Re: Salem Ben Ammar
Posté : 03 avr.17, 01:17
Salem Ben Ammar : Le musulman honore sa femme comme un Maître respecte sa domestique, ou un chamelier sa chamelle
Voilà à quoi on reconnaît les peuples immatures soumis à la dure loi de l’islam. Jamais vous ne les entendrez dire : nous assumons notre responsabilité dans le traitement inhumain, humiliant et dégradant infligé à nos femmes et nous devons leur accorder les mêmes droits que les hommes.
Ils ont l’art de justifier l’injustifiable et d’excuser l’inexcusable ils brandissent leur sempiternelle à chaque fois qu’on les interpelle sur le sujet, vous croyez que c’est mieux en Occident où la femme est une vulgaire marchandise alors que chez nous c’est une perle dans son écrin. Or, en Occident la femme n’est pas soumise à la dictature des dogmes et ne vit pas sous les contraintes de son groupe d’appartenance. Il n’y pas d’honneur des siens il y a ses choix de vie qui sont les siens. Ni morale ni interdits religieux qui conditionnent son existence elle a la faculté de voler de ses propres ailes.
Elle jouit des mêmes droits que les hommes et citoyenne de plein droit. Les hommes n’ont pas des droits sur elle comme chez eux et personne ne peut bafouer ses droits sous peine de s’exposer aux lois répressives en vigueur en Occident.
Une femme violée chez eux est coupable de son viol en Occident on punit le violeur et on accompagne la victime judiciairement et psychologiquement.
Dans un pays musulman une femme mariée et victime de violence conjugale n’a aucun moyen légal pour agir contre son mari seul maître de son corps et de sa vie auquel elle doit obéissance absolue si elle ne veut pas subir la double peine la répudiation et les feux de l’enfer comme le promet le Coran aux femmes rebelles. Et comme le dit Mahomet il n’y a pas pire calamité que la femme.
Dans un pays comme l’Arabie Saoudite gouvernée par la Charia, pays exemplaire du fondamentalisme musulman et dont le modèle sociétal se propage à une vitesse éclair dans les pays musulmans, la vie d’une femme ne vaut pas mieux que celle d’un chameau.
Si j’étais femme je préférerais et de très loin vivre ma condition féminine et d’être humain à part entière en Occident et jamais dans les pays de la Charia qu’elle soit douce pu dure.
Des monstres d’inhumanité comme Ben Laden, Ghannouchi, Bel Haj, Omar Bachir, al Zawahiri, al Baghdadi ont tous les égards et les honneurs et les femmes sont des portions congrues.
C’est une insulte à la dignité humaine de comparer les femmes musulmanes dépossédées de leur droits sur leur vie et leurs corps et assujetties au statut de domestiques sexuelles sous couvert des préceptes religieux et des hadiths misogynes et scélérats aux femmes occidentales qui ne sont discriminées et ostracisées en raison de leur sexe ni assimilées à des poules pondeuses.
Le poids de la religion est le vrai ennemi de la femme. La démocratie, l’ennemie viscérale des geôliers des femmes dans les pays musulmans a le mérite d’avoir libéré la femme de la tutelle de l’homme et de lui avoir reconnu le droit de ne pas rester spectatrice de son destin humain. Ce n’est certainement pas cette sinistre religion qui peut en dire autant. La femme est une majeure incapable dépourvue de foi et de raison et elle ne peut donc agir dans le sens de ses intérêts personnels et quoi qu’elle fasse sa place serait en enfer selon le prophète qui n’a jamais rien prophétisé :
Les lois des hommes valorisent la femme et la respectent, les lois musulmanes créent les conditions de son asservissement et son assujettissent en faveur de l’homme. C’est anthropologique et juridique.
Salem Ben Ammar
Voilà à quoi on reconnaît les peuples immatures soumis à la dure loi de l’islam. Jamais vous ne les entendrez dire : nous assumons notre responsabilité dans le traitement inhumain, humiliant et dégradant infligé à nos femmes et nous devons leur accorder les mêmes droits que les hommes.
Ils ont l’art de justifier l’injustifiable et d’excuser l’inexcusable ils brandissent leur sempiternelle à chaque fois qu’on les interpelle sur le sujet, vous croyez que c’est mieux en Occident où la femme est une vulgaire marchandise alors que chez nous c’est une perle dans son écrin. Or, en Occident la femme n’est pas soumise à la dictature des dogmes et ne vit pas sous les contraintes de son groupe d’appartenance. Il n’y pas d’honneur des siens il y a ses choix de vie qui sont les siens. Ni morale ni interdits religieux qui conditionnent son existence elle a la faculté de voler de ses propres ailes.
Elle jouit des mêmes droits que les hommes et citoyenne de plein droit. Les hommes n’ont pas des droits sur elle comme chez eux et personne ne peut bafouer ses droits sous peine de s’exposer aux lois répressives en vigueur en Occident.
Une femme violée chez eux est coupable de son viol en Occident on punit le violeur et on accompagne la victime judiciairement et psychologiquement.
Dans un pays musulman une femme mariée et victime de violence conjugale n’a aucun moyen légal pour agir contre son mari seul maître de son corps et de sa vie auquel elle doit obéissance absolue si elle ne veut pas subir la double peine la répudiation et les feux de l’enfer comme le promet le Coran aux femmes rebelles. Et comme le dit Mahomet il n’y a pas pire calamité que la femme.
Dans un pays comme l’Arabie Saoudite gouvernée par la Charia, pays exemplaire du fondamentalisme musulman et dont le modèle sociétal se propage à une vitesse éclair dans les pays musulmans, la vie d’une femme ne vaut pas mieux que celle d’un chameau.
Si j’étais femme je préférerais et de très loin vivre ma condition féminine et d’être humain à part entière en Occident et jamais dans les pays de la Charia qu’elle soit douce pu dure.
Des monstres d’inhumanité comme Ben Laden, Ghannouchi, Bel Haj, Omar Bachir, al Zawahiri, al Baghdadi ont tous les égards et les honneurs et les femmes sont des portions congrues.
C’est une insulte à la dignité humaine de comparer les femmes musulmanes dépossédées de leur droits sur leur vie et leurs corps et assujetties au statut de domestiques sexuelles sous couvert des préceptes religieux et des hadiths misogynes et scélérats aux femmes occidentales qui ne sont discriminées et ostracisées en raison de leur sexe ni assimilées à des poules pondeuses.
Le poids de la religion est le vrai ennemi de la femme. La démocratie, l’ennemie viscérale des geôliers des femmes dans les pays musulmans a le mérite d’avoir libéré la femme de la tutelle de l’homme et de lui avoir reconnu le droit de ne pas rester spectatrice de son destin humain. Ce n’est certainement pas cette sinistre religion qui peut en dire autant. La femme est une majeure incapable dépourvue de foi et de raison et elle ne peut donc agir dans le sens de ses intérêts personnels et quoi qu’elle fasse sa place serait en enfer selon le prophète qui n’a jamais rien prophétisé :
Les lois des hommes valorisent la femme et la respectent, les lois musulmanes créent les conditions de son asservissement et son assujettissent en faveur de l’homme. C’est anthropologique et juridique.
Salem Ben Ammar