Mais le drame est qu'ils le sont quand même et qu'au final leur punition contredisent le message de paix et de compassion. On ne peut servir deux maitre à la fois et la vie et la mort sont par définition incompatible.Christabel a écrit :ls ne sont pas fait pour nous châtier mais d'abord pour nous rappeler le code de la foi avant d'être exceptionnellement peinale pour les contrevenants libertins qui se font prendre en flagrants délits gaves.
La loi est nécessaire, nul n'en doute, mais elle est et doit rester au service de l'amour alors que vous vous prônez l'inverse en disant, comme les pharisiens que l'amour est la conséquence de l'observance de la loi. Ainsi vous aimez votre prochain parce que la loi vous ordonne de le faire de la même manière que vous haïssez celui qu'elle désigne comme déviant ou criminel, alors qu'il est et demeure votre frère et malgré son péché, comme vous enfant aimé de Dieu. Si donc Dieu l'aime comment pouvons-nous, même si nous détestons son péché, ne pas l'aimer à notre tour et vouloir qu'il vive puisqu'en Dieu il est notre frère.
Voila ce que le Christ nous dit dans le passage de la femme adultère en Jean 8.
Nous nous disons avec la genèse que l'homme a été fait à l'image de Dieu et que Dieu est amour et non loi.
Les hommes et Dieu sont liés par l'amour, ils ne peuvent se dire vicaires de Dieu quand ils assassinent mutilent et meurtrissent en son nom. Les adorateurs de la loi ont taillés Dieu à leur image car ils avaient mis la loi au-dessus de tout, à commencer par Dieu qui pourtant les avaient maintes fois sauver au cours de leur histoire malgré leurs fautes et leur crimes.
Si donc nous aussi vivons c'est parce que Dieu veut que nous soyons en Vie et que par cette vie, malgré nos péchés, nous soyons avec Lui pour vivre et faire vivre de sa miséricorde.
Comment le pécheur le pourrait-il revenir à Dieu si on le tue?
Oui plus que jamais Il faut rendre à Cesar ce qui est à Cesar et à Dieu ce qui est à Dieu... sans jamais oublier qu'il appartient pas à Cesar, comme nul autre d'ailleurs, de se prendre pour Dieu.