elles ne peuvent que s’en réjouir.
Il n’y a pas plus islamistes que les musulmans qui s’affublent du masque de la modération qui jamais n’oseront dénoncer les dérives ultra-violentes des islamistes qui ne font qu’appliquer vigoureusement et rigoureusement ce que le Coran enseigne et ordonne.
L’islam lui-même est politique et l’islamisme n’est que la mise en oeuvre de la feuille de route mahométane pour la conquête du monde dont la réalisation ne pourrait se faire que dans l’intégration des musulmans dans le même espace politique et religieux, c’est-à-dire l’unification de tous les musulmans qui n’est en réalité qu’un délire fantasmagorique quand on connaît le schisme et les divisions qui les minent depuis la mort du fondateur de l’idéologie islamique.
En alléguant que l’islamisme est l’islam politique, on laisse sous-entendre que Mahomet était un parangon de démocratie qui avait érigé la séparation des pouvoirs en dogmes religieux. Comme s’il était un humble chef spirituel, ne s’occupant que des affaires cultuelles. Il était aussi bien un chef politique et un chef de guerre et pire encore un chef mafieux.
Que ceux qui cherchent à nous enfumer avec l’islamisme n’est pas l’islam, comme si le nazisme n’était pas de l’hitlérisme, éclairent ma lanterne sur la vraie différence entre les deux alors que Mahomet lui-même avait fait de l’islam une idéologie totalitaire qui gouverne et codifie la vie de ses sbires dans ses moindres petits détails. Ne leur laissant aucune marge de manoeuvre dans l’organisation et la gestion de leur vie terrestre. L’islam mélange tous les genres et amalgame le sacré et le profane. Il se veut un ordre commun de portée universelle embrassant toutes les sphères de la vie. Pour lui l’humanité doit être unifiée sous sa bannière et qu’il ne saurait avoir d’autres vérités que la sienne dictée par Allah et lui-même. Tout un programme qui en dit long sur la nature tyrannique et génocidaire de l’islam.
Il n’y a pas d’islam du Coran dans une main pour les uns, et un islam de l’épée pour les autres. Il y en a qu’un celui de l’islamisme qui consiste à brandir le Coran dans une main et l’épée dans une autre pour le propager dans le monde.
L’islam n’est pas paix, il est l’épée de la conquête du monde au prix du sang des mécrus. Qu’il y ait des musulmans qui répandent l’islam par la voie du prosélytisme non violent,,le but est le même instaurer la dictature de l’islam. Ce qui ne change rien au fond du problème, puisqu’une fois que l’on tombe sous sa coupe on devient son esclave.