Re: L'identité de Jésus
Posté : 05 déc.16, 21:07
"Lorsqu’elle a appris qu’elle allait avoir un enfant et qu’elle devrait l’appeler Jésus, Marie a demandé : “ Comment cela se fera-t-il, puisque je n’ai pas de relations avec un homme ? ” L’ange Gabriel, envoyé par Dieu, lui a répondu : “ De la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi aussi ce qui naîtra sera appelé saint, le Fils de Dieu. ” — Luc 1:30-35.
Par la suite, Jésus a opéré des miracles qui ont suscité l’admiration de ses apôtres. Un soir qu’une violente tempête menaçait de faire couler leur bateau en mer de Galilée, Jésus a calmé la mer en la réprimandant ainsi : “ Silence ! Tais-toi ! ” Stupéfaits, ses apôtres se sont exclamés : “ Qui donc est-il, celui-là ? ” — Marc 4:35-41 ; Matthieu 8:23-27.
Les contemporains de Jésus s’interrogeaient de plus en plus sur son identité. Jésus a d’ailleurs demandé à ses apôtres à qui les gens l’identifiaient. ‘ Les uns disent : à Jean le Baptiste, lui ont-ils répondu ; d’autres : à Éliya ; d’autres encore : à Jérémie ou à l’un des prophètes ’ — des personnages qui étaient tous morts à l’époque. Jésus leur a ensuite posé cette question : “ ‘ Mais vous, qui dites-vous que je suis ? ’ En réponse Simon Pierre dit : ‘ Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. ’ ” Même les démons, des anges méchants, lui disaient : “ Tu es le Fils de Dieu." - Matthieu 16:13-16 ; Luc 4:41.” — g05 22/4 p. 3-4
"SELON des témoignages historiques fiables, voilà plus de 2 000 ans un homme du nom de Jésus est né à Bethléhem, petite ville en terre de Judée. Hérode le Grand était alors roi de Jérusalem, et César Auguste empereur de Rome (Matthieu 2:1 ; Luc 2:1-7). Les historiens romains du Ier et du IIe siècle ne font généralement pas mention de Jésus, car à cette époque les dirigeants romains tentaient de mettre fin au christianisme.
D’un autre côté, voilà ce qu’on lit dans un livre d’histoire (The Historians’ History of the World) : “ Les activités [de Jésus] ont eu, même d’un point de vue strictement profane, une portée historique bien plus considérable que les exploits de n’importe quel autre personnage historique. Les principales civilisations reconnaissent que sa naissance a inauguré une ère nouvelle. ” - g05 22/4 p. 3-4
N'est-ce pas cela, au fond, la véritable priorité ?
Par la suite, Jésus a opéré des miracles qui ont suscité l’admiration de ses apôtres. Un soir qu’une violente tempête menaçait de faire couler leur bateau en mer de Galilée, Jésus a calmé la mer en la réprimandant ainsi : “ Silence ! Tais-toi ! ” Stupéfaits, ses apôtres se sont exclamés : “ Qui donc est-il, celui-là ? ” — Marc 4:35-41 ; Matthieu 8:23-27.
Les contemporains de Jésus s’interrogeaient de plus en plus sur son identité. Jésus a d’ailleurs demandé à ses apôtres à qui les gens l’identifiaient. ‘ Les uns disent : à Jean le Baptiste, lui ont-ils répondu ; d’autres : à Éliya ; d’autres encore : à Jérémie ou à l’un des prophètes ’ — des personnages qui étaient tous morts à l’époque. Jésus leur a ensuite posé cette question : “ ‘ Mais vous, qui dites-vous que je suis ? ’ En réponse Simon Pierre dit : ‘ Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. ’ ” Même les démons, des anges méchants, lui disaient : “ Tu es le Fils de Dieu." - Matthieu 16:13-16 ; Luc 4:41.” — g05 22/4 p. 3-4
"SELON des témoignages historiques fiables, voilà plus de 2 000 ans un homme du nom de Jésus est né à Bethléhem, petite ville en terre de Judée. Hérode le Grand était alors roi de Jérusalem, et César Auguste empereur de Rome (Matthieu 2:1 ; Luc 2:1-7). Les historiens romains du Ier et du IIe siècle ne font généralement pas mention de Jésus, car à cette époque les dirigeants romains tentaient de mettre fin au christianisme.
D’un autre côté, voilà ce qu’on lit dans un livre d’histoire (The Historians’ History of the World) : “ Les activités [de Jésus] ont eu, même d’un point de vue strictement profane, une portée historique bien plus considérable que les exploits de n’importe quel autre personnage historique. Les principales civilisations reconnaissent que sa naissance a inauguré une ère nouvelle. ” - g05 22/4 p. 3-4
N'est-ce pas cela, au fond, la véritable priorité ?