J'm'interroge a écrit :Si cette chose n'a pas de couleur spéciale, dire qu'elle n'est ni jaune ni non jaune c'est dire qu'elle n'est pas de couleur jaune certes, mais c'est aussi dire qu'elle n'est pas non jaune, autrement dit : qu'elle est jaune. Autrement dit encore : tu ne sais pas ce que tu dis en voulant dire ce que tu veux dire. Tu dis autre chose, tu dis quelque chose qui ne veut rien dire et qui est logiquement faux, car auto-contradictoire.
vic a écrit :Oui et alors , ce qui n'a pas de couleur spéciale n'est pas jaune et n'est pas non jaune .
Ou est le problème ?
Quelle est la couleur de l'univers , quelle est la couleur de la nature ?
Il n'y a pas de contradiction dans mon énoncé .
Dire qu'un phénomène n'est ni jaune ni non jaune ça n'a rien de contradictoire .
"Ni non jaune" ça veut dire "jaune" vic....
Un papillon jaune et rouge n'est pas "non jaune".
Un papillon noir et rouge n'est pas jaune par contre.
Pour ce qui n'a pas de couleur, dire que c'est "non jaune" est vrai.
Mais dire comme comme tu l'affirmes que quelque chose ne serait pas "d'une couleur ou sans couleur" c'est contradictoire. C'est l'un ou l'autre vic. Ou bien c'est coloré ou bien ça ne l'est pas. Ça ne peut pas être à la fois être "coloré et non coloré", ou "jaune et non jaune".
Je me demande pourquoi je te réponds encore, j'ai démontré que tu te contredis.
Donc merci vic, au revoir vic.
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Ah je vois qu'il continue...
vic a écrit :L'univers n'est ni jaune ni non jaune par exemple , il n'a pas de couleur spéciale .
je ne vois pas où il y a contradiction à dedans .
- S'il n'a pas de couleur il n'est pas "non jaune", car dire qu'il est "non jaune" c'est dire qu'il est "jaune", or "jaune" est une couleur vic.
- S'il a des couleurs dont le jaune, il n'est pas vrai de dire qu'il est "non jaune".
En tout cas, comme je l'ai montré : c'est tout-à-fait contradictoire d'affirmer qu'il n'est "ni jaune, ni non jaune".
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MonstreLePuissant a écrit : ↑27 août20, 23:08
Dire que quelque chose n'est ni vrai, ni non vrai revient à dire que ce n'est ni vrai, ni faux.
Voilà.
Vrai = non faux ----- et ----- faux = non vrai.
Autrement dit :
ni vrai ni faux <=> non vrai et non non vrai <=> faux et vrai <=>
vrai et faux
CQFD
MonstreLePuissant a écrit : ↑27 août20, 23:08
Ni jaune = N'importe quelle couleur sauf jaune. (1)
Ni non jaune = N'est pas de n'importe quelle couleur sauf jaune, donc est jaune. (2)
- (1) : En logique classique : "non jaune" c'est
tout sauf jaune. Ce n'est pas nécessairement une autre couleur.
- (2) : "Non jaune" c'est tout simplement "Jaune", or "jaune" est une couleur, la couleur "jaune".
MonstreLePuissant a écrit : ↑27 août20, 23:08
Il affirme donc bien que quelque chose peut être jaune et de
n'importe quelle couleur sauf jaune en même temps, ce qui crée de facto la contradiction.
Pas exactement, il affirme bien que quelque chose peut être jaune et
tout sauf jaune.
Merci de le confirmer.
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a écrit :J'minterroge a dit : L'on comprend que dans le cadre de cette ensemble d'hypothèses, tant qu'une activité cérébrale quelle qu'elle soit existe, constater une altération des contenus conscients liés au cerveau par une action neutralisante sur lui ou dans certaines de ses ères, ne permet que de conclure que X ou sa connexion à Y sont inhibés, en tout cas cela ne permet certainement pas de conclure que la conscience se réduirait à une activité cérébrale ou à un produit de celle-ci, ni que le cerveau serait LA cause nécessaire et suffisante de la conscience, mais tout au plus qu'il serait UNE cause nécessaire de CERTAINS contenus de consciences tant que le cerveaux n'est pas complètement hors service.
vic a écrit : ↑27 août20, 10:51
Si pendant la vie de la personne la conscience est dépendante du cerveau , pourquoi à la mort cette dépendance disparaitrait , par quel miracle ? On est à lourdes là .
Bien relis le modèle proposé, tu comprendras ou pas (lol) que le fait qu'il soit scientifiquement établit que les contenus conscients étudiés dépendent de l'activité du cerveau et de la fonctionnalité de certaines structures cérébrales, n'entraîne pas nécessairement que la conscience disparaisse après la cessation de toute activité cérébrale.
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