Re: La preuve
Posté : 19 oct.09, 05:35
par medico
Danyelle a écrit :
Le sujet c'est : la preuve,
comme a dit quelqu'un , l'obsession de prouver ...alors que dans le domaine de la foi, la preuve est difficle
mais j'ai expliqué au départ...
si ça ne convient pas, il suffit de clôturer
moi ça m'interessait
mais la question ne me géne pas du tout .
sage que la foi n'a pas toujours besoin de preuve.
je parle bien de la foi et pas de la crédulité.
Re: La preuve
Posté : 19 oct.09, 05:54
par Veritas
Bonjour à tous. Pour savoir quelle est la vraie religion et savoir quel chemin l'on doit suivre pour avoir la vie éternelle, il faut voir si dans la vie de certains catholiques, musulmans,protestants, témoins de jéhovah,juifs ect... il y a eu des signes divins. Effectivement, chacun défend son livre saint. Moi je suis née dans une famille catholique mais lorsque je suis devenue adulte j'ai fait des recherches personnelles en dehors de la bible. Je suis toujours et grâce à Dieu catholique car comme l'a si bien dit Jesus: nul ne vient au père que par moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. C'est tout à fait vrai. Calquer sa vie le plus possible sa vie sur celle de Jesus est transcendant. On ne peut que devenir quelqu'un de bien, j'en fait l'expérience tous les jours.Mt 7:7- " Demandez et l'on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l'on vous ouvrira.
Mt 7:8- Car quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; et à qui frappe on ouvrira. Ceux qui n'acceptent pas le Christ comme fils de Dieu, parole faite chair,ne savent pasce qu'ils ratent. Je vous propose à tous de faire une recherche sur les biographies des saints catholiques, qui étaient des hommes et des femmes comme nous. Il leur ai arrivé des choses tellement extraordinaires que cela prouve bien qu'ils étaient soutenus par le Seigneur. Ils croyaient à la Sainte trinité donc si c'était une erreur de dire que Dieu=père, le fils et le saint esprit, pourquoi étaient ils soutenus par Dieu. Je vous donne quelques exemples mais faites des recherches et vous verrez.
Sainte Rita:Religieuse, Rita essaya de vivre jusqu'au bout les exigences de son état : vie de prière, obéissance, pauvreté. Elle osa, à la suite d'un sermon sur la passion de saint Jacques de la Marche, demander à Dieu, dans un moment de grande ferveur, de la faire participer, dans sa chair, aux souffrances du Christ. Elle fut exaucée et une épine de la couronne du Christ se détacha et vint se fixer sur son front. C'est pourquoi on la représente avec une plaie incurable à cet endroit, qui la fera terriblement souffrir. Stigmatisée par cette marque, elle supporta avec le sourire cette épreuve qu'elle avait demandée.
Saint Blaise:après que Blaise fut désigné comme évêque de Sébaste et pour échapper aux persécutions de Dioclétien, le saint gagna une caverne où il vécut en ermite. Les oiseaux lui apportaient sa subsistance, et les animaux s'assemblaient autour de lui pour recevoir sa bénédiction ou pour être guéri lorsqu'ils étaient malades. Lors d'une partie de chasse, les soldats du gouverneur local tombèrent sur cette grotte, et virent la foule des animaux autour de Blaise, mais ils n'en purent capturer aucun. Aussi le gouverneur fit-il amener le saint sous bonne escorte. En route, Blaise sauva un enfant mourant qui avait avalé une arête de poisson, et obtint d'un loup qu'il restituât un pourceau qu'il avait ravi à une pauvre veuve. Le gouverneur, ne pouvant obtenir de lui qu'il sacrifiât à ses dieux, le fit jeter en prison. Là, la veuve lui apporta du pain et la tête de son pourceau, ainsi qu'une chandelle : ceci explique l'utilisation de chandelles dans le culte du saint. Par la suite, le gouverneur le fit torturer à l'aide de peignes de fer qui lacéraient ses chairs, puis ordonna qu'on le jette dans un étang. Mais alors Blaise fit un signe de croix, et la surface de l'étang devint pour lui solide.
Sainte Christine de Tyr:Son père, Urban, était un riche magistrat romain qui vénérait les idoles païennes. Il possédait un grand nombre de ces statues en or, que sa fille, convertie au christianisme, brisa et donna aux pauvres. Son père, furieux, la fit fouetter et emprisonner. Face à son refus de renoncer au Christ, le père écartela Christine avec des crochets en fer et finit par la jeter au feu. Voyant qu'elle avait survécu à ce traitement, il fut si frappé qu'il en mourut dans de grandes souffrances.
Cela ne mit pourtant pas un terme au chemin de croix de Christine, étant donné qu'un second magistrat fut nommé. Ce dernier l'exhorta à davantage de sagesse en lui rappelant ses origines aristocratiques, ce à quoi elle aurait répondu : « Le Christ, que tu méprises, me délivrera de tes mains ». La réplique exaspéra le magistrat, qui l'enferma dans un four pendant cinq jours, en vain. Le juge suivant l'enferma en compagnie de serpents venimeux : ces derniers l'ignorèrent mais tuèrent le gardien. Christine ramena le gardien à la vie et le convertit au christianisme, mais sa seule récompense fut d'avoir la langue coupée.
Pérégrin Laziosi:Vers 60 ans, il fut miraculeusement guéri de la gangrène à la jambe droite, la veille du jour où il allait être amputé. Cette nuit là, veille de l'opération, Pérégrin se traîne devant le crucifix de la salle du chapitre pour y prier. S'étant endormi de lassitude, il voit le Seigneur Jésus descendre de la croix et lui guérir la jambe. Le matin, le médecin qui vient pour procéder à l'amputation, ne trouve plus trace ni de plaie ni de cicatrice. Stupéfait, il répand dans toute la ville la nouvelle de cette guérison miraculeuse, ce qui accroît encore la vénération dont on entourait le frère.
Padre Pio:L’on connaissait, à San Giovanni Rotondo, une femme très bonne. Si bonne que Padre Pio disait que l’on pourrait la citer en exemple à certains confesseurs. En d’autres mots, c’était une sainte femme. Vers la fin du Carême, cette femme, du nom de Paolina, tomba gravement malade. Les médecins n’entretenaient aucun espoir de la sauver. Son époux, accompagné de leurs cinq fils, se rendit au couvent. Ils supplièrent Padre Pio; les deux plus jeunes enfants s’agrippaient en pleurant au froc de Padre Pio. Bouleversé, Padre Pio s’efforça de les consoler et leur promit de prier pour leur mère. Au début de la Semaine Sainte, Padre Pio s’exprima différemment. En effet, à ceux qui imploraient son intercession pour la guérison de Paolina, le Padre répondit avec assurance: «Elle ressuscitera le jour de Pâques». Le Vendredi Saint, Paolina perdit connaissance et, tôt le samedi, tomba dans le coma. Au bout de quelques heures, elle ne bougea plus. Elle semblait morte. Quelques proches de Paolina, suivant la tradition, la revêtirent de sa robe nuptiale; d’autres, désespérés, coururent vers le couvent, où Padre Pio leur répéta: «Elle ressuscitera ...». Padre Pio s’en fut célébrer la sainte messe. Au moment où Padre Pio commença à chanter le Gloria et pendant que les cloches volaient, annonçant la résurrection de Christ, la voix de Padre Pio se brisa d’un hoquet et ses yeux se remplirent de larmes. Au même moment, Paolina ressuscita. Sans aucune aide, elle se redressa sur son lit, puis s’agenouilla et récita trois fois, à haute voix, le Credo. Puis elle se releva et sourit. Était-elle guérie? Était-elle ressuscitée? Padre Pio avait dit: «Elle ressuscitera»; il n’avait pas dit: «elle guérira». Lorsqu’on demanda à Paolina ce qui lui était arrivé pendant que tous la croyaient morte, elle se contenta de répondre, rougissant un peu: «Je montais, je montais, contente ... Comme j’entrais dans une grande lumière, je suis revenue en arrière, je suis revenue ...».
Maria, mère d’un enfant qui était tombé malade peu après sa naissance, apprit que le bambin souffrait d’un mal mystérieux et probablement incurable. Après avoir entendu les sombres pronostics des médecins, Maria décida de se rendre à San Giovanni Rotondo. Elle habitait une région située de l’autre côté des Pouilles, mais avait beaucoup entendu parler d’un moine stigmatisé qui avait obtenu des miracles, guérissait les malades et rendait espoir aux malheureux. Pendant ce long voyage, le bambin mourut. Après l’avoir veillé toute la nuit à bord du train, Maria l’enveloppa de vêtements et le coucha dans sa mallette. Le lendemain, elle arriva à San Giovanni Rotondo, consternée d’avoir perdu son fils, auquel elle tenait plus que tout, mais toujours animée d’une grande foi. Le soir, elle fit la queue pour se confesser au moine du Gargano, serrant étroitement la mallette où elle avait placé le corps de son enfant, maintenant décédé depuis plus de vingt-quatre heures. Quand elle arriva devant Padre Pio, qui était incliné dans le confessionnal, priant, Maria s’agenouilla, pleurant à chaudes larmes, et implora son aide. Il la regarda intensément. Maria ouvrit la mallette et il lui montra le petit corps inerte. Profondément ému, bouleversé par la douleur de cette mère, Padre Pio prit l’enfant, posa sur sa tête l’une de ses mains stigmatisées; puis, levant les yeux au ciel, il fit une prière. Peu après, l’enfant remua d’abord les jambes, puis les bras, paraissant s’éveiller d’un long sommeil. Padre Pio dit à Maria: «Mère, pourquoi cries-tu, ne vois-tu pas que ton fils dort?» Mais les cris de la femme attirèrent l’attention de la foule et provoquèrent une ovation. Tous parlèrent du miracle. C’était en mai 1925 et les télégraphes du monde entier ont transmis la nouvelle de l’humble moine qui guérissait les estropiés et ressuscitait les morts.
Re: La preuve
Posté : 19 oct.09, 05:56
par erwan
j'ai pas compris tes posts ,mon ami veritas.