L’islamisation de la France est inexorable
Salem Ben Ammar
Il y a des villes françaises où je n’ai pas mis les pieds depuis 20 ans et en y retournant aujourd’hui elles n’ont plus rien de françaises.
Le paysage humain a radicalement changé. Les commerces qui sont la vitrine d’une ville sont soit fermés soit ethnicisés tendance halal. D
J’ai eu l’occasion de rencontrer des commerçants français à Pézenas et à Amiens qui continuaient à travailler à l’âge de 90 ans car il n’y a personne pour prendre la suite.
Quand des boulangers français prennent leur retraite ce sont bien souvent des Tunisiens qui rachètent les fonds.
Quand je vais dans certains marchés les vendeurs sont à 90% nord-africains comme dans beaucoup d’autres métiers.
A qui la faute ? Est-ce à ceux qui font le boulot à notre place ou à ceux qui leur délaissent ce boulot ou tout simplement parce qu’ils sont trop vieux pour le faire ?
Les Français de demain semblent être issus de cette population importée. Un jeune sur 3 serait d’origine immigrée.
La vérité du terrain se suffit d’elle-même pour aider certains à réviser leur copie et que l’entreprise de « désislamisation » est une gageure. Une révolution dans une canette de bière.
Et l’on veut me persuader que l’on peut revitaliser la France alors que d’autres cultures sont en train de s’enraciner dans son terreau.
La France est en train de mourir à petit feu sous nos yeux.
Que ceux qui croient que la solution est toute simple pour la ressusciter cessent de prendre des vessies pour des lanternes.
Il faudrait qu’ils empruntent les transports en commun dans les banlieues comme il m’arrive parfois de le faire pour nourrir ma réflexion sur les mutations culturelles, démographiques, physiques, qu’est en train de connaître la France. Qu’ils aillent dans les cités à dominante musulmane et dans certains arrondissements parisiens pour se rendre compte d’eux-mêmes que les carottes sont cuites.
Partout où je vais Béziers, Montpellier, Nîmes, Nevers, Beauvais, Amiens, Trappes, Mantes la Jolie, Plaisir, Créteil, Compiègne, Saint-Quentin, Laon, Noyan etc…et même dans les villages les plus reculés je rencontre des populations hétérogènes où les Français sont très minoritaires.
Je ne suis pas un doux rêveur qui fantasme sur l’enchanteur Merlin ou un nouveau Don Quichotte pour « refranciser » le pays.
il fallait anticiper le phénomène du grand remplacement quant il était encore temps mais on pensait plus à son nombril à l’poque qu’à la France.
Ce n’est pas par des discours imbéciles, enflammés et xénophobes que l’on va changer la pyramide des âges