Re: Issac ou ismael ?
Posté : 03 févr.10, 03:26
J'aimerais partager sur ce sujet mais n'oublier pas que C’est l’esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous dit sont esprit et vie.!!
Le code de mariage de Nuzu stipulait qu'une femme stérile devait fournir à son mari une esclave comme concubine. Si cette esclave avait un fils, celui-ci ne devait pas être renvoyé. Ceci explique l'hésitation d'Abraham à renvoyer Ismaël à la demande de Sara. Cette demande était contraire à la coutume, et Abraham ne céda qu'en face de l'intervention de Dieu et de la promesse formelle faite à Ismaël également (21.9-13)
Mais que dit l’Ecriture ? Chasse l’esclave et son fils, car le fils de l’esclave n’héritera pas avec le fils de la femme libre.
C’est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de l’esclave, mais de la femme libre.
C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis.
Maintenant la liberté est en Jésus-Christ par la foi comme il est écrit ;Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus–Christ.
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus–Christ.
Que tout le peuple d’Israël et toutes les Nations le sache ! C’est par le nom de Jésus–Christ de Nazareth, que les Juifs ont crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est lui Jésus qui est La pierre rejetée par vous les Juifs qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l’angle.
Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce,
nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus–Christ, selon le bon plaisir de sa volonté.
En effet, ce n’est pas par la loi que l’héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c’est par la justice de la foi.!!
Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie,
parce que la loi produit la colère, et que là où il n’y a point de loi il n’y a point non plus de transgression.
C’est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi (les Juifs), mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham ( les autres peuples), notre père à tous,
selon qu’il est écrit :Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.
Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit : Telle sera ta postérité.Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants.Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu,et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir.
C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice.
Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela lui fut imputé ;c’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur,
lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.
Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus–Christ,
Le code de mariage de Nuzu stipulait qu'une femme stérile devait fournir à son mari une esclave comme concubine. Si cette esclave avait un fils, celui-ci ne devait pas être renvoyé. Ceci explique l'hésitation d'Abraham à renvoyer Ismaël à la demande de Sara. Cette demande était contraire à la coutume, et Abraham ne céda qu'en face de l'intervention de Dieu et de la promesse formelle faite à Ismaël également (21.9-13)
Mais que dit l’Ecriture ? Chasse l’esclave et son fils, car le fils de l’esclave n’héritera pas avec le fils de la femme libre.
C’est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de l’esclave, mais de la femme libre.
C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis.
Maintenant la liberté est en Jésus-Christ par la foi comme il est écrit ;Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus–Christ.
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus–Christ.
Que tout le peuple d’Israël et toutes les Nations le sache ! C’est par le nom de Jésus–Christ de Nazareth, que les Juifs ont crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est lui Jésus qui est La pierre rejetée par vous les Juifs qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l’angle.
Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce,
nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus–Christ, selon le bon plaisir de sa volonté.
En effet, ce n’est pas par la loi que l’héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c’est par la justice de la foi.!!
Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie,
parce que la loi produit la colère, et que là où il n’y a point de loi il n’y a point non plus de transgression.
C’est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi (les Juifs), mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham ( les autres peuples), notre père à tous,
selon qu’il est écrit :Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.
Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit : Telle sera ta postérité.Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants.Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu,et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir.
C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice.
Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela lui fut imputé ;c’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur,
lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.
Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus–Christ,