Re: La Religion de DIEU - pour un dernier rappel
Posté : 16 juil.19, 06:48
dan26 a écrit : ↑16 juil.19, 05:48 pour faire simple les miracles médicaux agissent comme des placebos, et sont souvent le fait de méconnaissances médicales , et d'erreur de diagnostic .Pour preuve il suffit de voir le nombre de miracles vers la fin du 19 eme siècle , et ceux actuels . De plus tu sembles ignorer qu'il est déclaré dans les hopitaux français environ 1000 guérisons inexpliquées par an . Personne ne les a qualifiée de miracle .
L'important c'est d'y croire , c'est le principe de l'effet placebo .
amicalement
Oui je sais que les premiers miracles de Lourdes sont pour certains sujets à caution, encore qu'il ne faille pas prendre les médecins de la fin du 19me et de la première moitiè du 20eme pour des ignares. Ce n'est vraiment pas le cas des miracles plus récents qui sont tout à fait indiscutables car bien documentés médicalement parlant.
pour info:
Source Wikipédia
a écrit :7 reconnues en 1862[modifier | modifier le code]
Toutes les guérisons de 1858 ont été reconnues le 18 janvier 1862 par monseigneur Laurence.
Catherine Latapie dite Chouat, de Loubajac, guérie le 1er mars 1858, d’une paralysie de type cubital, par élongation traumatique du plexus brachial depuis 18 mois.
Louis Bouriette, de Lourdes, guéri le 26 février 18589, à 54 ans, d’un traumatisme de l’œil droit datant de 20 ans, avec amaurose.
Blaisette Cazenave née Soupéne, de Lourdes, guérie à 50 ans, de chémosis ou ophtalmie chronique avec ectropion depuis 3 ans.
Henri Busquet, de Nay (Pyrénées-Atlantiques), guéri le 28 avril 1858 à 15 ans d’une adénite depuis 15 mois.
Justin Bouhort, de Lourdes, guéri à 2 ans, le 6 juillet 1858, d’une hypothrepsie (dénutrition avancée) chronique post-infectieuse avec retard du développement moteur.
Madeleine Rizan, de Nay (Pyrénées-Atlantiques), guérie à 58 ans d’une hémiplégie gauche depuis 24 ans, le 17 octobre 1858.
Marie Moreau, de Tartas, guérie à 17 ans, le 9 novembre 1858, d’une diminution importante de la vue avec lésions inflammatoires - surtout œil droit - depuis 10 mois.
2 reconnues en 1907[modifier | modifier le code]
Abbé Cirette, de Beaumontel, guéri à 46 ans, le 31 août 1893, d'une sclérose spinale antéro-latérale
Jeanne Tulasne, de Tours, guérie à 20 ans, le 8 septembre 1897, du mal de Pott lombaire avec pied bot névropathique
20 reconnues en 1908[modifier | modifier le code]
Pieter De Rudder, de Jabbeke, guéri à 52 ans, le 7 avril 1875, d’une fracture ouverte de la jambe gauche avec pseudoarthrose10. Reconnue le 25 juillet 1908.
Joachime Dehant, de Gesves, guéri à 29 ans, le 13 septembre 1878, d’un ulcère de la jambe droite avec gangrène. Reconnue le 25 avril 1908.
Marie Mabille, de Bernay, Sœur Eugénia, guérie à 28 ans, d'un abcès du petit bassin avec fistules vésicales et colique phlébite bilatérale.
Anne Joudain, de Goincourt, Sœur Joséphine-Marie, guérie à 36 ans, le 21 août 1890, d'une tuberculose pulmonaire
Clémentine Trouvé, de Rouillé (Vienne), sœur Agnès-Marie, guérie à 14 ans, le 21 août 1891, d'une ostéo-périostite du pied droit fistulisé
Marie Lebranchu, de Paris, épouse Wuiplier, guérie à 35 ans, le 20 août 1892, d'une tuberculose pulmonaire
Marie Lemarchand, de Caen, épouse Authier, guérie à 18 ans, le 21 août 1892, d'une tuberculose pulmonaire avec ulcères visage et jambe
Elise Lesage, de Bucquoy, guérie à 18 ans, le 21 août 1908, d'une ostéo-arthrite tuberculeuse du genou
Sylvanie Delporte, de Lille, Sœur Marie de la Présentation, guérie à 46 ans, le 31 août 1893, de la sclérose spinale antéro-latérale
Aurélie Huprelle, de Saint-Martin-le-Nœud, guérie à 26 ans, le 21 août 1895, d'une phtisie pulmonaire aigüe
Esther Brachmann, de Paris, guérie à 15 ans, le 21 août 1896, d'une péritonite tuberculeuse
Clémentine Malot, de Gaudechart, guérie à 25 ans, le 21 août 1898, d'une tuberculose pulmonaire Hémoptoïque
Rose Labreuvoies épouse François, de Paris, guérie à 36 ans, le 20 août 1899, d'un phlegmon, fistulisé au bras droit avec énorme œdème
Révérend père Salvador, guéri à 38 ans, le 25 juin 1900, d'une péritonite tuberculeuse
Sœur Maximilien, religieuse de l'espérance, de Marseille, guérie à 43 ans, le 20 mai 1901, d'un kyste hydatique du foie et d'une phlébite membre inférieur gauche
Marie Savoie, guérie à 24 ans, le 20 septembre 1901, d'une mitralite rhumatismale décompensée
Johanna Dubos épouse Bézenac, de Saint-Laurent-des-Bâtons, guérie à 28 ans, le 8 août 1904, d'une cachexie de cause inconnue, avec impétigo paupières et front
Lucie Jupin, Sœur Saint-Hilaire, de Peyreleau, guérie à 39 ans, le 20 août 1904, d'une tumeur abdominale
Rosalie Vildier, Sœur Sainte-Béatrix, d'Évreux, guérie à 42 ans, le 31 août 1904, d'une laryngo-bronchite probablement tuberculeuse
Marie-Thérèse Noblet, de Signy-l'Abbaye, guérie à 15 ans, le 31 août 1905, d'une spondylite dorso-lombaire
1 reconnue en 1909[modifier | modifier le code]
Cécile Douville-de-Franssu, de Tournai, guérie à 19 ans, le 21 septembre 1905, d'une péritonite tuberculeuse
4 reconnues en 1910[modifier | modifier le code]
Aimée Allope, de Vern-d'Anjou, guérie à 37 ans, le 28 mai 1909, de nombreux abcès tuberculeux dont 4 fistulées paroi abdominale antérieure
Amélie Chagnon, de Poitiers, guérie à 17 ans, le 21 août 1891, d'une ostéoarthrite tuberculeuse genou et pied
Marie Lucas épouse Biré, de Sainte-Gemme-la-Plaine, guérie d'une cécité d'origine cérébrale, atrophie papillaire bilatérale
Antonia Moulin, de Vienne (Isère), guérie à 30 ans, le 10 août 1907, d'une fistule ostéite fémur droit avec arthrite du genou
1 reconnue en 1911[modifier | modifier le code]
Marie Borel, de Cultures, guérie à 22 ans, le 17 mai 1908, d'une cystite tuberculeuse avec néphrite.
4 reconnues en 1912[modifier | modifier le code]
Elisa Seisson, de Rognonas, guérie à 27 ans, le 29 août 1882, d'une hyperthrophie cœur et œdème des membres inférieurs.
Aline Bruyére, de La Roque, sœur Julienne, guérie à 25 ans, le 1er septembre 1889, d'une tuberculose pulmonaire cavitaire.
Virginie Haudebourg, de Lons-le-Saunier, guérie à 22 ans, le 17 mai 1908, d'une cystite tuberculeuse avec néphrite.
Marie Fabre, de Montredon (Lot), guérie à 32 ans, le 29 septembre 1911, d'une entérite muco-membraneuse, prolapsus utérin.
1 reconnue en 1913[modifier | modifier le code]
Juliette Orion, de Saint-Hilaire-de-Voust, guérie à 24 ans, le 22 juillet 1910, d'une tuberculose pulmonaire et laryngée, mastoïdite gauche suppurée.
1 reconnue en 1946[modifier | modifier le code]
Françoise Capitaine, sœur marie-Marguerite, de Rennes, guérie à 64 ans, le 22 janvier 1937, d'un abcès rein gauche avec œdème phlycténulaire[Quoi ?] et crises cardiaques
1 reconnue en 1948[modifier | modifier le code]
Gabrielle Clauzel, d'Oran, guérie à 49 ans, le 15 août 1943, d'une spondylose rhumatismale
1 reconnue en 1949[modifier | modifier le code]
Francis Pascal, de Beaucaire, guéri à 3 ans et 10 mois, le 31 août 1938, de cécité et paralysie membre inférieur
2 reconnues en 1950[modifier | modifier le code]
Jeanne Frétel, de Rennes, guérie à 34 ans, le 8 octobre 1948, d'une péritonite tuberculeuse
Fulda Edeltraud, de Vienne (Autriche), épouse Haidinger, guérie à 34 ans, le 12 août 1950, de la maladie d'Addison
2 reconnues en 1951[modifier | modifier le code]
Louise Jamain épouse Maître, de Paris, guérie à 22 ans, le 1er avril 1937, d'une tuberculose pulmonaire intestinale et péritonéale
Jeanne Pelin épouse Gestas, de Bègles, guérie à 50 ans, le 22 août 1947, de troubles dyspeptiques avec accidents occlusifs post-opératoires
1 reconnue en 1952[modifier | modifier le code]
Marie-Thérèse Canin, de Marseille, guérie à 37 ans, le 9 octobre 1947, du mal de Pott dorso-lombaire et péritonite tuberculeuse fistulisée
1 reconnue en 1953[modifier | modifier le code]
Paul Pellegrin, de Toulon, guéri à 52 ans, le 3 octobre 1950, d'une fistule post-opératoire d'un abcès du foie
1 reconnue en 1955[modifier | modifier le code]
Evasio Ganora, de Casale (Italie), guéri à 37 ans, le 2 juin 1950, de la maladie de Hodgkin
2 reconnues en 1956[modifier | modifier le code]
Alice Gourdon épouse Couteault, de Bouille-Loretz, guérie à 34 ans, le 15 mai 1952, d'une sclérose en plaques depuis 3 ans
Marie Bigot, de La Richardais, guérie à 31 ans, le 8 octobre 1953 et le 10 octobre 1954, d'une arachnoïdite (inflammation chronique du feuillet arachnoïdien des méninges, dont la forme la plus sévère est l'arachnoïdite adhésive, caractérisée par une douleur neurogène, invalidante et réfractaire du dos et des membres et par un ensemble d'autres troubles neurologiques).
1 reconnue en 1957[modifier | modifier le code]
Henriette Bressolles, de Nice, guérie à 32 ans, le 3 juillet 1924, du mal de Pott, d'une paraplégie
2 reconnues en 1958[modifier | modifier le code]
Lydia Brosse, de Saint-Raphaël (Var), guérie à 41 ans, le 11 octobre 1930, d'une fistule tuberculeuse multiple avec vastes décollements région fessière gauche
Rose Perona épouse Martin, de Nice, guérie à 46 ans, le 3 juillet 1947, d'un cancer du col de l'utérus
1 reconnue en 1959[modifier | modifier le code]
Yvonne Fournier, de Limoges, guérie à 22 ans, le 19 août 1945, d'un syndrome progressif post-traumatique du membre supérieur gauche, syndrome de Leriche
2 reconnues en 1960[modifier | modifier le code]
Maddalena Carini, de Sanremo, guérie à 31 ans, le 15 août 1948, d'une tuberculose péritonéale, pleuro-pulmonaire et osseuse avec coronarité[Quoi ?]
Léo Schwager Frère, de Fribourg, guéri à 28 ans, le 30 avril 1952, d'une sclérose en plaques depuis 5 ans
1 reconnue en 1961[modifier | modifier le code]
Angéle Théa, Sœur Marie-Mercédes, de Tettnang (Allemagne), guérie à 20 ans, le 20 mai 1950, d'une sclérose en plaques depuis 6 ans
1 reconnue en 1963[modifier | modifier le code]
Ginette Fabre épouse Nouvel, de Carmaux, guérie à 26 ans, le 21 septembre 1954, de la maladie de Budd-Chiari
2 reconnues en 1965[modifier | modifier le code]
Elisa Aloi épouse Varacalli, de Patti (Italie), guérie à 27 ans, le 5 mai 1958, d'une tuberculose ostéo-articulaire et fistules à localisations multiples du membre inférieur droit
Juliette Tamburini, de Marseille, guérie à 22 ans, le 17 juillet 1959, d'une ostéo-périostite fémorale fistulée, épistaxis datant de 10 ans
1 reconnue en 1976[modifier | modifier le code]
Vittorio Micheli, de Scurelle (Italie), guéri à 23 ans, le 1er juin 1963, d'un sarcome de la hanche gauche
1 reconnue en 1978[modifier | modifier le code]
Serge Perrin, du Lion d'Angers, guéri à 41 ans, le 1er mai 1970, d'une hémiplégie droite itérative avec lésions oculaires par troubles circulatoires carotidiens bilatéraux
1 reconnue en 1989[modifier | modifier le code]
Delizia Cirolli épouse Costa, de Paterno (Italie), guérie à 12 ans, le 24 décembre 1976, d'un sarcome d'Ewing du genou droit.
1 reconnue en 1999[modifier | modifier le code]
Jean-Pierre Bély, de La Couronne, guéri à 51 ans, le 9 octobre 1987, d'une sclérose en plaques
1 reconnue en 2005[modifier | modifier le code]
Anna Santaniello, de Salerne (Italie), guérie à 41 ans, le 19 août 1952, d'une décompensation cardiaque par maladie mitrale, suite à rhumatisme articulaire aigu
1 reconnue remarquable mais pas miraculeuse, en 2011[modifier | modifier le code]
Serge François, d'Angers, guéri à 56 ans, le 12 avril 2002, d'une algie sciatique ; guérison reconnue inexpliquée donc remarquable, mais pas miraculeuse11. L'abandon (qui se révélera provisoire) du qualificatif de « miraculeux » est présenté comme une volonté de ne plus utiliser ce mot jugé galvaudé12.
1 reconnue en 2012[modifier | modifier le code]
Luigina Traverso, de Casale Monferrato (Italie), guérie à 31 ans, le 23 juillet 1965, d'une lombo-sciatique paralysante11
1 reconnue en 2013[modifier | modifier le code]
Danila Castelli, de Bereguardo (Italie), guérie à 43 ans, le 4 mai 1989, de graves crises d'hypertension dues à une phéochromocytome13,14,15.
1 reconnue en 2018[modifier | modifier le code]
Sœur Bernadette Moriau, de Bresles, guérie à 69 ans, le 11 juillet 2008, d'une atteinte pluriradiculaire des racines lombaires et sacrées, communément appelée syndrome de la queue de cheval16, après un pélerinage à Lourdes en février de la même année2.
Je suis assez bien placé pour savoir qu'il y a en mécecine des guérisons ou des rémissions spontanées. Mais à ma connaissance, il n'existe pas autrement que pour des affections bénignes de cicatrisation sans trace, et rarement de réparation d'organes ou de tissus définitivement lésés ou lysés sans séquelle.
Par exemple, nous ne connaissons pas de cas de guérison de maladie telle que la sclérose en plaque, ce qui sous entend qui y a nécessairement eu réparation de la gaine myéline pour permettre de nouveau le passage de l'influx nerveux. Ce qui est habituel dans cette affection c'est rémision c'est à dire est l'arrêt définitif des poussées et une stabilisation de l'état moteur consécutif à la dernière poussée. on ne peut dans ce cas parler de guérison puisqu'il n'y a pas de retour à l'état antérieur à l'apparition des premiers symptômes. .
D'autre part, pour qu'il y ait miracle reconnu par l'église la guérison ne suffit pas, il faut aussi qu'elle soit accompagnée d'un changement de vie et/ou de l'atteinte d'un plus haut degré de vertus chrétiennes.
Ce qui me permet une nouvelle fois vous faire remarquer que votre argumentation n'est que matérialiste et omet volontairement l'aspect spirituel de ce qui se passe à Lourdes. Quant à l'effet placebo que vous citez si imprudemment, sachez qu'il n'y a pas qu'à Lourdes que les gens prient et que la grâce de Dieu ne se limite pas au département des hautes pyrénées.