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Le voile est le linceul dans lequel l’islam enveloppera un jour la liberté en Occident
19/08/2016 Salem Ben Ammar Un commentaire
La liberté a des principes que les lois de la république ignorent. Il lui est intolérable moralement et politiquement que les partisans du pire système idéologico-religieux qui puisse exister ait l’outrecuidance de s’en servir comme voile pour masquer leurs desseins mortifères et totalitaires dont la finalité est de la réduire en cendres.
Il n’y a pas plus insupportable à ses yeux que ses pires ennemis obsédés par sa destruction se revendiquent d’elle pour abuser de la vigilance de l’opinion publique de plus en plus méfiante et hostile à leur . Elle n’est pas naïve pour tomber dans le piège de leur manoeuvre inique et sournoise, ni dupe de leur mauvaise foi et de leur tentative d’escroquerie intellectuelle.
Elle est consciente et avertie qu’un musulman qui défend la liberté qui est un concept inconnu dans leur culture et que le mot lui-même est récent dans la langue du Coran et se confond phonétiquement avec houria en arabe, houri, est comme si les membres du Polit Bureau du Soviet suprême prônait la liberté d’expression.
Ces musulmans et tous les idiots utiles qui cherchent à faire ce symbole de l’oppression de la femme qu’est le voile comme étant une adhésion libre et sans équivoque à la liberté de cette dernière sont ceux-là-mêmes qui un jour ils la décapiteront à l’image du sort que les pays musulmans lui font subir aujourd’hui.
Un concept dont l’humanité ne leur est pas redevable, du latin, liber, libre qui définit selon la Toupie : » l’état d’une personne ou d’un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions [, TOUT LE CONTRAIRE DE L’ISLAM], de servitudes exercées par une personne, par un pouvoir tyrannique [ sur le modèle saoudien, iranien ou la Turquie d’Erdogan qui se rêve en Clife] ou par une puissance étrangère; c’est aussi l’état d’une personne [la femme musulmane dans le cas d’espèce] qui n’est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu’un [ son tuteur dans le droit musulman qui est généralement son conjoint] », selon état d’hommes libres et libérés de toutes contraintes savent-ils qu’ils violent les dogmes de leur système de croyance ?
La femme musulmane dans son pays d’origine n’est pas plus libre dans le choix de son mode de vie qu’un travailleur immigré en Arabie Saoudite ou le Qatar dans ses mouvements.
Etre libre n’est pas faire l’objet d’interdits vestimentaires de caractère pseudo religieux. Une femme n’a pas besoin pour exister socialement et humainement à l’abri du regard de l’homme ce qui ne la protège pas pour autant de ses velléités sexuelles dans les rues comme c’est le cas au Caire.
La liberté a des règles que le droit et les traditions culturelles qui figent l’homme dans le marbre mortuaire de l’archaïsme et la réaction ignorent.
Le voile est l’antithèse de la liberté par excellence, il est la marque de fabrique de l’idéologie musulmane inhumaine, misérable, despotique, liberticide, inégalitaire, ultra-machiste et discriminatoire
Et celles et ceux qui utilisent le voile comme une forme de liberté retrouvée chez la femme musulmane doivent savoir que le voile était à l’origine réservé aux femmes prostituées et dont le port ne peut être interprété que comme une véritable prostitution des droits de la femme.
Il est temps que la manipulation du concept liberté cesse de servir de cache-sexe et d’enfumage aux promoteurs du retour toutes voiles dehors sur le monde des ténèbres dans lequel Mahomet et ses sbires ont plongé la société arabe. D’une société où la femme n’était pas voilée l’est devenue avec l’apparition de l’engeance islamique.
Ces femmes voilées sont les premières alliées de leurs bourreaux et les ennemies de leurs propres coreligionnaires féminines en bute au despotisme masculin sous couvert de la religion.
En Occident elles peuvent effectivement sous protection de la loi sur les libertés le porter mais chez elles, dans leurs pays d’origine elles sont bien souvent contraintes et forcées à le porter.
Elles ne font qu’ exhiber ostentatoirement les signes de l’infamie de leurs conditions humaines au nom de leur soi-disant liberté.
Etre libre n’a jamais été synonyme d’étalage sur la place publique de son état d’aliénation aux dogmes machistes et barbares.
Être libre ne consiste pas à sortir de la naphtaline de l’histoire l’image du voile de la femme prostituée et l’oppression et la négation de ses droits.
Être libre est d’accepter les codes en vigueur dans son pays d’accueil ou se casser.
Quand on est libre on ne fait pas des signes prosélytes et communalistes un étendard de liberté. Ces femmes ne savent pas les temps immémoriaux que le port du voile n’a jamais été un acte libre il a toujours été imposé par les hommes aux femmes.
La première des libertés est de scier les barres de sa prison et non pas d’en faire une gloriole comme si on était fière d’être une bagnarde au service de son laboureur ici bas si elle ne veut pas crever en enfer.
Son voile est l’attestation religieuse de son espérance de faire partie des 72 réceptacles de pisse promis aux pieux musulmans.
Son voile veut dire aussi je me voile pour témoigner publiquement de mon obéissance pour mon maître esclavagiste. Il n’a rien de pudique, de chaste et de vertueux.
Assimiler le port du voile à la dignité humaine dont la liberté est le vrai visage revient à faire de son état d’esclave le stade ultime du développement humain;
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Questions aux musulmans qui veulent soumettre l’humanité tout entière à l’islam
Salem Ben Ammar
Au lieu d’asséner ce qu’ils croient être des vérités de portée universelle sans être capables de les démontrer, que les musulmans quelles que soient leurs étiquettes, apprennent à se poser les vraies questions de fond :
Est-ce que l’Islam est-il adapté aux exigences de la modernité et au progrès humain ?
Est-ce qu’il est vraiment compatible avec la Charte des Nations Unies ?
Pourquoi les pays musulmans n’adhèrent jamais aux conventions internationales protectrices des libertés et des droits humains et des droits de la femme ?
Pourquoi la femme est-elle assimilée à un champ de labour ?
Pourquoi dans l’islam il n’y a d’amour que celui d’Allah et de son prophète ?
Pourquoi dans la profession de foi musulmane le prophète est vénéré par Allah lui-même qu’il salue et se prosterne devant lui ?
Est-ce à dire qu’Allah est doté d’attributs humains ? Ce qui est de l’anthropomorphisme jugé comme une apostasie dans l’islam ?
Pourquoi brûler le coran par exemple compte plus à leurs yeux que le respect de la vie humaine ?
Est-ce que l’Islam est en cohérence avec la Charte Universelle des droits de l’homme et du citoyen ?
Est-ce que l’Islam protège les droits de l’enfant contre les prédateurs sexuels ?
Est-ce que l’Islam protège les minorités religieuses en leur octroyant les mêmes droits qu’aux musulmans alors que ces derniers jouissent des droits minimalistes ?
Pourquoi l’islam punit les victimes des viols et innocente les violeurs ?
Pourquoi l’homme est-il élevé au-dessus de la femme censée être dépourvue de foi et de raison ?
Est-ce que l’islam est-il vraiment une spiritualité au regard de sa glorification de la violence, du sexe et du viol ?
En quoi l’islam peut-il contribuer au développement humain et au bien-être de tous les hommes indépendamment de leur croyance ?
Pourquoi les musulmans sont prêts à sacrifier leur mère-patrie y compris la trahir pour la gloire de leur religion ?
Pourquoi appelle-t-on au meurtre des juifs dans les mosquées ?
Pourquoi exalte-t-on la pédophilie et condamne-t-on l’homosexualité ?
N’y a-t-il pas pire crime que les mariages pré pubères où il arrive fréquemment comme au Yémen que des fillettes meurent suite à des lésions vaginales ?
Pourquoi l’islam est tout le contraire de ce qu’ils prétendent et que les attributs comme paix, amour et tolérance, dont on l’affuble ne sont qu’un verni, un voile pour dissimuler sa vraie nature belliciste et suprématiste?
Pourquoi font-ils de la terreur un dogme religieux au point que les terroristes sont censés être les enfants chéris d’Allah auxquels il promet 72 houris et des fontaines de vin ?
Pourquoi ce qu’ils revendiquent en Occident comme droits et libertés au nom de la laïcité et légalité de traitement devant la loi, ne le revendiquent jamais chez eux et allouent le statut de dhimmis aux non-musulmans ?
Pourquoi la vanité et le mensonge qui sont des péchés capitaux ne le sont-ils pas dans l’islam ?
Savent-ils que la vraie liberté est celle qui consiste à respecter la liberté et le droit à la différence alors pourquoi veulent-ils imposer leur volonté aux autres au nom de la supériorité intrinsèque de leurs valeurs ?
En quoi sont-elles supérieures aux autres valeurs même celles qui régissent le monde animal ?
Pourquoi aucun pays membre de l’O.C.I. n’a ratifié la Convention Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 si l’islam avait le souci des libertés individuelles et la liberté de conscience et de religion ?
Est-ce que les musulmans ont-ils appris dans leurs écoles coraniques que la vraie religion est celle qui condamne toutes formes de discrimination sexuelle et religieuse, qui prône l’égalité et l’amour entre les hommes de tous les horizons et les cultures.
Que savent-ils des autres systèmes de croyance et des idéaux de vie communs à tous les hommes pour prétendre que l’islam est la vérité unique et universelle pour toute l’humanité ?
Au nom de quoi se verraient-ils dominer le monde, régner en maîtres sur lui et instaurer un nouvel ordre mondial sous la forme d’un califat ? Le respect de l’adversaire est le seul garant de la réussite d’un combat dont les musulmans pensent gagner en présumant de leur force. L’histoire est riche des défaites cinglantes à commencer par les leurs depuis 1948 où ils annonçaient leur victoire et sceller le sort du peuple juif qu’ils promettaient d’exterminer et de le jeter à la mer avant que les premiers coups de feu ne furent échangés.
Ni la loi du grand nombre ni le pouvoir de la terreur ne sont des atouts maîtres dans la conquête du monde. On ne vend jamais la peau du « mécréant » avant de s’être mesuré à lui.
Il ne suffit de bomber la torse et de se laisser aller à ses délires fantasmagoriques, guider par ses qui est une plaie mortelle pour l’humanité ?
Pourquoi les musulmans n’ont jamais cessé de tuer entre eux depuis la disparition de Mahomet, qu’ils sont les premiers à se nourrir de la haine d’eux-mêmes et abhorrent autant la vie ?
Quand on prétend appartenir à la plus soi-disant belle communauté jamais envoyée sur terre, ce qui est du pur racisme primaire et symptomatique d’un ethnocentrisme qui en dit long sur leurs pulsions velléitaires nuisibles à leur intégration dans la communauté internationale, pourquoi les musulmans sont-ils autant désunis, désagrégés, divisés, se menant des guerres « fratricides » sans merci et qui règlent leurs différends au son des canons et de l’effusion du sang ?
S’ils étaient aussi unis qu’ils ne l’allèguent pourquoi l’Arabie Saoudite a-t-elle expulsé des millions de travailleur clandestins yéménites et érigés un mur long de 1700 kilomètres et haut de 3 m à sa frontière avec le Yémen pour empêcher les candidats à l’immigration illégale et une véritable muraille de Chine longue de 950 kilomètres à sa frontière avec l’Irak pour se protéger officiellement de sa créature l’E.I. qui menace de se retourner contre elle ?
Les musulmans se font peur entre eux, comment peuvent-ils s’unir alors pour coloniser la terre entière ?
Peux-t-on imaginer un jour marocains et algériens unis sous la bannière de l’islam et abandonner comme par magie leurs contentieux du Sahara occidental ?
Qui peut croire un seul instant que Bachar Al Assad va intégrer l’Oumma islamique et voir les chiites tendre la main à leurs ennemis jurés sunnites ?
Jamais dans l’histoire des religions il n’y a eu autant de guerre inter religieuse incessante qui perdure depuis 1435 ans entre les chiites et les sunnites et d’attentats terroristes contre les lieux de culte au sein de la même communauté de croyants et par ses propres membres.
Plutôt que de se faire passer pour le nombril du monde et proclamer qu’ils sont les meilleurs sans savoir eux-mêmes en quoi le sont-ils, n’est-il pas plus censé et rationnel pour eux de faire un état des lieux de leur force et faiblesse, afin de mesurer la distance stratosphérique qui les sépare du peloton de tête des grandes nations ?
Qu’ils fassent leur véritable examen de conscience et sortent de leur leur état de léthargie chronique, de leur immobilisme, qu’ils apprennent à se décentrer de leur nombril, de faire enfin cette révolution culturelle qui tarde à venir.
Comment vont-ils pouvoir avoir la capacité de dominer le monde alors qu’ils n’existent sur l’échiquier mondial que par la terreur et la violence ?
Il est à craindre que toutes ces questions et bien d’autres ne restent à tout jamais sans réponse que à cause de leur déni pathologique de la réalité et l’obscurité qui envahit leur cerveau.
Depuis la mort d’Ibn Khaldoun qui était frappé et l’est toujours d’ostracisme et ses œuvres plus ou moins ignorées par la masse musulmane, le monde musulman brille par son aridité scientifique et culturelle.
Les sociétés musulmanes préfèrent un terroriste façon Ben Laden ou une volontaire du djihad du sexe qu’une Marie-Curie ou une sœur Emmanuelle.